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Dans quel monde on vit...
Une femme révèle à ses enfants qu'une autre vie était possible, sans maternité. Un patron charismatique applique une notion particulière de la logique industrielle. Une jeune fille ne sait plus à quelle morale se vouer, qui sont les bons et qui les méchants.
Dans quel monde on vit...
Les artistes contemporains reculent plus loin encore les frontières de l'absurde.
La dictature est une affaire de famille.
Le routier se pend après avoir entraîné son camion sur une pente honteuse.
L'ange d'affaires retourne sa veste côté démon.
Dans quel monde on vit n'est pas une question, c'est un constat.
Ces onze nouvelles orientent le projecteur de manière à créer d'immenses ombres au tableau.
Ralph Vendôme est né à Beyrouth et vit à Bruxelles depuis son adolescence. Il a publié La théorie du parapluie aux éditions du Scalde en 2019, un recueil qui explore les similitudes entre enfance et vieillesse, et L'horloge interne en 2020 aux éditions Lamiroy. -
Quels sont ces êtres « dans l'enclos » ? Des bovins, des ovins, des animaux de cirque ? Non, des humains comme vous et moi. Ils tournent en rond, confinés, prisonniers de leurs fantasmes, de leurs destins. Car on ne s'évade pas de l'enclos.
Gordon malade de frustration, Jean-Jacques qui se mutile pour nourrir sa compagne, Willy le député féminicide... Et Jacqueline, Napoléon, Adèle, Petula, Théo, les prénoms défilent. C'est que, derrière l'arbre de chaque prénom se cache la forêt intérieure des sentiments et des actes...
Dans ce mélange de nouvelles et de textes brefs, chaque histoire, chaque tranche de vie, chaque élucubration mentale, traumatisme, fantasme d'adolescent, désir inassouvi exprime avec une économie de mots ce qui crucifie des personnages finalement proches de nous. Tenus en haleine par ce tourbillon, nous nous cramponnons à l'auteur qui nous emmène là où nous ne l'attendions pas.
Né et vivant à Charleroi, agrégé en sociologie Lorenzo Cecch a été animateur de maison de jeunes, promoteur des spectacles au National, administrateur de sociétés, ou encore commissaire d'exposition avant de terminer sa carrière en tant que commercial dans une société privée. Pendant dix ans, il a également enseigné la philosophie de l'art à l'académie des Beaux-arts de Mons.
Son premier roman, Nature morte aux papillons, paru en 2012, a été sélectionné pour le prix Première de la RTBF, le prix Alain-Fournier, le prix Saga Café et le prix des lecteurs du magazine Notre Temps. Dans l'enclos est son onzième ouvrage. -
Gainsbourg, Kafka, Perec et les autres...
Neuf portraits d'hommes illustres voués à l'art d'écrire et de chanter ou de filmer.
Neuf hommes illustres auxquels Jean Yvane sacrifie en faisant sienne la formule : « Je ne peins pas ce que je vois, je peins ce que je pense ».
Neuf portraits exécutés à la gouache, au pistolet ou à l'eau forte, voire au couteau.
Bref, neuf exercices d'admiration, l'auteur se glissant dans l'intimité de ses grands personnages sans pour autant tomber dans le pastiche.Jean Yvane a publié une douzaine de romans aux éditions Denoël, Flammarion, Grasset et Pierre Guillaume de Roux. Également homme de théâtre, il a occupé diverses fonctions à la télévision ainsi qu'à la Commission européenne, et a été enseignant universitaire. -
Trois nouvelles s'imbriquent. Trois duos nous prennent aux tripes.
Yanaël, Angelika : rendez-vous sous haute tension ! Mais quel est donc leur lien??
Phil, Fred : elle en cavale, lui marginal. Plongée dans leurs lourds secrets et dans des squats inquiétants.
Églantine, Bérengère : deux voisines que tout oppose. Qui est la plus ténébreuse ?
Ces trois apprivoisements déboucheront sur une lueur, puis une lumière. Celle de « la nacelle turquoise », sorte de transcendance.
Des histoires intenses qui ricochent sur nos vies, chassent nos peurs, rallument notre désir d'ouverture, de déploiement. De tissage humain, tellement nécessaire.
Un panaché de gravité, humour, dureté, tendresse.
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Dinant et ses Copères, sa Collégiale et sa Citadelle - avec majuscules, s'il vous plaît -, son Rocher Bayard, ses bateaux-mouches et sa Croisette en bord de Meuse, son wallon savoureux, le jazz et Adolphe Sax. Et puis les alentours, Anseremme, son pont Saint-Jean, sa Lesse et ses kayaks, Bouvignes et ses ruines de Crèvecoeur.
« J'ai rendu, comme je le pouvais, un hommage aux arbres, aux oiseaux, aux amis qui m'ont donné à voir le monde dans la robe d'un paysage ourlé de perles d'eau, brodé de racines épaisses. Anseremme d'un côté, et c'est l'enfance?; Dinant de l'autre, et c'est l'adolescence. Entre ces deux pôles, une infinité d'aventures banales qui ont façonné le coeur que je porte en dedans. Un coeur soulevé par les crues de la Meuse, creusé par les méandres de la Lesse. ».
Le premier recueil de nouvelles d'un jeune poète primé par l'Académie belhe, par ailleurs homme de théâtre et musicien.
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De meublé en château, de grenier en cachot, d'Afrique en Italie, on voyage, pris, comme les personnages, entre passé et présent, rêve et réalité, bonheur et horreur, dans un tourbillon de peur de toutes les couleurs. La vie, la mort, l'amour, le mystère, un doigt de folie, un soupçon de fantastique, un zeste de cruauté... Dix nouvelles souvent tendues, parfois cruelles, où l'on frémit, doute et espère.
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Ainsi vont, font, font, la Vie, la Mort, trois petits tours et puis s'en vont...
17 nouvelles qui serpentent entre rêve et trivial quotidien, fantasme et fantastique, amour et aversion, humour et gravité, drame et dérision. Elles nous donnent à voir des êtres dansant et cheminant sur le fil tendu de leur existence, qui souvent se met à osciller au milieu du parcours
Anges ou démons ? Il y a de nombreuses façons de tuer, de mourir, de vivre.
Pourquoi, dans une existence pétrie de réel et de rêve, sont-ils ce qu'ils sont ? font-ils ce qu'ils font ?
L'auteur invite le lecteur à mettre ses pas dans les leurs, à comprendre peut-être, à ne pas juger sûrement.
Nouvelliste, romancière et poète, Isabelle Fable est l'auteur d'une dizaine d'ouvrages, dont plusieurs ont été primés. Après Ces trous dans ma vie et Les couleurs de la peur, Ainsi va la vie, ainsi va la mort est son troisième livre publié aux éditions M.E.O. -
Avez-vous déjà croisé votre double, votre alter ego, mais qui aurait quinze voire quarante ans de moins que vous ? Ou commis un acte involontaire très embarrassant ? Ou aperçu un chat qui volait dans les airs comme un oiseau ? Dans ces vingt nouvelles, qui sont autant de moments pris sur le vif, il est question d'un toboggan indésirable, d'un conférencier extravagant, de lettres anonymes, d'une mystérieuse cravate, d'une bourgeoise « prout ma chère », de fantômes bien réels, de retrouvailles nostalgiques devant un vieux kiosque, de désarrois littéraires ou amoureuxâ€- Chaque personnage, du plus sincère au plus cynique, du plus rêveur au plus terre-à-terre, trouvera une raison d'exister. Et peut-être même le bonheur absolu ?
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Trois récits (ou longues nouvelles ? ou micro-romans ?).
Le lien entre les trois ? La célèbre sonatine sans doute. Mais aussi l'insignifiance des personnages.
Celui de La sonatine de Clementi est esclave de son passé, du souvenir d'une femme, d'une ville, Florence, où traîne encore le souvenir de Savonarole.
Dans Un héros à la sarbacane, un homme quelque peu veule, ballotté au gré des événements et notamment de la guerre, est promu bien malgré lui au rang de héros et se retrouve prisonnier d'une étiquette.
Le pion du troisième évoque le quotidien d'un surveillant de province, ni meilleur ni pire qu'un autre, victime et partie de la médiocrité ambiante.
Un monde certes guère brillant, mais où le sombre laisse transparaître l'humour.
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L'amour. On le cherche, on le poursuit, on le fait et le défait, on en jouit, on en souffre. On le chante, l'écrit, le peint, le joue et le feint. On meurt pour lui, ou l'on tue. Mais que recouvre ce mot?? Nous aimons Dieu (parfois), notre patrie (rarement), nos parents, nos enfants. Nous aimons rire et chanter, nous aimons le sport, le cinéma, et même le chocolat ou le bon vin. Nous aimons nos rêves, nous aimons aimer. Nous aimons, aussi et surtout, cette moitié d'orange dont on nous a dit et répété qu'elle existe, qu'elle est là, quelque part, à nous attendre, et qu'elle comblera tous nos désirs, tous nos besoins.
Le même terme pour désigner tant de choses : possession, jouissance, domination, jalousie, volupté, tendresse, sacrifice. Depuis toujours, Éros et agapè jouent à cache-cache pour mieux nous tromper. Parfois, ils se trompent eux-mêmes, et tout dérape. Le bus fait une embardée, la déception nous dévore, la belle endormie oublie de se réveiller, la foudre frappe pour de bon.
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Ce n'est pas rien poursuit l'écriture de l'auteur dans le bref, les « choses vues », l'ironie du monde, pour ne pas dire le burlesque des situations instables que vivent les hommes aujourd'hui. Un assemblage de textes brefs, de fictions, d'histoires d'amour, de réflexions sur l'écriture et la lecture, qui se rêve comme un livre de promenade, de chevet ou de rêverie.
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Un professeur se donne la mort pour s'être ridiculisé devant des élèves ; une femme jadis victime d'abus sexuels arpente les routes en vociférant et provoquant des collisions ; un piéton impénitent part en guerre contre l'incivisme des automobilistes ; un homme devient gynécologue sans autre vocation que de retrouver une institutrice dont la jupe l'avait obnubilé enfant ; bouleversé par la Vanité à la chandelle, un autre s'insère dans la destinée des êtres qui ont inspiré le chef-d'oeuvre de Jacques Linard.Artistes, enseignants, marginaux, les personnages de ce recueil ont tous quelque chose de borderline, et par là nous ouvrent une faille vers la profondeur des êtres. C'est que, « trop décousue pour devenir un roman, trop prosaïque pour en faire un poème, trop insaisissable pour être mise en scène », une vie peut s'éclairer, de temps à autre, par hasard ou par besoin, sous forme de nouvelle, qui laisse à chaque fois un goût intense d'inachevé. À l'image de ce Belge qui se met en marche au fin fond des Ardennes pour traverser tout le pays jusqu'à la lisière des vagues sur une plage de la Vlaamse Kust, ces 19 nouvelles, dont l'écriture s'est étalée sur quarante années, éclairent le parcours d'un écrivain rêveur, toujours en quête d'une facette de notre condition humaine, bonheur ténu ou drame dérisoire au regard de l'éternité qu'il voudrait capter dans une phrase. Une première version d'Un Belge au bout de la plage est parue en 2003 aux éditions Éole. La présente version a été profondément remaniée par l'auteur, qui l'a enrichie d'une nouvelle.
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À Toliara et alentours, Malgaches, Karana et Vazaha se croisent, se mêlent et s'emmêlent pour le meilleur et pour le pire. On nage. Dans le cours imprévisible, les remous, la mêlée, parfois hors des flots. Dans les gargotes, sur les routes de goudron éclaté et les pistes de sable. Comme chez soi en dur, en tôles ou en vondro. Reclus ou en ribote. On improvise. Aux détours d'un zébu, d'un fou, d'un trépassé ou d'un éloquent soudard. Dans le charivari infernal, le vif des traditions locales, les êtres marchent au charbon ou flottent, dévient malgré eux de foutaises en désespoirs, de malentendus en traquenards ou états de grâce. On se chamaille. On palabre pour un bien commun, un canard qu'on déplume ou un sort venu de nulle part. On s'étripe pour le sel et la terre, on rouscaille, chante la guigne ou la poisse, on s'esclaffe, se dégage, rit de l'homme, la femme qui n'a pas fini d'en voir.
Avec ces nouvelles, Ben Arès nous plonge dans la vie quotidienne de Madagascar.