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Du Palio
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« La publicité, c'est la plus grande forme de l'art du XX e siècle » écrit Marshall McLuhan.
Tout au long de ce siècle, la publicité du tabac a fait écho au propos du célèbre théoricien des médias. Jusqu'à son interdiction en 1991, les plus grands noms de la création graphique en ont signé les affiches.
Elles reflètent l'esthétique et l'esprit de leur temps : luxuriantes à la Belle Epoque, pleines de charme et d'humour entre les deux guerres, modernistes dans les Trente Glorieuses.
A l'heure des emballages dissuasifs et neutres, Claude Weill a sélectionné les plus évocatrices de ces affiches. Il les fait revivre ici, classées par genre, comme autant de témoignages de l'humeur de leur époque.
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L'argent est affaire de passion.
Passion individuelle d'abord, mais passion collective aussi lorsque c'est la puissance souveraine de la monnaie qui est en jeu. Comme toute passion, l'argent ébranle l'âme et refoule la raison, autant qu'il mobilise énergie et courage. Ses cycles relèvent plus des tensions de l'amour que du choix rationnel. Tour à tour, on le voit construire puis détruire, et bâtir à nouveau. Les équations ne suffisent pas à décrire les mouvements financiers.
C'est en se penchant sur le comportement des agents économiques qu'on saisit le métabolisme et les ressorts des circuits de l'argent. De l'Antiquité jusqu'à l'époque contemporaine, à travers l'Histoire et la Littérature, l'auteur passe en revue les réussites et les crises qui lui paraissent éclairer le mieux le rôle de la monnaie dans l'aventure humaine. Au gré des situations, tel un être vivant, on voit l'argent apparaître, prospérer et mourir, avant de resurgir ailleurs et autrement.
Et à l'issue de ce parcours propédeutique, on discerne dans les excès mêmes des marchés les raisons d'espérer des lendemains prometteurs.
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Et moi je fais quoi ? plaidoyer pour une saine restructuration
Xavier Tedeschi
- Du Palio
- Management
- 13 Septembre 2012
- 9782354490300
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Les 100 premiers jours d'un(e) dircom
Assaël Adary, Jean-jacques Salomon
- Du Palio
- Management
- 27 Mars 2014
- 9782354490409
Les dircoms en conviennent : les stratégies de communication les plus subtiles et les campagnes publicitaires les mieux planifiées échouent quand elles ne sont pas relayées par les bons réseaux. Lancer des opérations structurées, cohérentes, budgétées, ne suffit pas. La dimension humaine est décisive : pour réussir, le dircom doit avoir établi sa légitimité et inspirer la confiance. C'est donc aussi une affaire de temps.
Ce temps souhaitable de maturation, le dircom qui prend ses fonctions en dispose-t-il ? Peut-il se permettre d'attendre d'avoir évalué son équipe et tissé sa toile avant de faire des propositions ? Ne risque-t-il pas d'être marginalisé s'il ne s'engage pas de façon visible dès les premiers mois ? Et s'il décide de foncer, comment faire les bons choix, comment éviter les pièges et les erreurs ?
Pour répondre à ces questions, les auteurs ont demandé à des directeurs de la communication de raconter les 100 premiers jours suivant leur nomination. Qu'ils s'installent dans une fonction déjà légitime ou qu'ils soient recrutés en situation de crise, la plupart ont ressenti le même sentiment d'urgence. Du nouveau dircom, on attend beaucoup et vite.
Concilier le temps court de ces attentes avec le temps long de la planification stratégique est au coeur de la difficulté, mais aussi du plaisir, de la fonction. Les 100 premiers jours d'un(e) dircom passent en revue les multiples façons d'y parvenir.
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Entrepreneurs du web ; les grandes réussites du web
Jonathan Lascar
- Du Palio
- Management
- 20 Avril 2012
- 9782354490294
Découvrez Entrepreneurs du Web - Les grandes réussites françaises, le livre de Jonathan Lascar. Ce livre sur les débuts des géants du web a pour but de démystifier l'entrepreneuriat en France. Ecrit sous forme d'entretiens, cet ouvrage donne l'impression au lecteur de passer quelques moments privilégiés avec les fondateurs des entreprises sélectionnées. S'en dégagent notamment trois points forts : la démystification de " la bonne idée ". l'objectif étant d'évoquer la naissance des projets, cette approche montre paradoxalement que l'idée ne doit pas obligatoirement être révolutionnaire pour réussir. Au contraire, la simplicité est bien souvent gage de succès ; le développement opérationnel. On s'intéresse ici à la genèse de ces entreprises (RueDuCommerce, Sarenza, Dailymotion, PriceMinister. etc.), à la façon dont l'idée ou le concept est apparu. Puis comment la mise en oeuvre du projet s'est effectuée ; le besoin de financement et la méthodologie. Alors que certaines entreprises sont passées par des investisseurs privés (Business Angels), d'autres par des fonds d'investissement ou encore par l'autofinancement, l'ouvrage met en avant les avantages et les inconvénients de chaque méthode de recherche de capitaux.
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Lettres du GCCG ; échapper à l'oligophrénarchie
Gérard-dominique Carton
- Du Palio
- Management
- 19 Décembre 2012
- 9782354490386
Ce qui fait la force du genre épistolaire, dit le philosophe Antoine Comte-Sponville, c'est qu'il constitue " par essence une littérature adressée, entièrement dépendante de l'existence réelle ou imaginaire d'un lecteur distant ".
Les lecteurs des " Lettres du GCCG " sont, quant à eux, bien réels : ce sont les dirigeants et managers d'entreprises auxquels, chaque mois depuis six ans, Gérard-Dominique Carton adresse les réflexions que lui inspire l'actualité économique et sociale.
L'intimité qu'autorise la forme épistolaire permet à l'auteur de porter son regard critique sur des questions rarement évoquées dans l'univers professionnel. Si certaines des " Lettres du GCCG " peuvent paraître provocatrices, c'est parce que Gérard-Dominique Carton sait que leurs destinataires demandent qu'on leur parle vrai et n'hésitent pas à lui répondre ou à débattre avec lui.
Comme pour les correspondances privées, on prend plaisir à revenir sur les " Lettres du GCCG ". Avec le recul, certaines nous paraissent visionnaires, d'autres d'une actualité plus prégnante encore qu'au moment de leur envoi.
En réunissant dans le présent ouvrage quelque six années de " Lettres du GCCG ", Gérard-Dominique Carton propose à ses lecteurs un nouveau regard - synchronique - sur les idées qu'il partage chaque mois avec eux.
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Par leur esprit d'entreprise et leur sens du risque, les banquiers façonnent la société : ils la financent, la transforment, l'inspirent.
Pourquoi, en dépit de son utilité économique et de son rôle philanthropique, la figure du banquier est-t-elle incomprise de l'opinion publique ? Pour répondre à cette question, Jean-Philippe Bidault s'est penché sur cinq moments clés de l'histoire bancaire française : les révolutions de 1789 et de 1848, l'aventure des Pereire sous le Second Empire, l'affaire de la Banque industrielle de Chine à l'aube du XXe siècle, et la chute du Crédit Lyonnais à son crépuscule.
Au fil des tableaux vivants que propose l'auteur, on découvre que la banque, l'administration et la politique ont toujours su se réunir dans d'improbables combinaisons pour maintenir la confiance lorsque celle-ci vacille. Dans un mélange des genres où chacun dépasse les conventions, on entend Talleyrand et Mirabeau raisonner en banquiers, les Rothschild en hommes d'Etat, les diplomates en hommes d'affaires et les hauts fonctionnaires en capitaines d'industrie.
Et l'on découvre que, comme il y a une raison d'Etat, il existe une " raison bancaire " qui condamne le banquier à une position ambiguë, où il suscite à la fois curiosité et méfiance, hostilité et envie, respect et dérision. Parce que l'argent est affaire de passion, celui dont la mission est de le faire circuler, inspire à son tour les passions.
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Pour une culture de l'intelligence économique dans les PME
Paul-marie Edwards
- Du Palio
- 25 Octobre 2013
- 9782354490416
L'intelligence économique (IE) est de ces formules qui flattent certains et en effraient d'autres. Sa démarche est méconnue dans le monde des PME : elle paraît démesurée à de nombreux chefs d'entreprises petites et moyennes, qui la croient réservée aux grands groupes.
Il en va en réalité de l'intelligence économique comme de la prose de Monsieur Jourdain. De nombreuses entreprises, même de taille modeste, la pratiquent sans le savoir. Le fait même d'être présent et actif dans son marché amène en effet tout dirigeant à être au courant de ce qui s'y passe.
Mais ce n'est que le degré zéro de l'IE. La véritable pratique de l'intelligence économique demande en effet que soient conjuguées une culture de l'information - c'est-à-dire la curiosité partagée pour la connaissance de l'environnement dans lequel on évolue - et un processus systématique de recherche et d'analyse de cette information.
Issu du mémoire de master " L'intelligence économique a-t-elle sa place dans les PME françaises ? ", soutenu par l'auteur en 2012 à l'université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, le présent ouvrage montre que la culture de l'intelligence économique, loin d'être le privilège des grandes entreprises, peut aisément se déployer dans l'univers des PME.
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Happy manager ; le bonheur ? pourquoi pas !
Carton G-D.
- Du Palio
- Management
- 25 Mars 2010
- 9782354490140
Etre heureux quand tout va bien est à la portée de presque tous. Le demeurer dans l'adversité passe pour moins aisé. C'est pourtant, selon Gérard-Dominique Carton, à la fois l'objectif que chacun devrait se fixer dans sa vie professionnelle, et l'horizon que les entreprises gagneraient à viser pour leurs collaborateurs.
L'intérêt et la vertu se rejoignent en effet dans cette double ambition : le Happy Manager est plus performant. A partir d'une observation sans complaisance des pratiques managériales, et en s'appuyant sur de nombreux exemples, l'auteur démontre qu'être heureux devient une condition nécessaire de l'efficacité en entreprise.
Mais comment rester stoïque lorsque les vents sont contraires ? Expert reconnu de la gestion du changement, Gérard-Dominique Carton propose une méthode en forme d'impératif catégorique : décider que la norme est d'être heureux.
Avec une telle démarche, tout se simplifie. Les difficultés apparaissent alors comme autant d'opportunités. Le cercle vicieux de la souffrance est rompu et le bonheur cesse d'être l'exception pour devenir la règle. Happy Manager nous dit comment y parvenir.
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Les règles d'or du lobbying
Stéphane Desselas, Natacha Clarac
- Du Palio
- Metiers
- 25 Octobre 2012
- 9782354490324
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Profession : administrateur ; scènes de vie et bonnes pratiques en entreprises
Guy Ferré
- Du Palio
- Management
- 25 Octobre 2012
- 9782354490331
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Comment votre swing peut améliorer votre management ; 18 leçons de business par le golf
Assaël Adary
- Du Palio
- Management
- 14 Décembre 2012
- 9782354490355
Les situations que rencontre l'amateur de golf et celles qu'affronte le manager se ressemblent. Ici, il faut choisir son approche sans tout connaître du terrain, là il faut fixer une stratégie dans un marché instable. Les qualités du bon golfeur et du manager efficace ont beaucoup en commun : vision, sang-froid et, selon les cas, constance ou réactivité. Le style d'un golfeur en dit long sur son comportement en affaires. Fait-on des affaires sur un parcours de golf comme la légende le dit ' Les avis sont partagés. En revanche, une chose est sûre, c'est qu'on aiguise son sens des affaires en jouant au golf. Assaël Adary a sélectionné dix-huit aphorismes golfiques. Transposé dans l'univers entrepreneurial, chacun est l'occasion d'une réflexion originale et percutante sur les pratiques managériales. A l'issue du parcours auquel nous convie l'auteur, on comprend mieux pourquoi : autant qu'un moment de détente et de rencontre, le golf est une véritable école de management !
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Confessions d'acheteurs ; dans les méandres de la supply chain
Lucas Reitalov
- Du Palio
- Management
- 17 Mars 2011
- 9782354490232
A quoi pense un acheteur lorsqu'il fait pleurer un fournisseur ? Pourquoi est-il si difficile de rencontrer des acheteurs heureux ? Jusqu'où peut-on faire baisser les prix sans perdre son âme ?
Dans chacune des situations qu il met en scène, c est à de telles questions que Lucas Reitalov apporte des réponses.
Sur les compétences techniques du métier d acheteur, les références abondent. Mais à trop assimiler la fonction à la réduction des coûts, on passe à côté de sa dimension humaine.
Lucas Reitalov comble cette lacune : entre plaisir et frustration, certitudes et doutes, rigueur et jeu, les confessions qu'il relaie dessinent des portraits d acheteurs souvent éloignés de leur image habituelle.
Au fil des récits, on découvre que fermeté et éthique peuvent faire bon ménage, que malice et transparence ne sont pas contradictoires, qu'intelligence et intuition vont de pair chez les meilleurs des acheteurs.
Et l'on comprend pourquoi les responsables des achats, loin de se limiter à la gestion des fournisseurs, sont désormais appelés à intervenir sur l ensemble de la Supply Chain et à accéder aux comités de direction.
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Quand un patron d'agence de communication discute avec un dircom de l'organisation des appels d'offres, que se racontent-ils ?
Le premier s'empresse de rapporter à son interlocuteur des exemples flagrants de dysfonctionnements, des histoires de cahiers des charges incompréhensibles, de compétitions perdues face à 15 candidats, de sélections arrangées à l'avance, de bordereaux de prix surréalistes, de négociations tarifaires scandaleuses.
Le second feint d'abord la surprise, puis se livre, dans un réflexe corporatiste, à l'inventaire des insuffisances dont seraient coutumières les agences : manque de loyauté, surfacturation, non-respect des délais et des engagements, et les sempiternels problèmes de qualité. Autant de raisons de se montrer prudent quand on lance une consultation !
Quelle part de vérité accorder à chacun ? Pourquoi, en dépit de ces frustrations, la pratique des appels d'offres continue-t-elle de prospérer ? Le système est-il encore efficace ? Ses excès risquent-ils de provoquer une crise de confiance entre prestataires et clients ? Qui est gagnant, et qui est perdant ? Peut-on faire mieux ?
Pour répondre à ces questions, Eric Bentot invite le lecteur à une revue de détail, acide et distrayante, mais sans complaisance, de chacune des étapes qui séparent l'ouverture d'une compétition de la désignation du vainqueur.
Au fil de ce parcours dans la vie secrète des appels d'offres, on découvre les avantages secondaires que chacun retire de leurs zones d'ombre et l'on comprend pourquoi, même si le ton monte parfois, l'intérêt commun des agences et des directions de la communication est de les critiquer. sans pour autant se fâcher !
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Zone franche ; quand management et culture se rencontrent
Gilles Martin
- Du Palio
- Management
- 2 Décembre 2013
- 9782354490478
Confronté à un problème nouveau, le scientifique commence par se demander : « A quoi ça ressemble ? » Si rien ne lui vient à l'esprit, il pose la question à des collègues de spécialités voisines, ou quelquefois même éloignées. La recherche progresse ainsi par emprunt à d'autres disciplines.
Cette fertilisation croisée des compétences est aussi au coeur du processus d'innovation des entreprises. On la retrouve dans la démarche des consultants : devant une situation nouvelle, le consultant commence souvent par rechercher des ressemblances avec des problématiques qu'il a déjà rencontrées.
Parfois, à la façon des chercheurs qui sortent de leurs laboratoires, c'est en dehors de la pratique managériale que les consultants découvrent les meilleures clés de compréhension des cas qu'ils ont à traiter. Il arrive que les leçons de l'Histoire, les références cinématographiques, l'expérience des grands hommes, expliquent mieux que les rapports d'audit ce qui se passe dans l'entreprise.
Depuis 2005, Gilles Martin tire régulièrement sur son blog les enseignements utiles au management que lui inspirent ses lectures, la vie culturelle et le débat des idées. La liberté de l'intellectuel et le réalisme du consultant font bon ménage dans la « zone franche » que constitue son blog : la plupart de ses chroniques n'ont rien perdu de leur actualité. Comme le bon vin, certaines gagnent même en profondeur avec le recul.
Choisis parmi les plus éloquents, les billets que réunit ici Gilles Martin illustrent l'intérêt de sortir du champ strictement professionnel quand on veut, en entreprise, trouver des idées neuves.
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Pourquoi jetons-nous la pierre aux marchands chez qui, pourtant, nous faisons la queue, quoiqu'ils aient en boutique : des voitures, de la politique, des jeux, du sport, des opinions ? Sans notre tendance à la servitude volontaire, comme le disait déjà La Boétie il y a quatre siècles, ils n'auraient jamais pris le pouvoir, alors pourquoi tant de haine ? Parce que les marchands sont de fins renards et nous, des singes pas très malins. Ils nous vendent ce dont nous ne pouvons pas nous passer : des croyances, et notre propension au mimétisme fait le reste. Ils savent que toute influence a des racines religieuses, et nous laissent endosser le rôle de l'homme moderne, cet esprit fort si convaincu de n'être plus l'esclave d'aucun préjugé. Ruse des uns, illusions des autres : forcément, au bal des singes, ce sont les renards qui mènent la danse. Y a-t-il un moyen de sortir de ce piège ? Un seul : la lucidité. Un essai vif et caustique qui entraîne le lecteur dans une cavalcade où le jeu des idées n'oublie jamais de se ressourcer au plus profond des sciences humaines.
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Innover est vital et naturel : les enfants le font à chaque instant ! Mais à l'âge adulte, tout se complique ! Aussi, pour retrouver cette aptitude essentielle avons-nous besoin de méthodes.
Né dans les années 50 aux Etats-Unis, le Creative Problem Solving (CPS) propose notamment huit grandes étapes qui nous permettent de faire " re-vivre " notre capacité d'innovation.
Nous pouvons innover si nous le voulons. Il nous faut pour cela prendre conscience de nos besoins ; repérer le sens de nos actions individuelles et collectives ; développer des relations à la fois plus élaborées et plus directes avec nous-mêmes et les autres ; intégrer l'approche systémique. Ensuite, c'est une affaire de méthode. Celle que propose Olwen Wolfe, à travers cet ouvrage de référence, permet d'innover de façon tangible, tant en ce qui concerne les relations humaines que les organisations.
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Neuromanagement ; pour tirer parti des inconscients de l'entreprise
Robert Branche
- Du Palio
- Management
- 23 Octobre 2008
- 9782354490096
Et si les organisations, comme les individus, étaient souvent guidées par leurs émotions et leurs mécanismes inconscients. A partir de cette hypothèse novatrice, Robert Branche propose une approche nouvelle du pilotage de l'entreprise : Neuromanagement ou comment manager en s'appuyant sur les processus non conscients. Le corps social de l'entreprise d'aujourd'hui s'apparente en effet au corps humain : mémoire, réflexes, émotions relèvent autant des personnes morales que des individus. Pourquoi, dès lors, ne pas recourir aux neurosciences pour modéliser son fonctionnement En s'appuyant sur les contributions les plus récentes des recherches cognitives, l'auteur démontre qu'il est possible de diriger une entreprise dans un environnement chaotique, à condition de mettre en oeuvre des grilles de lecture appropriées. Pour Robert Branche, au-delà de la qualité de leurs produits et services, c'est par leur capacité à saisir le réel que se distingueront les groupes leaders de demain.
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C'est quoi le plan B ? ; plaisir et pouvoir des mots en entreprise
Jean-jacques Salomon
- Du Palio
- Management
- 14 Novembre 2008
- 9782354490119
Joindre l'utile à l'agréable: s'il est un domaine de l'entreprise qui se prête à une telle ambition, c'est bien celui de son vocabulaire. Quel avantage, en effet, que de savoir trouver le mot juste ou convoquer l'expression qui fait mouche! Et quel plaisir aussi que de goûter la profondeur des formules dont s'abreuve le monde professionnel! Le langage de l'entreprise mérite mieux que l'ironie facile avec laquelle on se plaît souvent à décortiquer son jargon. Dans l'exercice de sémiologie auquel se livre l'auteur, on découvre qu'une citation bien choisie, un adage qui vient à point ou même une allusion historique de circonstance, valent souvent mieux qu'un long discours. Encore faut-il en maîtriser à la fois le sens apparent et la portée cachée. En passant en revue ses mots quotidiens, « C'est quoi le plan B? » démontre que, comme les meilleurs romans, le langage de l'entreprise est aussi un livre ouvert sur ses mécanismes les plus subtils.
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Affectio personae ; selon M. Herbin, mécène inspirateur
Guy Ferré
- Du Palio
- Management
- 30 Août 2018
- 9782354490867
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Profession salaud ; une manière d'être en entreprise
Claude Lussac
- Du Palio
- 22 Février 2007
- 9782354490010
Les salauds ont le vent en poupe ! C'est à ce constat que s'est rangé l'auteur en observant que les règles élémentaires de la civilité en entreprise sont désormais transgressées par un nombre croissant de personnes.
Longtemps cantonné à quelques ambitieux sans scrupules, le risque de se comporter en salaud menace aujourd'hui la plupart des salariés. La nécessité de concilier les exigences d'une économie toujours plus mobile et un environnement juridique et social désormais inadapté, amène en effet souvent le management à s'autoriser des libertés avec le droit et la morale. Les facilités de manipulation que permettent les nouvelles technologies constituent une tentation complémentaire redoutable.
Où passe la ligne jaune ? Comment rester performant sans être salaud ? Quelles dispositions le monde du travail peut-il prendre pour limiter l'inflation des salauds ? Dans une approche à la fois caustique, transverse et humoristique, l'ouvrage répond à ces questions en passant en revue les fonctions de l'entreprise les plus exposées à la " salaud attitude ".
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Faut-il échouer pour réussir? ; Mythe et réalité du retour d'expérience en entreprise
Julien Cusin
- Du Palio
- Management
- 3 Avril 2008
- 9782354490072
On dit souvent que l'être humain apprend de ses erreurs.
Si cette idée reçue apparaît déjà quelque peu hâtive et naïve, il semble qu'elle soit encore moins adaptée à la réalité des entreprises. En effet, rares sont les acteurs de l'économie, qui savent tirer parti de leurs échecs industriels ou commerciaux.
Pourquoi les entreprises font-elles le deuil de leurs projets malheureux, dans le déni et le rejet, plutôt que dans le retour d'expérience oe
Pourquoi est-il d'usage, dans l'univers du management, de ne pas « regarder dans le rétroviseur » oe
Pourquoi enfin les affaires qui échouent sont-elles perçues comme une abomination et font-elles systématiquement l'objet d'une omerta professionnelleoe
C'est à ces questions que répond Julien Cusin, en passant en revue plusieurs cas d'innovation, désastreux sur le plan commercial. La plupart du temps, une même vérité s'impose : entreprises et salariés préfèrent oublier leurs échecs, plutôt que d'en tirer des leçons utiles pour l'avenir.
Quel gâchis, quelle souffrance et que de traumatismes... pour tirer finalement aussi peu profit des valeurs thérapeutiques de l'échec !
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Le lobbying professionnel à visage découvert
Stéphane Desselas
- Du Palio
- 11 Octobre 2007
- 9782354490027
Les Français sont-ils à la traîne des Anglo-saxons en matière de lobbying ? Est-il possible de parler du lobbying de façon ouverte et transparente ? Peut-on passer du lobbying classique aux techniques des affaires publiques ? Comment s'est déroulé le lobbying sur la directive services et le règlement REACH ? Comment travailler avec les media et les ONG ? Stéphane Desselas, lobbyiste depuis plus de 15 ans à Bruxelles, présente pour la première fois en langue française des cas réels de lobbying et décrit sans langue de bois les règles d'or du lobbying à Bruxelles. Un lobbying à visage découvert offre aux lobbyistes professionnels, mais aussi aux étudiants et aux citoyens une vision complète de ce nouveau métier et de ses méthodes.
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Les mers de l'incertitude ; diriger en lâchant prise
Robert Branche
- Du Palio
- Management
- 25 Mai 2010
- 9782354490164
Depuis longtemps, l'incertitude régnait, et la crise de 2008 est venue balayer les dernières illusions : chacun mesure aujourd'hui les limites de la prévision économique. Mais comment diriger une entreprise si l'incertitude est reine ?
Faut-il renoncer aux projets durables et se contenter de gérer au jour le jour ? Mais comment donner alors un sens à l'action collective, attirer les talents et motiver les investisseurs ? Doit-on, au contraire, renforcer la discipline autour d'un objectif fort et fédérateur, derrière un leader charismatique ? Mais comment dans ce cas résister au gros temps et adapter son cap aux changements conjoncturels ?
Pour sortir de cette tenaille, Robert Branche montre qu'une entreprise doit, tel un fleuve, se fixer pour objectif une mer, qui lui servira d'attracteur stable dans les aléas qui l'entourent. L'auteur propose trois pistes novatrices pour réussir dans l'incertitude :
-Penser à partir du futur : on ne peut pas, en effet, comprendre vers quoi coule un fleuve en regardant les méandres de son cours.
-Choisir sa mer une fois pour toutes : L'Oréal n'en a jamais fini de viser la beauté, ni Google l'information ou Nestlé l'alimentation.
-Rechercher la facilité : sans l'appui de la pente naturelle du terrain, il est impossible de progresser dans la bonne direction au milieu des tempêtes, déluges ou sécheresses.
Comme un fleuve impassible, l'entreprise tire ainsi parti des accidents du terrain pour gagner en force et résistance au fur et à mesure qu'elle progresse vers sa mer.
Biographie de l'auteur Polytechnicien, ingénieur des Ponts et Chaussées, Robert Branche a commencé sa carrière en 1979 au sein de l'administration avant de rejoindre le groupe L'Oréal en 1985. Il s'oriente ensuite vers le conseil stratégique de groupes internationaux. En 2008, Il a publié Neuromanagement, un livre où il démontre que la performance de l'entreprise repose largement sur sa capacité à tirer parti de ses processus inconscients.