Monter un feu

Traduit de l'ANGLAIS par ALEKSI BARRIERE

À propos

Monter un feu est la plus récente traduction de la célèbre nouvelle de Jack London.
Elle fait entendre à nouveau et autrement ce que cette fiction dit par métaphore de la construction et de la création humaine, de la flamme et du foyer, de ce qu'ils brûlent, réchauffent et entretiennent.
Les deux versions de Monter un feu (To Build a Fire), présentées ensemble par leur traducteur, racontent la même histoire d'un homme esseulé dans un désert de neige du Klondike, à l'époque de la Ruée vers l'or.
Cherchant à "monter un feu" en vue de survivre dans ce climat extrême, il y parvient dans la première version, meurt dans la seconde.
« Ne voyage jamais seul » : cette maxime pragmatique s'applique à tous les départs...
Ce titre prolonge la reprise et l'inauguration de « L'Extrême Contemporain ».

Rayons : Littérature > Romans & Nouvelles

  • Auteur(s)

    Jack London

  • Traducteur

    ALEKSI BARRIERE

  • Éditeur

    L'extreme Contemporain

  • Distributeur

    Harmonia Mundi

  • Date de parution

    03/03/2022

  • EAN

    9782493333001

  • Disponibilité

    Disponible

  • Nombre de pages

    60 Pages

  • Longueur

    17.5 cm

  • Largeur

    11.5 cm

  • Épaisseur

    1 cm

  • Poids

    110 g

  • Support principal

    Poche

Infos supplémentaires : Relié  

Jack London

Né le 12 janvier 1876 à San Francisco, Jack London connaît une enfance misérable et entame à quinze ans une vie d'errance. Il exerce de nombreux métiers pour survivre : marin (jusqu'au Japon et à la Sibérie), blanchisseur, ouvrier dans une conserverie de saumon, pilleur d'huîtres, chasseur de phoques, employé dans une fabrique de jute... Après avoir participé à une marche de chômeurs vers Washington, il adhère au socialisme. Devenu vagabond, il est arrêté fin 1894 et passe un mois dans un pénitencier. En 1897, il participe à la ruée vers l'or du Klondike. Atteint du scorbut, il est rapatrié. C'est le début de sa prolifique carrière d'écrivain. À sa mort en 1916, des suites d'un empoisonnement du sang, il laisse quelque cinquante livres, parmi lesquels L'Appel de la forêt (1903), Croc-Blanc (1906) et Martin Eden (1909).

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