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Première novella de ce recueil, Le sang du large nous conte l'histoire d'un auteur isolé et de sa rencontre avec une créature qu'il pourrait croire tirée de l'un de ses romans. Mais est-ce lui qui a besoin de cet être fabuleux, ou bien l'inverse ? Point de sauvegarde explore ensuite le cruel labyrinthe de notre mémoire et interroge notre vision de la réalité. Et pour finir, Bienvenue à Magicland fait la part belle à la dérision et à la monstruosité, même si le monstre n'est pas toujours celui que l'on imagine...
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Avec « Les Tiges », Thomas Geha nous emmène sur la Station Terre, où ce qui reste d'humanité vit en symbiose avec une espèce extraterrestre. À ceci de particulier que l'espèce en question n'est ni zoomorphe, ni humanoïde, et que la relation qui les unit aux Hommes n'est pas sans conséquence pour ces derniers. Loin s'en faut !
De l'importance de bien connaître - et comprendre - ses alliés, surtout quand ils viennent d'un autre monde.
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Celle qui portait l'orylium
St-Hilaire Paladine
- Editions Mille Cent Quinze
- 12 Décembre 2017
- 9791097100025
La vérité n'est jamais facile à entendre. Surtout la première fois.Nous ne te jugeons pas, tu n'y es pour rien. Vingt cycles de conditionnement, ça ne s'efface pas d'un simple claquement de doigts !Depuis le temps que tu écoutes les mêmes mensonges, ta façon de penser est déformée. Ta vision des choses aussi. Peut-être qu'un jour tu finiras par nous croire, mais alors ce sera trop tard. C'est toujours comme ça. Si tu veux mon conseil, oublie ce que nous avons pu te dire, c'est plus sûr. Chercher à en savoir davantage, ça ne t'attirerait que des ennuis. Nous t'aurons prévenue.
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Et soudain, c'est l'écrasement. Une pression quatre fois supérieure à la gravité terrestre, qui nous plaque sur la couchette. Je crois mourir. Que mes yeux sortent de mes orbites. Que mon coeur va exploser dans ma poitrine. Et puis, au bout de deux minutes trente, un arrêt brutal, à l'inverse, nous propulse en avant, fait décoller nos épaules, malgré les sangles qui nous attachent. Avec l'arrachement de la coiffe de protection, la lumière nous envahit alors dans un bruit sourd: l'éjection de notre tour de sauvetage. Tout va bien. Tout se déroule comme prévu. Nous avons survécu au lancement. Le baril de poudre sur lequel nous étions assis n'a pas explosé. Il a rempli sa mission: nous sommes libérés de l'attraction terrestre. Véritable hommage à la culture martienne (des romans aux films, en passant par les études scientifiques), empreint d'un réalisme troublant, Arnauld Pontier nous fait vivre l'odyssée comme si nous y étions. Nous sommes à bord de la fusée, nous faisons partie de cet équipage mixte, nous partageons le quotidien de ces hommes et ces femmes qui se préparent à mettre le pied sur cet astre mille fois visité en songe.Un aller simple, direct, qui ravira l'explorateur ou l'exploratrice qui sommeille en chacun de nous. Un récit de voyage où l'émotion flirte avec la contemplation et l'émerveillement, à tel point qu'on en oublierait presque que ce monde fascinant, hostile et inexploré, sera le berceau d'un nouveau départ, d'une nouvelle humanité et que cette rencontre changera à jamais notre vision de l'exploration spatiale.
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Il s'apprête à franchir un tertre, lorsqu'il entend le bruit. Le son caractéristique d'une vague déferlante. Il relève la tête: à trois kilomètres, devant lui, les flots se soulèvent, comme si un gigantesque animal se déplaçait sur le fond de l'océan, remontait des abîmes vers la rive. Il entend le bruit de ses pas, puissants, qui font résonner la terre. Lorsqu'un bras colossal, de treize mètres de long, surgit de l'eau, dans une extraordinaire gerbe blanche, et projette, loin devant lui, un trait de cuivre acéré - un rayon de diadème -, il comprend qu'il est la cible, que le dieu solaire qui s'est détaché du sommet de la tour l'a attendu afin d'accomplir sa vengeance. La vengeance de toute l'Humanité.
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« La vie d'écrivain est parfois bien cruelle. Vous baissez le nez à peine quelques minutes pour cramponner papier et stylo et noter une idée géniale avant qu'elle ne s'envole. Quand vous relevez la tête, votre femme et vos enfants vous ont quitté.Et la voiture est bonne pour la casse. »Une bonne nouvelle n'arrive jamais seule. Une micronouvelle non plus. Et lorsque ce n'est pas une, ni deux ni trois, mais cent micronouvelles qui tombent en pluie fine sur le papier, caustiques, comiques ou corrosives, inutile de courir se mettre à l'abri, nul ne passera entre les gouttes.
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Ces ombres dans sa conscience lacunaire le terrifient. Car les hôtes dont il prend possession ne sont que des coquilles vides ; son anima est le seul ancrage dont il ait disposé au cours de ces millénaires d'existence. Mais est-ce toujours le cas ? Il ne le sait plus. Sa bouche - celle de ce corps - lui laisse un goût de cendres.
* D'un côté, il y a Leon Visagie et Nazanin Amanpour, respectivement lieutenant et capitaine de police. D'un autre, il y a Elsabe van der Merwe, paléoanthropologue. A priori, rien ne relie ces professionnels, sinon l'Afrique du Sud, où ils résident et exercent leurs métiers. Jusqu'au jour où une vidéo montrant un vieillard déposant un cadavre sur un site archéologique les entraîne tous les trois dans la même enquête. Car, manifestement, le cadavre en question n'est pas celui d'un Homo sapiens. Alors, des townships de Johannesburg aux terres arides d'Alice Springs, en Australie, une pièce après l'autre, c'est tout un puzzle qui se reconstitue. Le puzzle d'une humanité plurielle et composite, où se croisent les simples mortels et ceux qui traversent les âges. Comme les mille et une facettes d'un polar à la fois choral et surnaturel. -
Léopold sauta depuis la nacelle de son mini-zeppelin sur le toit de l'immeuble qui abritait la rédaction de son journal. On était samedi matin et il rentrait d'une nuit agitée dans le ciel lyonnais.Grâce à ses lunettes à vision extra-sensorielle, il pensait avoir trouvé de nouveaux indices en longeant la Saône, des émanations nauséabondes à l'origine inconnue, identiques à celles qu'il avait captées il y a deux ans dans les coteaux du Beaujolais, et précédemment dans les monts du Forez.L'étau se resserrait, il le sentait.
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Destination : Les flancs enneigés de la Gaste Cordillère, en compagnie de la chasseresse Kimba, de son automate Pygonus et du jeune apprenti Vezzere. Droit vers les forêts du Faeyrwyd où se cachent les pixies tant convoités par les habitants de Mégadoras, la flamboyante Cité des Rouages.
Avec «?L'énergie du désespoir?», Adrien Tomas signe un texte de fantasy à la fois enchanteur et captivant qui, sous des devants merveilleux, traite de sujets on ne peut plus actuels et proches de notre réalité, mais avec la finesse et le discernement propres à ses talents de conteur. -
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L'aurore naissante, ragaillardi par les mots de Gladys qui résonnent encore à mes oreilles, je me noie dans le travail, fermement résolu à percer le mystère d'Hippolyte Carbonel. Mon mur est envahi d'holoscans et de photographies issus de mes archives, auxquels se sont rajoutés reportages et autres rapports d'enquêtes fournis gracieusement par le capitaine Ferrer. Déterminé à ce que rien ne m'échappe, je recoupe l'ensemble des éléments à ma disposition, en quête de la moindre similitude entre les différentes disparitions. Maintenant que le dénominateur commun est en ma possession, cela devrait être plus facile. Une fois toutes les pièces rassemblées, je ne doute pas de parvenir à faire éclater la vérité.Dans un futur plus ou moins proche, pour aller d'Hanoï à Rio de Janeiro en quelques minutes à peine, il suffit d'emprunter le réseau mondial des téléporteurs. Simple, pratique, abordable. Désormais, tout le monde peut franchir les océans en traversant une porte. Tout le monde, sauf les personnes du groupe sanguin AB négatif, et ce bien qu'aucune science ne soit capable d'expliquer pourquoi. C'est ainsi. Dominique Serin, enquêteur privé de son état, ne peut pas se téléporter. Pourtant, ça lui serait fort utile pour résoudre ces cas de disparitions qui l'obsèdent depuis des années. Car là encore, la science a échoué à résoudre le mystère de ces disparitions. Vraiment, il se passe des choses étranges au royaume des vivants.
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La faculté des idées noires
Marge Sarigan, Paladine Nantel
- Editions Mille Cent Quinze
- 3 Octobre 2021
- 9791097100735
Avoir eu une enfance déprimante dans un village minier ne lui a pas suffi. Pat Poe veut toucher le fond, connaître les affres du doute et du désespoir, explorer la face obscure de l'humanité. Ne lui reste donc qu'une seule option : aller directement à la FIN, autrement dit la Faculté des Idées Noires, cette prestigieuse institution dans laquelle des étudiants en provenance des quatre coins du pays peuvent littéralement se vautrer dans le malheur. Jusqu'à l'issue fatale, dans le meilleur des cas. Mais s'il y a bien une chose à laquelle Pat Poe ne s'attendait pas, c'était de vivre une véritable aventure digne des plus grands héros, lui qui cherchait seulement un endroit où se lamenter en paix.
Disons-le, jamais cadavre exquis n'aura si bien porté son nom ! Car non seulement cette oeuvre collective, écrite à vingt-six mains* et dans les règles de l'art, est de la plus exquise noirceur, mais qui plus est, elle foisonne de cadavres en tout genre, des plus déjantés aux plus inquiétants. Le tout illustré avec brio par Francis Malvesin et servi dans une ambiance lugubre en diable. Amateurs d'humour noir et de littératures atypiques, ce petit bijou de causticité est fait pour vous !
*13 auteurs, dont Marge Nantel, Paladine Saint-Hilaire, Sylvie Arnoux, Bruno Pochesci, Gwen Geddes, Louise Roullier, Emmanuel Quentin, Thomas Fouchault, Luce Basseterre, Arnauld Pontier, Aurélie Mendonça et Nicolas Le Breton. -
Avec « Le troll médecin », Silène Edgar nous emmène dans le royaume de l'Arc-en-ciel bienheureux, où Lucinde, une jeune licorne bien née, désespère de n'avoir aucun livre à se mettre sous la dent. Alors son père va quérir les plus éminents spécialistes du pays afin que ceux-ci puissent lui conseiller quelques lectures qui sauraient soigner son mal. Encore faudrait-il que ces experts soient d'accord sur ce qui fait, selon eux, la bonne et la mauvaise littérature.
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Destination : les confins du Système solaire, où notre héros a été envoyé par son père pour écrire de la « poésie spatiale », muni d'un stylo quatre-couleurs et d'une quantité limitée de papier. A quelle fin ? Le punir d'une vie de débauche et de farniente. Certainement pas pour l'amener à faire la plus grande découverte de l'humanité. La plus grande, et sans doute également la pire.
Avec «?Le Bazaar K.?», Clément Rouault nous sert sur un plateau une SF tout à la fois noire et polychrome, cynique et truculente, classique et protéiforme. En somme, un cocktail détonnant qui n'est pas sans rappeler certaines merveilles de la littérature de genre, agrémenté d'un zest de fantaisie à nulle autre pareille. -
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Tout va bien, dormons tranquilles
Ménéas Marphil
- Editions Mille Cent Quinze
- 15 Mars 2018
- 9791097100063
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