Bienvenue en Nouvelle-Zélande grâce à ce beau livre pratique où toutes les clés pour bien voyager dans ces terres sauvages des antipodes sont données par deux naturalistes, photographes et guides de voyages.
Sur « la terre au long nuage blanc », Aoteara en langue maori, la nature s'exprime par une diversité étonnante d'espèces uniques au monde : oiseaux marcheurs comme le kiwi, oiseaux de mer comme les albatros ou les manchots. Par des milieux variés composés de forêts primaires dignes des temps des dinosaures, de volcans à l'activité incessante faisant partie de la ceinture de feu du Pacifique, de montagnes couvertes de glaciers nommées les Alpes du Sud, d'archipels perdus aux confins des Quarantièmes Rugissants ou encore de fjords spectaculaires tous droits sortis du roman du Seigneur des anneaux...
Les moyens de découverte du pays sont multiples. Aussi bien pour les sportifs - trekking, alpinisme, ski, kayak de mer, voile, vélo... - que les amoureux de culture qui pourront s'intéresser au peuple des Maoris, au rugby, au vin... Les passionnés de photo seront comblés.
Yoann Feillet, installé en Nouvelle-Zélande, et Arnaud Guérin, tombé sous le charme de ce pays, proposent leurs itinéraires et leurs meilleurs coins pour partir à la découverte d'un pays de contrastes, sur les deux îles principales et les archipels méconnus comme ceux de Stewart Island, de Mayor Island ou des îles Chatham...
Terre sauvage à la biodiversité exceptionnelle, la Nouvelle-Zélande cultive ce que les Anglo-Saxons appellent le wilderness. Comment traduire ce sentiment de confrontation à une nature pure, sauvage où le climat replace bien souvent le voyageur devant son destin et ses réalités ? Ces îles du Pacifique Sud, profondément imprégnées de la culture maorie issue des Polynésiens arrivés là il y a moins de mille ans, ont ce pouvoir d'attraction des terres où la nature s'exprime encore sans contraintes.Ici les volcans sont ceux de la ceinture de feu du Pacifique, les forêts primaires tempérées sont parmi les dernières de la planète, les montagnes sont les Alpes des antipodes, les oiseaux de mer sont les albatros, les littoraux sont vierges comme au premier matin du monde.La Nouvelle-Zélande offre tellement qu'il est souvent difficile de choisir où aller, que voir au-delà des cartes postales du rugby, du haka, des moutons ou de l'América's Cup. Entre île du Nord, île du Sud ou encore Stewart Island, la diversité made in New Zealand s'écrit en majuscule au fil des paysages, d'une faune et d'une flore uniques au monde ou encore de rencontres avec les Maoris ou les Pakéas (Néo-Zélandais d'origine européenne).Ce petit pays des antipodes, peuplé de 4,3 millions d'habitants est une pépite qui n'oublie pour autant pas de vivre dans la modernité d'un monde connecté aux enjeux environnementaux préoccupants.
C'est son expérience riche de nombreux voyages sur ces terres lointaines et son triple regard de photographe, de scientifique et de voyageur que nous livre Arnaud Guérin au fil de ses images et de ses textes comme une invitation à partir sur cette terra australis qui est la première, chaque année, à être illuminée par le soleil du 1er janvier.
Un regard photographique d'une très grande force sur l'Australie aborigène d'aujourd'hui, qui montre le rapport unique, quasi fusionnel, des peuples aborigènes avec la nature.
Il y a plus de 50 000 ans, des hommes venus d'Asie, eux-mêmes originaires d'Afrique, ont pris pied sur le continent australien. Leur installation dans ce nouveau territoire marque la naissance d'une culture ininterrompue depuis les temps préhistoriques, l'une des plus anciennes au monde :
La culture des Aborigènes d'Australie. Elle doit sa longévité à leur capacité d'entrer en communion avec les éléments du paysage, à leur compréhension profonde de leur environnement. Cette vision d'un « tout », les peuples aborigènes n'ont cessé de l'entretenir par leurs choix de société et leurs dialogues continus avec les ancêtres à travers des vecteurs comme l'art, les cérémonies rituelles ou encore les voyages initiatiques que sont les walkabouts.
Regard sur l'Australie aborigène d'aujourd'hui, ce livre de photographies est le fruit d'un travail d'immersion de plus de deux ans et de multiples rencontres dans le Kimberley, le désert central, la terre d'Arnhem, le golfe de Carpentarie ou le cap York. Le parti-pris de mettre en parallèle des photographies humaines en noir et blanc avec des photographies de paysages en couleur met en exergue cette relation toute particulière entre les peuples aborigènes et leur environnement.
Un guide décalé et utile qui se lit comme un roman, à l'usage de tous ceux qui rêvent des îles... Peut-on tout quitter pour partir ? La réponse se trouve entre les lignes.Qui n'a jamais rêvé de sauter sur le pont d'un bateau, de larguer les amarres et de filer sous les tropiques ou à Bora Bora pour un éternel été, loin du métro-boulot-dodo ?Le rêve de l'île idéale, chère à Moitessier, Antoine ou Jacques Brel, est l'un des fantasmes les plus partagés des pontons - et bien au-delà : chacun d'entre nous l'a nourri, un jour ou l'autre.À l'usage de tous ceux qui ont dans un petit coin de leur tête l'idée que le paradis peut être ici-bas, ce livre, sorte de mode d'emploi décalé de l'île idéale, est un vade-mecum illustré mi-sérieux mi-poétique rédigé par un navigateur qui a fait le grand saut. Passant au travers de toutes les facettes de ce rêve et de sa concrétisation, dans le sillage des navigateurs qui l'ont fait avant nous, il nous offre une réflexion à la fois amusée et utile sur ce qui nous pousse à partir, une confrontation du rêve avec le réel.
Qualifiée d'"Everest de la route sud", cette course est caractérisée par son parcours sélectif. Les principales difficultés de la Bouvet Guyane résident dans le franchissement du fameux pot au noir et des puissants courants côtiers qui poussent les navires vers l'arc antillais. L'originalité de l'épreuve est de permettre à des rameurs solitaires de se mesurer à armes égales sur des bateaux identiques et sur un même parcours.Si les récits de navigateurs sont légion, jamais à ce jour les concurrents d'une transat en solitaire à la rame n'ont écrit un ouvrage à plusieurs mains pour raconter leurs rêves, leurs peurs et leurs joies, leurs victoires ou leurs défaites. Jean-Luc Torre, ancien participant de la course, se fait leur porte-parole. Aucun de ces aventuriers n'est connu. Mieux, la plupart d'entre eux ne sont pas marins. Ils sont chaudronnier, commerçant, ingénieur, menuisier ou professeur de sciences et ont pour seule expérience le cabotage estival le long des côtes de France ou au fil des fleuves guyanais. Certains étaient déjà d'excellents rameurs ; d'autres apprendront en route. Leur seul point commun est cette force irrésistible qui les entraîne dans cette folie, sans qu'ils sachent toujours d'où elle leur vient. Certains partent pour le challenge sportif, d'autres pour découvrir le monde à titre personnel ou au nom d'institutions scientifiques, tous cherchent à concrétiser un rêve de dépaysement.
David ducoin et julie baudin ont voyagé pendant deux ans à la rencontre des amérindiens à travers seize pays.
Au rythme des faits et gestes du quotidien ou à la faveur de cérémonies traditionnelles, ils ont recueilli leur parole et récolté des images qui révèlent l'identité originelle et fragile du continent américain.
En 1969, à tout juste dix-huit ans, Paul Watson devient le plus jeune cofondateur de Greenpeace. C'est aussi le premier homme à s'interposer entre une baleine et un harpon. En 1977, il quitte Greenpeace pour fonder Sea Shepherd Conservation Society (c'est-à-dire « berger de la mer ») qui devient dès lors l'organisation de défense des océans la plus combattive au monde : une dizaine de baleiniers illégaux coulés à quai, plusieurs navires éperonnés en mer, des centaines de longues lignes et de filets dérivants confisqués, plus de deux cent cinquante expéditions dans toutes les mers du monde... et des centaines de milliers d'animaux marins sauvés.
Jamais aucun blessé, jamais aucune inculpation retenue mais pour ses opposants, Watson n'en est pas moins un « pirate », un « écoterroriste » - y compris pour ceux qui dirigent aujourd'hui Greenpeace, qu'il a quitté en 1977. Pour ceux qui, en revanche, pensent que « les pétitions et les banderoles ne suffiront pas à sauver les océans », il est un véritable héros.
À tous ses détracteurs Paul Watson ne répond qu'une chose : « Trouvez-nous une baleine qui désapprouve nos actions et on vous promet de raccrocher ! »