Filtrer
Rayons
- Jeunesse
- Bandes dessinées / Comics / Mangas
- Policier & Thriller
- Romance
- Fantasy & Science-fiction
- Vie pratique & Loisirs
- Tourisme & Voyages
- Arts et spectacles
- Religion & Esotérisme
- Entreprise, économie & droit
- Sciences humaines & sociales
- Sciences & Techniques
- Scolaire
- Parascolaire
- Dictionnaires / Encyclopédies / Documentation
Support
Éditeurs
Prix
Actes Sud
-
Un architecte qui fuit Constantinople avec les plans d'une bibliothèque inexpugnable, un étrange cavalier qui arrive à convaincre un tout jeune écrivain (accessoirement nommé Miguel de Cervantes) d'écrire un roman inégalable... on retrouve dans ce recueil une atmosphère et des thématiques familières aux lecteurs de Zafón : des écrivains maudits, des bâtisseurs visionnaires, des identités usurpées, une Barcelone gothique et certains des personnages phares de la tétralogie du "Cimetière des livres oubliés", tels Semperé, Andreas Corelli ou David Martin.
Il se dégage de l'ensemble une unité parfaite et un charme profond et envoûtant, dans un halo de mystère (et de vapeur). -
Une édition destinée aux classes de 6e. Outre les trois aventures les plus connues de Mowgli, ce recueil reproduit Comment vint la crainte, un poétique récit de création qui n'est pas sans rappeler les Histoires comme ça de l'auteur.
-
Nourris de légendes suédoises, huit récits de Noël, auxquels le talent de conteuse de Selma Lagerlof, première femme à recevoir le prix Nobel de littérature en 1909, confère un charme incomparable. br / Nouvelle édition.
-
Cette suite de courts récits, articles, préfaces, réunis par Paul Auster semble d'abord un reflet de son univers romanesque. Mais peu à peu, après l'évocation de l'enfance, du hasard, de l'amitié, de la littérature et de la poésie, la fiction et la mémoire s'éloignent et ce livre prend l'aspect d'une chronique d'inquiétude : les mots d'un romancier que les terribles événements du 11 Septembre auraient ramené vers les angoisses du passé.
Un retour sur les fêlures américaines du début du XXIe siècle, toujours d'actualité. -
Par l'auteur de «Confiteor» (140 000 ex. vendus), quatorze nouvelles indépendantes et pourtant intimement liées, où l'on retrouve sa manière de fouiller les manifestations du mal, de l'amour, du destin et de ses mauvais tours.
-
Huit touristes japonais ont été pris en otages dans une région montagneuse et désolée. Après l'assaut d'une brigade anti-terroriste, la cabane où ils sont retenus prisonniers est totalement détruite, il n'y a aucun survivant. Seul un enregistrement atteste de leur existence en ces lieux. Des lectures semble-t-il : des textes énoncés à haute voix par chacun d'entre eux pour surmonter la peur et tenter d'échapper à l'ombre béante de la mort.
-
Voici une nouvelle traduction du plus célèbre livre de Gogol dans une version inédite en France : au lieu d'utiliser un texte mutilé par la censure du XIXe siècle, dont sont partis tous les précédents traducteurs, André Markowicz est revenu à la version proposée par l'édition académique de l'URSS, le plus complet et le plus fiable. Ce volume reprend scrupuleusement l'ordre de présentation des récits tel qu'établi par Gogol lui-même dans l'édition de ses oeuvres en 1842, et, aux nouvelles strictement dites "de Pétersbourg", a été ajoutée leur étonnante conclusion, "Rome", fragment de roman qui en renverse la perspective.
-
C'est par la traque puis la vengeance d'un fugitif que débute ce recueil de récits, et c'est dans l'énigme d'un meurtre inexpliqué qu'il se referme. Comme si une part de la vérité du monde - la plus inhumaine, celle qui stigmatise l'histoire intime ou collective - devait à jamais défier notre raison. De toutes époques et de tous lieux, les personnages de ce livre ont cette expérience en partage, qu'ils assument dans la proximité de la mort.
Désespérés ou lucides, ils revisitent leurs illusions, admettent leurs fautes ou retiennent un instant encore les ultimes bonheurs de l'existence. Animé d'une empathie et d'une oralité puissantes, ce volume composé entre 2000 et 2007, marqué par les thèmes de Cris, de La Mort du roi Tsongor, du Soleil des Scorta ou d'Eldorado, a grandi dans les interstices d'une oeuvre romanesque désormais traduite et lue dans le monde entier.
-
Etgar Keret continue de réinventer la nouvelle en lui tordant le cou. Trente-huit histoires inracontables par un autre que lui, fidèles à son approche quasi-cubiste de la narration, mais qui marquent chez l'auteur l'accession à une maturité nouvelle. Un passage de cap salué dans son pays par une unanimité critique et un succès public sans précédent.
Dans la première nouvelle du nouveau livre d'Etgar Keret quelqu'un frappe à la porte, et surgit un homme qui, sous la menace d'un revolver, enjoint l'auteur de lui raconter une histoire. Dans la dernière, une réalisatrice de la télévision publique allemande fort inspirée lui demande d'écrire pour la caméra, tout en insistant pour qu'il ait l'air naturel, qu'il ne fasse surtout pas "semblant". C'est à la fois drôle et terrifiant, et en ce sens, c'est typiquement Keret.
Pourtant, l'enfant terrible des lettres israéliennes ne limite pas son exploration à la difficile voire dangereuse condition de l'écrivain. Ce qui le turlupine, c'est plutôt la place de l'homme dans un monde écrasant et implosif, au coeur duquel il a une nette tendance (l'homme) à faire preuve d'un certain chic pour s'enfoncer dans les situations les plus inextricables. Dans Au pays des mensonges, la nouvelle qui donne son titre au recueil, un homme est transporté dans un monde parallèle où il rencontre en chair et en os tous les mensonges qu'il a un jour inventés pour se tirer d'un mauvais pas - ou simplement par habitude. Jusqu'à ce qu'il fasse la connaissance des mensonges d'autres menteurs. Dans Univers parallèles, un autre homme, coincé dans ce monde-ci, rêve à d'autres réalités où il ne se viderait pas de son sang, où la mort qu'il se donne ne serait qu'un profond et agréable endormissement. Ailleurs encore (Surprise party), un certain personnage récalcitrant fait preuve d'une "malveillante lucidité" : comme si voir - et reconnaître - la réalité en face n'augurait jamais rien de bon.
Cette question du réel et de sa perception, Keret la renouvelle en permanence. Invité récemment au festival Words without borders à New York, il confiait : "Je crois qu'il y a une vérité. Je crois qu'il est très difficile d'articuler cette vérité. C'est dans cette direction que j'essaie d'aller, mais je ne prétends pas que je vais l'atteindre." Les histoires de Keret ne se racontent pas. Leurs chutes sont imprévisibles - spectaculaires ou pas. Il bouscule le genre, où la banalité de notre monde moderne n'est toujours qu'une façade, sous-tendue d'un système en gigognes qui empile les dimensions inconnues, inédites. Un peu comme Picasso, quand il interroge le visage, le corps, l'objet dans l'espace et qu'il les distord pour nous en révéler une autre lecture possible. Mais ce qui caractérise aussi la moindre de ses fantaisies littéraires, au-delà d'une gravité chronique et d'une mélancolie pudique, c'est le sourire que sans faillir elles accrochent, flottant, aux lèvres du lecteur - et dans d'infinies variétés : inquiet, tendre, amusé, sarcastique, triomphal, complice, coupable, penaud, séduit. Car la singulière fabrique de métaphysique portative qu'alimente Etgar Keret à coups d'histoires faussement "petites" demeure aussi, toujours, une irrésistible expérience du plaisir.
-
Le monde très privé des enfants et des vieillards quand il s'agit entre eux de transmission et de confiance ; les vibrations des mélodies n'existant que par-delà le silence ; l'effacement d'un temps que seul l'amoncellement d'objets semble pouvoir réanimer ; l'attirance gourmande et dangereuse pour les aliments sucrés ; la présence rassurante des animaux... Les lecteurs familiers de l'univers de Yôko Ogawa retrouveront dans ce recueil les thèmes qui lui sont chers.
-
Dernière communication à la Société proustienne de Barcelone
Mathias Enard
- Actes Sud
- Babel
- 6 Février 2019
- 9782330103163
À travers ce recueil d'errances, l'auteur de «Boussole» (prix Goncourt 2015) trace l'immense carte de son territoire d'écriture, de sa géographie intime. De Beyrouth à Sarajevo, de la Russie au Tadjikistan et à l'Espagne, ces brefs récits éclatés, fulgurants, sensuels parfois, brusques souvent, mêlent prose, versets et vers rimés pour dessiner une sorte d'autobiographie voyageuse.
-
H24 vient frapper les coeurs et les esprits avec 24 nouvelles dans un format court, percutant et incisif, par 24 autrices contemporaines. Chaque nouvelle s'inspire d'un moment marquant et emblématique, tiré d'un fait divers récent et ayant pour protagoniste des femmes anonymes. Actes de résistance, moments héroïques ou incidents banals, violence et joie... 24 manières d'évoquer le quotidien des femmes à travers le prisme d'histoires vécues. Des témoignages forts, qui appellent à l'insoumission et à la liberté.
-
Au début des années 1860, à l'heure où la Russie se libéralise, un fonctionnaire se fait avaler par le premier crocodile jamais montré à Saint-Pétersbourg. En cette période de naissance du capitalisme, le crocodile est à la fois propriété privée et source de revenus, il est donc inviolable. D'ailleurs, il est creux et confortable à souhait ; il permet de penser, de parler, et d'être écouté - c'est, du moins, l'avis de la victime. Cet apologue ravageur, antisocial (et pas seulement antisocialiste, comme l'ont cru nombre de ses contemporains), qui parodie le mythe de Jonas, a été écrit en 1865 par un auteur qui travaillait en même temps sur " Crime et Châtiment " et " Le Joueur ".
-
Si je nétais pas né égyptien, jaurais voulu être égyptien, la célèbre citation de Mustapha Kamel donne le ton de ce recueil : voici lEgypte placée sous le feu dun écrivain amoureux de son pays, qui, par le détour de la fiction, fait apparaître les turpitudes et les contradictions dune société à la dérive. Interdit de publication par lOffi ce du livre pour cause dinsulte à lEgypte, le premier de ces récits, Celui qui sest approché et qui a vu, donne précisément à voir un monde où règnent les faux-semblants et lhypocrisie. Avec une implacable ironie, pour décrire des êtres prisonniers de lobscurantisme et de larbitraire, lauteur met en scène des personnages singuliers, dont la terrible humanité évoque lunivers dun Dostoïevski à lombre des pyramides.
Tendre, grinçant, truculent, ce recueil se voit pour sa publication en poche augmenté de sept nouvelles inédites.
-
Ces cinq histoires de femmes viennoises sont autant de récits d'exil. Un grand livre sur le désespoir et la force féminins. Dans ce recueil, Ingeborg Bachmann brosse le portrait de cinq femmes en décalage avec la réalité. Récits de solitude, d'exil et d'abandon, ces nouvelles sont avant tout dédiées
aux stratégies de survie de celles qu'on empêche de construire leur identité. Loin de tout féminisme primaire, Ingeborg Bachmann n'épargne pas les femmes elles-mêmes dans sa description lucide de certains processus d'aliénation. "Traduction simultanée" retrace l'histoire d'une interprète de conférence déchirée entre les nombreuses langues qu'elle maîtrise : loin d'être un atout, sa compétence linguistique devient pour elle un handicap, et elle se prend à rêver d'une langue unique. Beatrix, l'héroïne de "Problèmes, problèmes", ne s'intéresse fondamentalement qu'à une chose : elle-même. Au fil des jours, non sans lassitude, elle prend soin de son apparence physique. Le seul endroit vital pour elle est le salon de coiffure de René, temple de la beauté où elle laisse libre cours à son narcissisme. "Les yeux du bonheur" sont ceux de Miranda, astigmate, qui oublie ou perd étrangement ses lunettes afin de ne pas "tout voir". Cela lui permet d'adapter la réalité - vue de façon déformée et partielle - à son propre univers.
Dans "Aboiements", on fait la connaissance d'une vieille dame, Mme Jordan, délaissée par son fils, un célèbre psychiatre. Malgré tout le mal qu'il lui fait, il est idolâtré par sa mère, une irréductible championne de l'abnégation.
La nouvelle, enfin, qui donne au recueil son titre, raconte le retour d'Elisabeth au pays. Photographe et journaliste internationale couvrant les guerres et habituée aux pires horreurs, elle ne se sent nulle part "chez elle"", et aucun des trois sentiers vers le lac de son enfance ne semble être le bon.
Ecrites dans un style à la fois fluide et déroutant, ces histoires non dénuées d'humour noir mettent en évidence le décalage entre les pensées secrètes des héroïnes et leur environnement, elles évoquent la difficulté d'être soi dans un univers opaque.
Contrairement à ses héroïnes qui s'empêtrent dans le langage, Ingeborg Bachmann joue magistralement avec les mots pour mieux faire ressortir la déroutante absurdité du monde.
-
Ce recueil circonscrit la partition sensible d'un écrivain qui pose sur le monde un regard humaniste et progressiste. En ces temps tourmentés il est important de publier cette collection d'Odes comme autant de chroniques qui soulignent le besoin inné d'enthousiasme de David Van Reybrouck et son bel esprit d'engagement positif.
-
à la colonie disciplinaire et autres récits
Franz Kafka
- Actes Sud
- Babel
- 28 Février 2008
- 9782742772797
La traduction libre et audacieuse de catherine billmann et jacques cellard fait entendre mieux que jamais l'humour surprenant qui imprègne les histoires les plus étranges ou les plus inquiétantes imaginées par kafka, telles a la colonie disciplinaire, joséphine la chanteresse, un artiste du jeûne, compte rendu pour une académie...
La collection babel propose désormais l'intégralité des récits de kafka dans une nouvelle traduction : la métamorphose, la sentence, le soutier et autres récits (babel n° 285) et le présent volume réunissent les textes publiés par l'auteur ou sous son contrôle de 1912 à 1924 ; récits posthumes et fragments (babel n° 867) rassemble des manuscrits pour la plupart inédits ou inachevés, publiés par les soins de max brod après la mort de l'écrivain praguois.
-
Sont regroupés sous ce titre tous les textes littéraires écrits par dostoïevski entre 1873 et 1878 (hormis la douce et le rêve d'un homme ridicule, publiés dans la collection babel en volumes séparés), alors que l'adolescent et les frères karamazov étaient déjà en cours d'écriture.
Dans des registres divers - journalistique, satirique, lyrique. -, le romancier s'y révèle un maître de la forme brève et de l'ellipse.
-
Un trailerpark est un terrain où on loue des caravanes à l'année, comme des logements ordinaires. Celui qu'évoque Russell Banks se situe dans le nord du New Hampshire et abrite douze caravanes, au bord d'un lac.
En treize nouvelles d'inégale longueur, mais reliées entre elles par le thème, le site et les personnages, le livre s'empare de fragments de la vie des résidents.
Sur l'Amérique blanche populaire, Banks porte ici le regard ravageur et plein d'humour qu'on lui connaît. Le talent et la chaleur avec lesquels il les relate, en amateur consommé de la tragicomédie humaine, donnent à ces anecdotes exemplaires une saveur et une épaisseur particulières.
-
" il était tard ; je me demandais si je ne devais pas m'en aller de ce café bruyant, sombre.
Seul devant une table, je regardais autour de moi les groupes qui bavardaient et fumaient sans relâche. au fond d'une atmosphère obscurcie, les joueurs battaient leurs dominos avec des claquements de fouet qui, à la longue, portaient sur les nerfs ".
Un homme simple, un chômeur, qu'une rencontre fortuite dans un café jette hors des sentiers battus de l'existence... des paysans pauvres dans des coins perdus faisant l'apprentissage des élections...
Une vieille femme qui voit s'ouvrir les portes du paradis... un riche héritier qui vit, en raison de son enchantement, une étrange aventure...
Gens d'algérie, qui peuvent être de tous pays, de tous les temps... les personnages émouvants et humains que l'on rencontre au détour de ces nouvelles sont étroitement liés à ceux des grands romans de mohammed dib.
-
«C'était l'acte le plus bizarre, le plus imprévu que j'avais jamais accompli, et malgré le grand frisson de plaisir que j'en éprouvais, j'étais terrifié. Je n'avais aucune raison d'agir ainsi, j'y étais seulement contraint par une force intérieure.» Au bord d'une route qui traverse le continent, à la croisée des chemins de vie, hommes et femmes peuvent faire une rencontre inattendue, vivre un instant différent qui changera leur vision du monde.
Les personnages des nouvelles de Russell Banks reviennent sur ces moments particuliers où une petite entaille dans le quotidien pétrifié fut comme un embrayage, un détonateur. La jeune barmaid frappée par la foudre, l'homme d'âge mûr qui revient sur les lieux de son passé, les divorcés, les mariés, tous connaîtront un moment de grâce. Et si, au milieu de l'immensité de la complexité humaine, les êtres ne voulaient qu'essayer de se retrouver ?
-
Des chaussures pleines de vodka chaude
Zakhar Prilepine
- Actes Sud
- Babel
- 6 Septembre 2017
- 9782330081607
Onze nouvelles qui passent sans crier gare du comique au tragique dans lesquelles Zakhar Prilepine, à sa façon - brutale et somptueuse -, parle des femmes, des "potes", de l'amour, de l'amitié, de la trahison, de la guerre, de comment on devient un homme, de la campagne russe qui se meurt... Il y a un ton Prilepine, à coup sûr celui d'un grand écrivain.
-
Dans ces neuf nouvelles rédigées sur plusieurs années, Don DeLillo évoque diverses formes de malaise et d'effroi à l'oeuvre chez l'homme contemporain. Chacune apparaît comme une allégorie cryptée de l'éternelle angoisse métaphysique qui est, aujourd'hui comme hier, le lot de tout individu.
-
Intégrale des récits de Kafka Tome 1 ; la métamorphose ; la sentence ; le soutier ; et autres récits
Franz Kafka
- Actes Sud
- Babel
- 28 Février 2008
- 9782742772803
Les trois grands récits la métamorphose, la sentence et le soutier, ainsi que les dix-huit petits textes impressionnistes qui les précèdent, distillent une inquiétude extraordinairement pénétrante dans un style tout à la fois lyrique, dramatique, sobre et précis.
La collection babel propose désormais l'intégralité des récits de kafka dans une nouvelle traduction : le présent volume et a la colonie disciplinaire et autres récits (babel n° 352) réunissent les textes publiés par l'auteur ou sous son contrôle de 1912 à 1924 ; récits posthumes et fragments (babel n° 867) rassemble des manuscrits pour la plupart inédits ou inachevés, publiés par les soins de max brod après la mort de l'écrivain praguois