Cet ouvrage, de genre humoristique, est composé de différents textes fantaisistes avec un festival de jeux de mots sur fond de dérision et d'absurdité.
Le premier chapitre, intitulé « Dicodébil » - c'est tout dire - n'a vraiment rien d'académique.
Le deuxième, « Cogitations profondes », est tout aussi délirant.
Quant au troisième, intitulé « Les Grands Ecrivains », il est pour le moins iconoclaste.
Le dernier, « Des vers en dévers », est composé de divers poèmes originaux souvent burlesques ou déjantés.
Un grand merci à ma petite-fille
Solène qui a joliment dessiné
L'image de couverture
Maurice Chapuis
« Durant deux années de ma vie, j'ai travaillé dans une association à vocation sociale de 400 employés. Très vite se sont imposées à moi de grandes réunions mensuelles rassemblant une équipe d'animateurs socioculturels. Tous, nous venions écouter, tel un prêtre en son église, notre éblouissant directeur général. L'excitation provoquée par ce genre d'événement a rapidement laissé place à l'ennui le plus total.
L'oreille attentive et le cerveau éteint, j'ai commencé à griffonner quelques phrases extraites de ces conférences improvisées, que j'ai attribuées à des personnalités célèbres. J'avais, sans le savoir, trouvé mon passe-temps favori pour les prochaines réunions à venir.
Dès lors, chacune de ces rencontres furent l'occasion de m'adonner à mon nouveau jeu... »
Naé est un petit chien mordu de nature et de sa maîtresse Nelly. Afin d'accomplir une mission d'une importance cruciale pour la planète, il se construit une arche de souvenirs, au bord de laquelle il fait des aller-retours entre le monde qu'il vient de quitter et celui de l'au-delà. Pour communier avec Nelly, Naé veut devenir écrivain. Son premier ouvrage est un roman aux accents parodiques (il a des senseurs artistiques dans ses moustaches!). Madame H., tout comme les fascinants artistes rencontrés sur Canis Minor et les dogons l'aident à peaufiner son âme de chien.
Qu'en est-il de l'esprit canin après la mort ? A-t-il droit à un jugement dernier, à une réincarnation? Lisez et vous en saurez plus sur ses extraordinaires aventures... À savourer !
Ce recueil de textes ne se lit pas comme un roman.
Il se déguste, se distille, se savoure, jour après jour.
Si j'avais une ordonnance à rédiger, je vous conseillerais de lire une phrase ou un texte chaque matin.
Médication indispensable pour vous donner de l'énergie.
Si vous ne constatez pas d'amélioration immédiatement, vous pouvez doubler la dose indiquée ci-dessus car il n'y a aucun effet secondaire indésirable. Si vous mettez ce guide dans votre poche, vous pourrez vous y plonger pendant un trajet en métro, en bus ou dans le train.
Des citations, des poèmes, des textes qui font du bien.
A lire, à partager, à offrir. A consommer sans modération
Un petit livre qui mériterait d'être remboursé par la sécurité sociale !
L'épidémie de la Covid a surpris tout le monde et surprend encore car son évolution ne correspond à aucune épidémie rencontrée jusqu'ici. Au début, sujet d'indifférence car sévissant dans un pays lointain, la Covid suscita ensuite étonnement, incrédulité, inquiétude, agacement et finalement mécontentement. Néanmoins, la Covid se prête aussi aux rires, à l'humour et à la réflexion devant nos comportements et nos réactions. Les textes ont été écrits tout au long de l'année 2020. L'auteur alterne contes, poèmes, fables et pastiches de textes. Son ouvrage se veut drôle et poétique, mais aussi philosophique, polémique et instructif. Les notes de fin de texte apportent au lecteur l'origine de certaines informations et l'éclairent sur les références historiques, littéraires ou médicales.
Qui gagnera le titanesque duel médiatique entre la star Conchita Bond, Drag-queen sulfureuse, et la religieuse Anne-Claudette de Saint-Fion, à la tête de la ligue catholique contre le mariage gay, baptisée les Bigots homophobes ?
Ces personnages sont prêts à tout, même à vous révéler comment les médias vous mentent, vous abrutissent et vous manipulent. Ils envahiront vos écrans jusqu'à la nausée, jusqu'au combat homérique entre les troupes de Libération homosexuelle de l'OTAN et le Centre mondial de télécommunications, tombé aux mains de l'abominable complice d'Anne-Claudette : Adolf Vazozenfer. Conchita Bond vaincra-t-elle les forces de l'intolérance et du fanatisme ? Sauvera-t-elle le monde ?
Ce volume 2 des Chroniques déjantées se présente sous forme de brèves inspirées d'une expérience éducative de terrain et largement orientées vers le second degré. Vince porte un regard à la fois engagé, tendre et acerbe sur les métiers du social. À travers ses punchlines, dessins, détournements, traits d'esprit, évocations poétiques, il nous pousse, au-delà d'un humour parfois potache, à nous interroger sur le sens de l'éducation ou certaines valeurs, il nous invite à sortir de nos zones de confort en interrogeant les pratiques éducatives et l'évolution du travail social. Il est des vérités qui ne peuvent s'énoncer que dans un esprit de dérision.
Une lecture décomplexée qui gratte, qui intrigue, qui enflamme, qui dérange, qui surprend, qui offusque, qui revigore et qui ne laissera en tout cas personne insensible.
« Ordinaire et lambda, j'ose pourtant ! Et je me cite !
Aujourd'hui livrée à toute mine réjouie de me lire, auteure rebelle assumée, je rédige à qui le souhaite une ordonnance contre la monotonie invasive.
Citations inédites, réflexions singulières, jeux de mots facétieux.
Bribes d'un esprit amusé, capricieux, réfractaire et sensible, cet ouvrage est le résultat d'un travail assidu aux desseins escarpés : la recherche incessante du mot juste.
Humblement, je dédie cette franche besogne à tous les mots, célèbres ou inventés, qui ont survécu à cet étrange voyage.
À ceux vaillants, qui, rescapés, sont heureux de vous rejoindre le long de cet ouvrage-découverte.
Mais aussi à toutes ces pensées, aux oubliées de la nuit, qui, hélas, ont péri aux petits matins gourmands, englouties, dévorées. »
« Oxymore ou oxymoron : n m. Rhét. Figure de style qui réunit deux mots en apparence contradictoires. »
(Le Petit Larousse illustré.)
Ce livre rassemble :
Des nouvelles anciennes qui peuvent être d'actualité.
Des chansons silencieuses qui peuvent faire du bruit.
Des plaisanteries sérieuses qui peuvent faire rire.
Des oxymores qui peuvent être des objets de collection.
Brandon se réveille dans une pièce aux murs bleus... Ou verts... Il ne se souvient de rien d'avant son réveil et a visiblement subi un choc à la tête. L'homme part donc en quête de son identité et rencontre sur son chemin un épouvantail, un lion, et un bûcheron en fer-blanc.
Non, attendez, ça, c'est dans Le Magicien d'Oz. Non, Brandon, lui, rencontre un serveur qui s'appelle John. Et ce n'est pas DU TOUT un épouvantail. C'est un humain comme vous et moi. Et puis vous sauriez déjà tout ça si vous aviez lu le livre.
L'auteure entrouvre les coulisses d'un théâtre où déambulent les acteurs des pompes funèbres qui côtoient, chaque jour, la longue Dame Noire. C'est avec un clin d'oeil complice qu'elle dévoile au lecteur des scènes tragicomiques qui en feront sourire plus d'un ! Un recueil de nouvelles, de petites histoires qui donneront au lecteur l'opportunité d'apprivoiser cette Dame Noire qu'est la Mort... Des récits gorgés d'humour qui vous purgent et vous lavent de la peur, du malaise voire du dégoût qu'instille cette inconnue... Un humour souverain et insaisissable qui vous déstresse et vous libère de tous les tabous qui entourent cette grande Dame Noire. L'auteure ajoute : « Je vous le promets : vous allez sourire et peut-être bien que vous allez rire ! »
Voici un roman qui se voudrait bucolique et qui tourne heureusement au carnage... Parce que rien ne vaut le frisson pour échapper à la banalité du quotidien et aux tracas ; qu'ils soient sentimentaux, domestiques, professionnels...
De l'épouvantable donc, mâtiné néanmoins d'une touche d'humour qui fait aisément passer ce qui pourrait paraître particulièrement sanguinolent pour les « âmes sensibles ».
Des considérations humanitaires allant jusqu'à des réflexions pseudo-philosophiques émaillent le récit. Un regard plutôt acerbe sur notre société de consommation otage du système capitaliste, quelques diatribes contre des élites intellectuelles et politiciennes, et le rejet d'un mode de vie si néfaste pour l'avenir semblent heureusement s'intégrer dans le récit des mésaventures de Gustave et consorts.
Venant d'un autre lieu et d'une autre époque, voici une version souriante de la Genèse qui devrait permettre à tout Homme d'aimer ce Dieu sympathique (qui m'a créé à Son image !) plus proche de Zeus que de Yahvé.
Fort d'une longue expérience en mer, Ramon Brunelière a accumulé au fil des années un impressionnant savoir du langage maritime. Aussi bien technique que pratique, son dictionnaire rassemble nombre de termes spécifiques et d'expressions historiques oubliées qu'il a savamment gardés en mémoire. Celui-ci constitue une parfaite introduction pour quiconque souhaite mieux comprendre le jargon des marins regorgeant de métaphores fleuries. Des croquis et photographies viennent illustrer les anecdotes savoureuses sur les navigateurs célèbres, les vents, l'anatomie d'un bateau, les noeuds, ou encore les moyens de se repérer dans l'espace maritime. Une bonne dose d'humour confère en outre une tonalité plaisante et légère à cet ouvrage très spécialisé, souvent étonnant, parfois cru, mais jamais ennuyeux. La lecture séduira les non-initiés et enchantera les apprentis matelots ainsi que les vieux loups de mer.
C'est l'histoire, pas banale, d'un pauvre petit vétérinaire
qui devient multimillionnaire en opérant un chien.
Mais il faut quand même ajouter que ça a beaucoup saigné...
Fidèle à la tradition des moralistes du Grand Siècle, Michel-Olivier Dury décrit le comportement des hommes à travers des fables mettant en scène des animaux. Sous l'humour potache se cache souvent un regard critique plein de pertinence sur les excès du monde politique de la France contemporaine. Absurde, tragique parfois, comique souvent, la galerie de portraits au vitriol des représentants politiques qui se donnent ici en spectacle ne manque pas de saveur. Comme ses illustres prédécesseurs, l'auteur parvient aisément à distraire pour mieux instruire son lecteur. En lisant entre les lignes, on saisit la mesure du ridicule de ces gens avides de pouvoir, ce qui procure l'effet salvateur d'un défouloir.
Avez-vous remarqué que le 1er avril est un jour particulier dans l'année ? Le printemps s'est déjà installé et tout rayonne la fraicheur et de gaieté. C'est le jour où l'on entend des histoires invraisemblables ! Non seulement à la télévision, dans les médias sociaux mais aussi dans notre entourage, par notre famille et nos amis. Cette année, les habitants d'un petit village ont décidé de jouer un certain nombre de tours. Que vont-ils faire ? Personne ne le sait ou presque personne ! Car le secret est bien gardé. Tout commence à 5 heures du matin dans le garage des autobus scolaires... Tout le monde l'a compris ; les enfants ont plusieurs tours dans leur sac. Mais quand les parents s'en mêlent... en plus !
L'humour règne ici sous toutes ses formes : mots dont le sens est détourné, mots et dictons qui n'existent pas, historiettes farfelues et dessins illustrant ces propos.
Ne nous laissons pas tromper par la sagesse apparente du classement par ordre alphabétique, les jeux de mots et calembours rassemblés dans cet ouvrage sortent de l'ordinaire. Christian René se délecte des homonymes, sous-entendus et doubles sens qu'offre la langue française. Avec une virtuosité délicieuse, il égrène des définitions saugrenues et pleines de fantaisie, au fil desquelles l'humour se révèle une méthode efficace pour conjurer le mauvais sort comme la mauvaise humeur. Nul doute que sa collection de bons mots exercera un charme irrésistible sur le lecteur.
Effectivement, tous, on a l'air de rien. Mais la différence qui se crée n'est pas liée à l'intelligence ou à une beauté physique particulièrement exceptionnelle, mais à la manière de se construire ou tout simplement aux moyens qu'on se donne pour vivre chaque événement qui se présente à nous. Nous pouvons passer une vie entière sans rien apprendre et sans retenir une leçon quelconque de ce qui nous arrive. On est tous rock'n'roll, on passe tous du temps devant la télé... On a tous une pseudo-culture générale. Amusons-nous avec tout cela et partageons !
Chacun sait qu'une rencontre peut changer la vie d'une façon tout à fait inattendue. Qui aurait pu imaginer que le groupe des « pétasses » évolue si rapidement au détour d'un été, dans un bistrot de Saint-Malo ? La diversité des personnages offre un creuset dans lequel cette alchimie opère. On y rencontre même des francs-maçons... Un message de fraternité présenté avec un humour sévère parfois, toujours succulent, sans oublier la poésie chère aux auteurs.
Venons-nous de la mer, nous y retournerons. Comme cette eau qui va, vient, roule et porte ce qui fut notre histoire. La mer, gardienne des mystères de nos vies. Une attente et sa part indicible.
Parmi les bizarreries exposées ici, on remarquera l'absence de ponctuation visible, en particulier celle du point final, des passages en prose qui ne sont ainsi jamais définitifs, mais une invitation à poursuivre le voyage.
Les notes éparses assemblées dans ces quelques feuillets y font parfois référence, mais ce n'est pas son véritable nom, si tant est qu'il en ait un, nous l'appellerons Dieu.
Enfin nous ajouterons un zeste de sourire afin d'aérer nos châteaux de misère.
Récit anecdotique dont l'action se situe en Afrique équatoriale pendant près de vingt ans durant lesquels l'auteure a pu peindre différents portraits amusants et burlesques des indigènes, de leurs coutumes et de leur façon approximative d'utiliser la langue française qui entraîne maints quiproquos déroutants ou franchement drôles. Ainsi...
« Quand le boy se contente de poser le gâteau sur la table, je lui demande :
- Apporte aussi la pelle.
Ce à quoi l'homme de ma vie ajoute ironiquement :
- À gâteaux ! Tu aurais dû préciser !...
Une minute plus tard, en effet, le boy arrive avec la pelle du jardin ! »
Oui, encore un récit qui nous promène sur les routes de Saint-Jacques-de-Compostelle ! Mais cette fois, c'est hors des sentiers battus, pour très peu de temps, et en compagnie d'un duo attachant. Les aventures que vivent Claude et Dominique au fil de cette semaine tourmentée peuvent paraître bien anodines. Toutefois, l'autodérision affichée et cette narration légère - voire naïve -, parsemée de clins d'oeil, provoquent à coup sûr rire et jubilation, mais aussi parfois une réelle empathie, tant ces péripéties ont la couleur et la fraîcheur du vécu. Un moment agréable de lecture et de sport... pour les zygomatiques !