La vie simple : les vertus minimes et communes (traduction conjointe Olivier Chiquet)

Traduit de l'ITALIEN par LUCIEN D' AZAY

À propos

Quelles sont les vertus « ordinaires » de nos vies, celles qui passent souvent inaperçues à notre manière d'être sensibles surtout à des gestes marquants ? Carlo Ossola nous les rappelle, vertus pour soi et pour les autres, vertus minimes et communes qui fondent et mesurent l'homme et la société.

Douze de ces qualités quotidiennes, Les vertus communes, ont paru aux Belles Lettres en 2019. Dans les détresses publiques de ces dernières années, poursuivant sa réflexion, il lui a paru nécessaire de mieux distinguer les exercices qui servent à nous former et les conduites à adopter avec les autres ; entre le corps de la société et notre corps subsistent des lacis qui peuvent nous fortifier ou nous étouffer : la vie simple est la manière directe de dégager le « propre » de notre agir.


Sommaire

Introduction
Note à la présente édition

Pour soi

I. La bonhomie
II. La discrétion
III. La franchise
IV. La placidité
V. La constance
VI. La patience
VII. L'estro
VIII. La cordialité
IX. L'obéissance
X. La sobriété
XI. La souplesse
XII. La douceur

Et pour les autres

I. L'affabilité
II. La sympathie
III. La loyauté
IV. Le dévouement
V. La prévenance
VI. La mesure
VII. Le tact
VIII. L'ironie
IX. L'urbanité
X. La responsabilité
XI. La gratitude
XII. La générosité

Index nominum

Rayons : Littérature > Littérature argumentative > Essai littéraire


  • Auteur(s)

    Carlo Ossola

  • Traducteur

    LUCIEN D' AZAY

  • Éditeur

    Belles Lettres

  • Distributeur

    Belles Lettres

  • Date de parution

    07/04/2023

  • EAN

    9782251454269

  • Disponibilité

    Disponible

  • Nombre de pages

    144 Pages

  • Longueur

    19 cm

  • Largeur

    12.2 cm

  • Épaisseur

    1.4 cm

  • Poids

    160 g

  • Support principal

    Grand format

Infos supplémentaires : Broché  

Carlo Ossola

Carlo Ossola est professeur honoraire au Collège de France. Il est également l'auteur, en « Que sais-je ? », des 100 mots de Baudelaire (n 4128) et de Dante (n 4129).

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