La peste écarlate ; le masque de la mort rouge

Traduit de l'ANGLAIS (ETATS-UNIS) par PHILIPPE MORTIMER

À propos

« Ce sont les riches qui ont été les premiers à se sauver, dans leurs automobiles et dans leurs aéronefs. La grande masse de la population n'a pas tardé à les imiter... Les pauvres fuyaient à pied, portant avec eux la peste et la propageant dans les campagnes. Affamés, ils pillaient en chemin les fermes, ravageaient les villages et les bourgades... » Au milieu des ruines conquises par la flore et la faune sauvages, entouré de ses petits-fils quelque peu incrédules et goguenards, l'Aïeul raconte le monde d'avant. Celui qui un jour s'est effondré sous les coups d'un virus scarlatiniforme et meurtrier, emportant humanité et société, révélant la barbarie sous le fard de la civilisation.

La Peste écarlate est un court roman d'anticipation publié en 1912, pionnier du genre post-apocalyptique, écrit par l'auteur de Martin Eden et Le Talon de fer.

Ce texte est suivi de la célèbre nouvelle d'Edgar Allan Poe, Le Masque de la Mort rouge, parue soixante-dix ans plus tôt, dans laquelle une épidémie presque semblable provoque l'extinction complète et définitive du genre humain.


Rayons : Littérature > Romans & Nouvelles


  • Auteur(s)

    Jack London

  • Traducteur

    PHILIPPE MORTIMER

  • Éditeur

    Libertalia

  • Distributeur

    Harmonia Mundi

  • Date de parution

    05/05/2022

  • Collection

    La Petite Litteraire

  • EAN

    9782377292530

  • Disponibilité

    Disponible

  • Nombre de pages

    144 Pages

  • Longueur

    18 cm

  • Largeur

    11 cm

  • Épaisseur

    1 cm

  • Poids

    126 g

  • Support principal

    Poche

Jack London

Né le 12 janvier 1876 à San Francisco, Jack London connaît une enfance misérable et entame à quinze ans une vie d'errance. Il exerce de nombreux métiers pour survivre : marin (jusqu'au Japon et à la Sibérie), blanchisseur, ouvrier dans une conserverie de saumon, pilleur d'huîtres, chasseur de phoques, employé dans une fabrique de jute... Après avoir participé à une marche de chômeurs vers Washington, il adhère au socialisme. Devenu vagabond, il est arrêté fin 1894 et passe un mois dans un pénitencier. En 1897, il participe à la ruée vers l'or du Klondike. Atteint du scorbut, il est rapatrié. C'est le début de sa prolifique carrière d'écrivain. À sa mort en 1916, des suites d'un empoisonnement du sang, il laisse quelque cinquante livres, parmi lesquels L'Appel de la forêt (1903), Croc-Blanc (1906) et Martin Eden (1909).

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