Cinabre, c'est la rencontre de trois univers : Patrick Lainville et ses sculptures épurées, la Maison Bras et sa cuisine gastronomique étoilée, l'Aubrac et ses paysages envoûtants. Des impressions, des saveurs, des moments partagés, des souvenirs, des couleurs, un univers empreint d'une poétique vibrante. Beau livre d'art par excellence, l'ouvrage compile les images, les ambiances : les formes profilées des sculptures répondent aux herbes folles des paysages, la grâce des assiettes dressées tisse des liens inattendus avec les trésors de la nature occitane. Entre son atelier du Lot, ses sculptures exposées au Suquet (le restaurant Bras à Laguiole) et le Café Bras du musée Soulages à Rodez, c'est à toute la terre de l'Aubrac que Patrick Lainville est viscéralement attaché. Et c'est cet ancrage fort qui est porteur de sens et de poésie. Une véritable invitation au voyage.
Un ouvrage collectif qui s'ouvre sur un texte de présentation de la sculpture contemporaine par Madame Lydia Harambourg, historienne et critique d'art.
Il dresse ensuite un portrait des 15 sculpteurs qui seront exposés au Mans en 2017.
Un parcours très illustré appuyé par des textes critiques pour chacun des 15 artistes.
Ouvrage monographique retraçant 40 années de création d'Edmée Guyon, qui sculpte l'épure, à la limite de la figuration et de l'abstraction.
Égrainer les années comme on feuillette les pages d'un livre, et prendre le temps d'apprécier l'oeuvre d'un artiste dans sa globalité, prendre la mesure de sa constance, de sa profondeur comme de son cheminement. C'est la très belle proposition de cet ouvrage. Les sculptures de Bernard Varvat se dévoilent ici dans une intimité redoublée par les réflexions d'un artiste en quête permanente de sincérité.
- Un beau livre d'art en images : des photographies des oeuvres qui illustrent le travail de l'artiste sur l'opacité et la transparence du verre, le lisse et le tourmenté, et la lumière jouant sur l'oeuvre selon l'éclairage et la position du spectateur en lui procurant des visions sans cesse renouvelées.
- Un texte de Gérard Xuriguera, critique et historien de l'art international - Divers petits textes de Michel Peyramaure, romancier, Catherine Vaudour, conservateur en chef du patrimoine, et un texte de l'artiste lui-même
Les sculptures monumentales de Patrick Boutillier de Saint-André témoignent d'une sensibilité à l'espace et à la matière. Leurs lignes élancées et leurs formes minimalistes les lient intimement à l'architecture. Nous sommes touchés par les jeux d'équilibre et la monumentalité qui émanent de chaque pièce.
Après 40 ans de pratique de la sculpture, Simone Couderc porte un regard rétrospectif sur son oeuvre : l'artiste conquiert sa liberté en travaillant la terre sous toutes ses formes, en la poussant jusqu'à ses limites (...).
À l'écart des modes, d'une exigence extrême, le regard qu'elle pose sur son oeuvre lui permet d'en faire apparaître la cohérence et conduit le lecteur dans le monde de la création vive.
« Ses sculptures ne cessent de bouger et d'évoluer, sans pour autant faire usage de la moindre tricherie technique. Il suffit de contempler l'une de ses ..oeuvres pour tout de suite être frappé par une incessante invitation au mouvement. Une forme est-elle offerte ? Un profil se dessine-t-il ? Aussitôt, ils se mettent à évoluer. » Ouvrage publié à l'occasion de l'exposition « Un homme libre », au Silo à Château-Thierry (2011).
« Des formes primitives pour faire parler l'essence même du bois : la fibre. Un travail empreint d'un style épuré, minimaliste, dans lequel s'équilibrent l'esprit et son empreinte dans la matière avec élégance et sérénité. » Ouvrage que l'artiste a présenté à l'occasion de son exposition à la galerie Théo de Seine (Paris 6e) en avril 2012.
L'art de Haude Bernabé respire l'inconscient, qu'il soit universel ou privé. Il sert de nourriture crue aux faims essentielles, qui donnent envie de mordre dans les chairs de l'univers, et donnent à chaque être la source de sa propre respiration. Aérée des richesses de cet inconscient collectif, l'oeuvre entière incarne le fantasme aigu de l'existence saisie à la gorge, et mise à nu. Elle maintient intactes les charges magiques du pré-verbal.
- Un ouvrage monographique qui présente 40 ans de sculpture : des hommes de bois et de pierre sculptés à quatre mains - Une histoire de vie insolite, une philosophie de vie : un couple d'artistes nomades qui crée ensemble - Une double actualité L'ouverture d'un espace d'exposition permanente dédié à leurs oeuvres à Joucas, prévue en mai 2014 Ils seront les invités d'honneur du Montreux Art Gallery, salon d'art contemporain suisse, en novembre 2014, pour les dix ans du MAG
Ce bel ouvrage au format 24 x 30 cm, comprenant 96 pages avec couverture à rabats, présente l'oeuvre sculptée de Sylvie Koechlin à travers les photographies d'une centaine de sculptures sélectionnées sur l'ensemble de sa création artistique depuis 1988. Ce beau livre anniversaire comporte les textes d'Anne Brandebourg, historienne de l'art et une préface de Noël Coret, écrivain d'art, président du Salon d'automne ainsi que les textes de Sophie Beckary, Coutelle, Sylvie Koechlin, André Ruellan, Alix Saint-Martin.
L'artiste Illustratrice de formation à la fin des années 1970, Sylvie Koechlin se lance dans le modelage à partir de 1987 avant de faire la rencontre du sculpteur Coutelle, en 1989, dans l'atelier duquel elle aborde la sculpture taillée jusqu'en 1993.
Depuis Sylvie Koechlin, sculpte la pierre selon la technique de la taille directe dans son propre atelier, tout d'abord dans le quartier de Belleville à Paris de 1994 à 2005 puis à Boulogne-sur-Mer dans le Pas-de-Calais, depuis 2006. Elle travaille également le bronze, le bois, la mosaïque de marbre...
Ses sculptures ont été vues dans de très nombreuses expositions en France, Grande-Bretagne, Allemagne, Espagne, Egypte, Arabie Saoudite, Israël. Elle a reçu un grand nombre de prix et de médailles dont le Grand Prix Marcel Edouard Sandoz de la fondation Taylor à Paris, le Prix de sculpture du 143e salon de Versailles et deux lettres de félicitations du jury au cours des 40e et 42e salons de la Marine au musée du Trocadéro. Elle a créé le trophée du 88e Grand Prix d'Amérique. Daum à Nancy a édité deux de ses sculptures de petit format en pâte de verre.
Sylvie Koechlin est l'auteur de plusieurs sculptures monumentales de commandes institutionnelles et privées en France et en Belgique.
Viorel Enache, d'origine roumaine, est artisan-restaurateur de bâtiments anciens pour le compte des Monuments historiques (sur les hauteurs du Louvre, de la Sainte-Chapelle ou encore de l'hôtel de ville de Douai).
Il mène en parallèle une activité de sculpture, souvent influencée par sa fréquentation des monuments anciens. Ce sont ces derniers qui sont ici présentés.
Depuis 1982, il expose dans les galeries, musées et salons et participe à de nombreux symposiums de sculpture en France, en Finlande, aux Pays-Bas et au Mexique.
Le livre :
Un parcours en images : 30 ans de sculptures monumentales, de croquis et de photos d'atelier, ponctués de citations extraites de carnets de notes et de très courts textes explicatifs (traduits en anglais et en roumain)
L'art de Jean-René Sautour-Gaillard résulte de premiers accords, d'entremêlements de matières et de teintes, d'une symbiose initiale de symboles et de motifs. Laine, lin, fils d'or ou d'argent, coton ou encore soie, dans un premier tête-à-tête créatif, viennent surligner les traits du peintre-cartonnier, conduisant à un deuxième échange fécond. Ce que l'artiste cherche, le travail mêlé du peintre sur carton et du lissier, c'est une harmonie qui s'atteint grâce à des correspondances.
Joël Desbouiges est un artiste plasticien, peintre, illustrateur, photographe, lithographe et sculpteur français né en 1950. Peintures, reliefs, dessins, objets et photographies naissent de la relation singulière que l'artiste nourrit avec la nature, l'art et l'histoire. Son oeuvre prolixe et riche mêle intimement à l'homme la faune et la flore. Elle interroge les conditions d'émergence du visible et de la figure dans un bestiaire où l'animal est comme le double silencieux de l'humain.
Par la sculpture je pense et questionne mon rapport au monde. La mésologie est le mode philosophique contemporain qui me semble être le plus pertinent pour aborder ces questions, c'est pourquoi je suis heureux que son représentant le philosophe et géographe Augustin Berque ait accepté d'être le co-auteur de cet ouvrage et d'en donner le titre. Avec le point de vue d'un historien et critique de l'art, le philosophe Christian Noorbergen livre ici sa réflexion sur mon travail ainsi qu'un texte d'entretien dans l'atelier.