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Au début du vingtième siècle, dans une haute vallée pyrénéenne dont l'isolement a limité l'influence de la religion chrétienne et du patriarcat, Seuvia, aînée et donc tête d'une maison-souche, décide de concevoir un enfant pour l'offrir à une autre femme qui ne peut pas en avoir. Ce don longuement réfléchi pallie la souffrance du couple-ami et donne naissance à une nouvelle maison.
En prenant la guerre civile espagnole pour toile de fond, ce récit nous fait découvrir une société montagnarde où la femme bénéficie d'un statut particulier : bien au-delà de sa fonction de mère, celle-ci s'impose comme pilier essentiel et fondateur d'une communauté qui plonge ses racines dans les arbres, les pierres et les légendes enchantées. -
"En 1852, Violette Ailhaud est en âge de se marier quand son village des Basses-Alpes est brutalement privé de tous ses hommes par la répression qui suit le soulèvement républicain de décembre 1851. Deux ans passent dans un isolement total. Entre femmes, serment est fait que si un homme vient, il sera leur mari commun, afin que la vie continue dans le ventre de chacune.
« Ça vient du fond de la vallée. Bien avant que ça passe le gué de la rivière, que l'ombre tranche, comme un lent clin d'oeil, le brillant de l'eau entre les iscles, nous savons que c'est un homme. Nos corps vides de femmes sans mari se sont mis à résonner d'une façon qui ne trompe pas. Nos bras fatigués s'arrêtent tous ensemble d'amonteiller le foin. Nous nous regardons et chacune se souvient du serment. »" -
La mer avale les hommes qui se risquent sur son dos. C'est le tribut que doit verser la communauté des femmes de l'Île en huit, celle qui, au large de la Bretagne, contrarie le fameux courant des Pierres Noires. Ce jour-là, partis ensemble pour une pêche qu'ils espéraient miraculeuse, les hommes de l'île disparaissent tous dans une tempête.
Mais la mer rend ce qu'elle prend. Les femmes savent attendre et planter dans leur terre les naufragés qu'elle leur apporte régulièrement. La vie continue ainsi. -
Les mots d'adieu publiés par Aurélien sur ses réseaux sociaux, juste avant qu'il ne se suicide, ont immédiatement créé un séisme au-delà des frontières, comme un message universel. Sa parole bienveillante et fédératrice, ensemençant l'amour dans toutes les langues du monde, est aujourd'hui prolongée par son frère dans ce récit comme un combat.
Épauler des toxicomanes, des jeunes qui peinent à assumer leur sexualité, des parents perdus ou endeuillés est devenu un devoir peut-être illusoire mais obsessionnel dans cette écriture précipitée pour que chaque mot soit puisé dans le vif de l'instant. Ne rien oublier. Raconter urgemment à deux, le disparu et son restant, que la vie est belle même écourtée. On rit, on pleure, on vit, on meurt. -
« Eux ce sont les gras. Le terme désigne tant les chiens que les gardes. Nous avons pour eux le même jargon, la même haine. Certains courent à quatre pattes, d'autres sur deux jambes, c'est toujours après nous. » Dans l'usine où Xiao Mi travaille, les maigres sont nombreux ; des enfants volés qui produisent douze heures par jour des coques de téléphones à moindre coût. À vingt-sept ans, il sera libre. Il en a quatorze.
L'autre voix, c'est celle d'un père au coeur arraché qui sillonne la Chine depuis huit ans, ville après ville, usine après usine, à la recherche de son fils kidnappé.
Un livre engagé, qui reflète avec beaucoup d'émotion la réalité de dizaines de milliers d'enfants enlevés chaque année en Chine. -
« Ce matin, nous nous sommes retrouvés tous les trois pour le thé devant la grotte, sous l'auvent que Pierre a formé en attachant une bâche aux rochers. Déjà presque une habitude : c'est le quatrième jour que nous sommes bloqués ici. La voiture reste immobilisée comme un gros scarabée mort. » Un couple de voyageurs accompagné d'un guide touareg se trouvent accidentellement pris au piège du Sahara, entre Hoggar et Tassili N'Ajjer, sans espoir de secours. Au fil des jours, alors que l'eau et les vivres diminuent progressivement, la jeune femme relate l'attente angoissante à laquelle ils sont soumis, les gestes qui rythment leur quotidien, mais aussi l'émerveillement devant la beauté du paysage infranchissable qui les enserre et de la vie qui s'y épanouit malgré tout.
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La carapace de la tortue
Marie-Laure Hubert-Nasser
- Passiflore
- Itineraire
- 9 Novembre 2013
- 9782918471257
Notre monde n'est qu'apparence. Et dans cet univers codé et réservé aux silhouettes jeunes et belles qui hantent les pages des magazines, nombreuses sont les femmes qui ne trouvent pas leur place. C'est le cas de Clotilde, une héroïne pas comme les autres puisqu'elle est pourvue d'une physionomie qualifiée dès sa petite enfance de « grosse, pataude, maladroite et laide ». Au regard de cette étiquette qui lui colle à la peau, Clotilde s'est réfugiée dans un quotidien où elle tente de disparaître pour ne pas déranger le monde qui tourne sans elle. Tête baissée et corps enseveli sous une enveloppe gonflée de kilos superflus, elle avance dans la vie à pas lents, avec une seule certitude, celle de ne pas avoir de place dans cette société.
Son installation à Bordeaux, sa ville natale va l'entraîner dans de nouvelles aventures. Une seconde naissance. La découverte de voisines des plus étonnantes. Drôles, fantaisistes, et en quête d'un bonheur incertain. Puis, l'amour d'un enfant et qui sait, celui d'un homme ?
Une nouvelle existence, presque entièrement réglée dans un quartier où l'on observe à la loupe et parfois au vitriol le quotidien des autres. Et il suffit de traverser la rue pour pénétrer un autre cercle bien fermé, celui de l'art contemporain. C'est pourtant dans un musée en quête de création et d'esthétisme que Clotilde va s'épanouir.
Un hymne à l'amitié, à la culture et à la différence ! Une écriture décomplexée et vive qui fait l'éloge de la disgrâce.
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"« Moi, tu sais, ce que j'aimerais juste, c'est revoir une forêt. Comme elles existaient avant. Ici, tout est détruit. Ils tuent même les arbres. Eux aussi, pourtant, ils n'y sont pour rien. » Léon Duvignac et Léopold Pujo, deux amis d'enfance, quittent pour la première fois leur village natal pour être projetés dans le brasier infernal de la Grande Guerre. Plus de cent ans après, François hérite d'un mystérieux carton. Il y découvre un carnet rédigé par son aïeul, Léon, contenant ses souvenirs de guerre. Dès lors, il n'aura de cesse de traquer la vérité pour rétablir l'honneur d'un homme oublié par la France.
Roman sur la mémoire collective et les souvenirs intimes, la culpabilité et le rachat, Là-bas, la forêt m'attend est un hommage vibrant au pouvoir des mots capables de consoler et de réparer." -
Un cri bref et puissant à l'absence d'un père.
Il s'en va. Est-ce qu'il la quitte ? L'adolescente croit se réjouir de ce départ. Longtemps après, elle le retrouvera. Et il faudra attendre encore plus longtemps pour qu'elle affronte ce qu'elle nommera abandon. Mais qui abandonne qui ? Qui se sépare de qui ? La narratrice part de l'intime pour traverser des frontières, aller vers des territoires inexplorés. En questionnant son histoire, elle s'adresse à tous, offrant à ce voyage son écriture singulière. -
Emma trouve un soir dans sa boîte aux lettres le courrier d'un parfait inconnu. Cet homme lui propose, non de la rencontrer, mais simplement qu'ils s'écrivent...
Après plusieurs semaines d'hésitation, elle se décide à lui répondre. Que lit-elle, finalement, entre les lignes de celui qui l'entraîne dans cette folle correspondance ? Pourquoi, en écho à ses mots, lui dévoile-t-elle ses blessures profondes ? -
Que reste-t-il de l'héritage idéologique que notre famille nous transmet ? Tony a passé sa petite enfance avec ses grands-parents maternels, depuis longtemps revenus de leur splendeur d'Indochine.
Dans la grande maison de Bon-Encontre, pas loin d'Agen même, nems aux crevettes et « Touche pas à ma France » sont au menu.
Dans ce récit gorgé d'affection et d'amertume, l'auteur questionne les silences du petit garçon qu'il fut auprès d'un grand-père griot devenu frontiste quand il a perdu le sens des affaires. Un grand-père qui lui a appris à lire en faisant le récit, trop beau pour être vrai, de « sa » France et de ses chefs glorieux, de Vercingétorix à Napoléon. -
Tout au long de l'opération Serval, qu'est-ce qui a bien pu relier un Touareg du désert de Tanezrouft, une chroniqueuse de Charlie Hebdo, un cheminot basque et un légionnaire serbe?? L'amour, la haine, la vengeance ou tout simplement le sort, autrement appelé mektoub??
C'est tout cela qui conduit un migrant à traverser le Sahara, le Maroc, la Méditerranée, l'Espagne et les Pyrénées. Exil périlleux et choc des cultures. Entre précieuses rencontres et infinie solitude, partages et privations, emprisonnements et enivrantes libertés, la quête du nomade le mène inexorablement vers une fin que nul ne pouvait envisager.
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« Elle vit son propre reflet dans les pupilles, mais dans le regard, en revanche, elle ne vit rien. Ce regard ne s'imposait plus à elle. Hier encore, il était rempli de sous-entendus, de contrats tacites, d'exigences. Mais aujourd'hui, il n'y avait plus d'attentes. » Évanouie, personnage au prénom étrange et prophétique, a très tôt fait le choix d'une vie guidée par ses obligations sociales et familiales. Mais un jour, le regard des autres qui toute sa vie l'a contrainte, disparaît. Personne ne se souvient de la jeune femme, comme si elle n'avait jamais existé.
Un premier roman sur la puissance de l'oubli, dans sa dimension à la fois libératrice et destructrice, qui interroge notre rapport à l'altérité et son importance dans la construction de notre existence. -
« Le Castillan arbore le blason de l'insoumission pendant trois semaines. Il refuse de céder à la fatalité. Il combat cette malchance, ce sort contraire, qui le poursuit à perdre haleine. Voilà pourquoi sa victoire, le dimanche 22 juillet 1973, emplie de fureur et de panache, appartient aux grands pardons de l'Histoire. » Luis Ocaña remporte le Tour de France 1973. Une victoire d'autant plus mémorable qu'elle vient mettre fin à la malchance qui a frappé le coureur gascon lors des précédentes éditions de la Grande Boucle. Connu aussi pour sa terrible chute sur le col de Menté en 1971, celui que l'on surnommait « l'Espagnol de Mont-de-Marsan » est une figure sportive qui a marqué le cyclisme de son empreinte. Un demi-siècle plus tard, l'auteur retrace les grands moments vécus sur les routes escarpées de ses légendaires échappées.
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« Il rejoint les quais tout en réfléchissant à la trame de son histoire. Sous sa plume, cette femme se métamorphosera en une artiste peintre d'origine italienne, se nommera Paola Giovanni. Il lui fabr...iquera des fêlures, un amour ardent, la fera passer de l'ombre à la lumière. »
Jean a marché trop longtemps dans les pas des autres. Des rencontres inattendues dans le tram lui donnent envie d'écrire, de changer le destin de quelques inconnus. Mais en franchissant le pas, il s'aperçoit que c'est le sien qui mérite de prendre une direction nouvelle.
Les perpendiculaires évoque les existences détournées de leur tracé initial, les fausses convictions, les accidents de la vie et les possibles renaissances qui permettent de ne pas passer à côté de soi. -
« Le béret apparaissait d'évidence comme un prolongement du corps du maître. Il le portait entêté juste ce qu'il faut, de sorte qu'aucun courant d'air matinal n'ait prise sur lui. À sa manière de l'accrocher au porte-manteau, nous mesurerions bien vite tout le fétichisme qu'il accordait à ce couvre-chef. » Année 1980-1981. François Mitterrand devient Président de la République. Mais à Saint-Vincent de Tyrosse, village situé dans le sud des Landes, c'est un autre homme qui retient l'attention du jeune narrateur : Monsieur C, maître figé dans le temps et redouté de tous les gouyats. Quarante ans après, le souvenir de Monsieur C reste intact dans la mémoire de son ancien élève qui, au fil du récit, nous dévoile les scènes du quotidien de sa classe de CM1, pour le plus grand plaisir de notre âme enfantine.
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« Égrener les bonheurs simples du quotidien - le passage d'oiseaux migrateurs, une lecture galvanisante, la dégustation d'un vin, la délicatesse du givre sur l'herbe, le souvenir d'une journée chez le grand écrivain, une musique bouleversante, le regard d'un chevreuil, une tarte aux mirabelles, un match de rugby perdu, une scène de cinéma inoubliable - figure un chapelet d'émotions rassemblées de la tranche de la main comme des miettes sur la nappe afin de les thésauriser au creux de l'autre main. » Disciple de Julien Gracq qu'il évoque à de multiples reprises, Léon Mazzella nous entraîne dans le tourbillon de ses sensations et de ses pensées, et nous sommes bercés par sa magnifique plume, façon Philippe Delerm.
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Tous les futurs parents ont en tête un enfant rêvé que la réalité bouscule parfois. L'enfant roman est le récit de l'écroulement d'un monde, de la perte totale de repères, la rencontre de deux jeunes gens avec eux-mêmes, grâce à leur enfant hors norme. C'est également l'expression de la force de vie, de la reconstruction et de la renaissance.
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Cher ami, Beaucoup de mes contemporains sinon la plupart vous croient mort aujourd'hui. L'affaire est entendue. Il n'y a plus que vos livres à lire, apprend-on, votre oeuvre à découvrir. Votre départ du 2 juin 2005 - que l'on dit être la date de votre décès - m'a renvoyé à mon ignorance première vous concernant. Vous m'avez plongé dans l'inconnu. Tout est à reprendre.
Bernard Manciet est une des figures majeures de la poésie contemporaine. Son oeuvre, riche d'une inspiration et d'une érudition sans faille, a imprimé sa singularité à tous les genres littéraires qu'elle a illustrés. Frédéric Sudupé l'a côtoyé durant plus de dix ans. Aujourd'hui, il lui adresse des lettres par-delà sa disparition : la mort de l'aîné n'a pas rompu le dialogue. Cette suite épistolaire, splendide témoignage d'une amitié qui sait se jouer des contraintes du temps, restitue au poète de l'Enterrement à Sabres tout son poids d'humanité.
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« La silhouette s'avance, majestueuse, immense, drapée dans une forme de noblesse que seuls les rois de la forêt savent dévoiler. Sa tête se lève, il hume l'air et sans doute perçoit-il ma présence, même en demeurant totalement immobile. »
Douze textes pour parcourir la forêt des Landes sous toutes ses formes, au rythme de la plume et du pinceau. Vous y croiserez ses habitants et ses vestiges, de la loutre au cerf, de la route des cabanes aux berges de l'Estrigon. Mais attention, ces lieux regorgent aussi de nombreux mystères. Tendez l'oreille, ouvrez l'oeil : la forêt vous parle... -
Aujourd'hui, Quinquin traîne sa carcasse rouillée sur le bitume. Seule la littérature le rattache au passé, le reste il cherche désespérément à l'oublier. L'avenir ? Se laissera-t-il approcher pour reprendre le cours de sa vie ? Patrick Azzurra fait une descente en apnée dans cette profonde faille où l'homme a plongé, en fouillant les abysses avant de remonter par palier vers ce qui semble se dessiner. Un roman à trois temps qui ne vous laissera pas indifférent.
Ce qui m'a sauvé, j'en ai bien conscience, ce sont les livres. Présents comme les pierres qui bordent les sentiers escarpés, qui vous guident dans la bonne direction. Ils étaient avec moi avant l'éboulis, et ils ne m'ont jamais lâché. La moindre des politesses n'était-elle pas de leur rendre hommage ?
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Rien ne vaut ce jour : et autres histoires
Jean-marc Benedetti
- Passiflore
- 2 Septembre 2021
- 9782379460517
« Cher lecteur, mon semblable, mon frère, Je t'écris de la main gauche qui ne se risque pas à sertir l'anneau d'or des convictions. Je t'écris de la main gauche qui désigne les calamités, les chagrins et les déconvenues pour mieux les dépasser, car elle prétend aussi nommer les beautés du monde, la joie des épreuves surmontées, les étreintes de l'amour. » Écrites aux quatre coins du monde, de Zanzibar à Lisbonne, en passant par la Grèce, le Maghreb et la France, ces courtes histoires sont une ode aux instants de bonheur simple. La nostalgie heureuse de l'enfance, un récit de voyage singulier ou le regard décalé sur un événement de la vie courante, proposent au lecteur une réparation du monde abîmé. Après trois romans sombres, l'auteur s'essaie dans le présent ouvrage à l'écriture de la joie au travers de genres littéraires variés : fragments, nouvelles, récits, histoires, poésie.
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"« Personne ne me connaît sous mon vrai nom, tout le monde m'appelle ici Maria Lani. J'ai créé cette femme de toutes pièces. J'ai choisi ce pseudonyme pour effacer cet autre nom qui est le mien, Maria Abramowicz, ou du moins le masquer. Je suis née le 24 juin 1905, à Kolno, village juif de Pologne, mais cela, personne ne le sait. » Maria Lani, soutenue par Jean Cocteau dans le Paris des Années folles, s'impose comme modèle dans les milieux artistiques de la capitale. Parmi les peintres et les sculpteurs rencontrés, Charles Despiau, comme un fil rouge. Cette jeune femme à l'identité faussée se tient au coeur de l'une des plus audacieuses impostures de l'histoire de l'art."
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Parents de rugbyman heureux : les cadets
Jean-Michel Cormary, Jean-michel Lafon
- Passiflore
- 26 Avril 2018
- 9782918471851
On est encore là ! Qui se gèle sur les bords de touche ? Qui se fait envoyer paître par son ado avant les matchs ? Qui est désespéré lorsque le gamin n'est pas dans le groupe pour samedi prochain ? C'est toi, chère mère ou cher père d'un rugbyman évoluant en cadets. Léo, que nous suivons depuis ses 8 ans, a grandi. Il a aujourd'hui 15 ans et est en pleine crise d'adolescence. Mais il continue le rugby, donc ses âneries, il les fait en équipe. Elles n'en prennent que plus d'ampleur. D'autant que, si tu était jusque là encore un peu acteur de son évolution sportive, tu n'es désormais que spectateur.
Quelquefois tu es contrarié, mais finalement tu es le plus souvent heureux de le voir s'épanouir.
C'est donc le récit de ces deux années de basculement entre enfance et âge adulte qui t'est ici conté. Et ce n'est pas triste !