Editions Lanskine
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Quand un poète va dans les classes des lycées et que les mots émergent... ou pas. Eric Pessan nous parle de son expérience d'atelier d'écriture auprès de lycées et collégiens. Des moments de doutes, d'émotion, ce livre vivant, rageur, drôle aussi parfois montre toute la richesse de ces rencontres pour l'auteur et pour les jeunes qui ne diront peut-être plus "la poésie on s'en balek".
Poche 10.00 €Livre d'une jeune femme qui parle avec joie, douceur et vivacité de l'amour, du désir, de l'objet aimé.
Ce livre fait du bien, il est lumineux et tendre, et comme le dit si bien la photo de couverture de François Isnard, délicat.Grand format 15.00 €La plus petite subdivision
Katia Bouchoueva, Fanny Chiarello
- Editions Lanskine
- 10 Septembre 2024
- 9782359631395
Katia et Fanny s'écrivent depuis leurs villes de province,
respectivement moyenne et petite. Elles ne se connaissent pas, ne se sont jamais
rencontrées, mais se sont lues. Ce qu'elles apprennent l'une de l'autre à
travers leurs échanges de poèmes, elles l'apprennent surtout à travers des
lieux. Lieux fondateurs, lieux de vie, lieux fantasmés, lieux refuges, lieux
hantés. Leurs grands-mères, leurs amoureuses, leurs voisin-e-s, leurs ami-e-s et
le personnel médical sont les invité-e-s de ces vignettes de leur quotidien
passé ou présent, figures qui traversent les paysages modestes qu'elles
affectionnent. Ce qu'elles se confient, au fond, c'est peut-être leurs
subterfuges pour tenir dans un monde en flammes, en guerre, en constante
réduction. Les petits cercles des pierres qui entourent le feu de camp, les
petits cercles de proches, les petites subdivisions où l'on s'exerce à modifier
le réel par la poésie - rien qu'un peu, comme on pose une main sur des omoplates
secouées de pleurs.Grand format 16.00 €Sur commande
« Nous nous battons pour le plaisir » de Kadhem Khanjar évoque de façon récurrente la profonde tristesse et la colère que provoque la violence quotidienne en Irak, si banale que même la mort devient banale comme nous le voyons dans le poème d'ouverture sur le snipper américain, les morts ne sont plus que des trophées dont on se vante. Encore des morts, encore des restes humains éparpillés, encore un ami tombé. Rien de neuf sous le soleil qui plaque. Le poète toise le tyran : ses efforts incessants pour instaurer la terreur n'effraient plus personne. La population est habituée mais même sa mort ne libère pas. Et les familles sont détruites, les enfants meurent. Le Printemps arabe a conduit à une libération de la création artistique. La génération de Kadhem Khanjar se passionne pour le dessin, la peinture, le street art... et la poésie. C'est une parole qui fuse enfin dans un pays où on doit se taire, les corps qui exaltent dans une vie de contrainte, c'est le plaisir pur de la poésie-action, dans un monde qui ne jure et ne juge que par la tradition.
Grand format 16.00 €Beaucoup de poèmes des «construction d'un igloo» sont des sortes de tutos poétiques pour traverser la vie - dans un monde inondable, dans une vie parallèle. Cela, tristement et follement, grâce aux mots retrouvés de la profondeur et de la légèreté - avec un air de ne pas y toucher.
D'autres poèmes sont des mini-intermèdes ou les épisodes d'une poésie aventureuse, hasardeuse qui vient d'une impression d'étrangeté que cette même poésie arrange pour notre intelligence qui voudrait bien jouer à colin-maillard.
Beaucoup de ces poèmes sont donc pratiques comme des instructions. Idiots aussi, comme des tutos pour tout. Déterminants comme des bibliomancies. Déroutants comme des koans. Volants comme des écureuils. Décevants comme des chiens à poils longs. Désarmants comme les lèvres d'un lion.Grand format 16.00 €L'Afrique du Sud contemporaine est construite sur une identité nationale qui se caractérise par un traumatisme collectif permanent et son effacement simultané, une «Amnésie collective». Les thèmes qu'aborde Koleka Ptuma sont l'amour, la religion, les identités féminine, noire et queer, l'héritage de l'apartheid...
Elle pointe et dénonce le machisme qui règne jusque dans les milieux les plus «progressistes», la violence homophobe de la société sud-africaine, le manque de visibilité et les discriminations dont sont victimes les lesbiennes, entre autres dans son poème intitulé No Easter Sunday for Queers, (Pas de dimanche de Pâques pour les queers) qu'elle a adapté au théâtre. Ses poèmes, qui demandent avant tout «JUSTICE !», ont inspiré et accompagné de nombreuses manifestations et mouvements féministes et étudiants. son livre pose la question du genre en littérature et traduire Collective Amnesia implique de recourir au langage non genré, ce qui en français suppose des choix - adjectifs, participes passés, pronoms personnels - tout en veillant à ne pas gêner la lecture ce qui a été parfaitement réussi par le traducteur Pierre-Marie Finkelstein.Grand format 16.00 €Sur commande
On marche dans une ville étrangère, Montréal, de porte en porte, de visage en visage. On ne connait de ce jour, ni la dernière porte, ni le dernier visage. Une phrase s'éteint, les mains serrées sur la rambarde d'un balcon, une ville dans les yeux.
Ce livre est devenu un spectacle en 2020. Une lecture interprétée par Sandrine Bonnaire accompagnée par le trompettiste Erik Truffaz qui en a composé la musique. LA CLAMEUR DES LUCIOLES a été jouée en France, en Italie, en Suisse... et a été sélectionnée dans le cadre Un rêve d'Avignon par France Culture en 2020.
"...Je vais sortir. Je dois sortir. Marcher dans les rues, écouter la ville. Voir le pas des maisons. Voir les habitants entrer dans ces maisons et en sortir. Plus que tout, je dois aller voir le fleuve, le chemin qui marche, le Magtogoek des amérindiens, le fleuve aux grandes eaux. Le Saint Laurent. Mais peut-être ne sera-t-il plus là. Peut-être que le fleuve aura disparu au fond de la nuit dans le cerveau d'un homme qui le rêvait. Peut-être que le fleuve et tous ses transports de pommes douces, de sel et de farine, coule pour toujours dans le crâne d'un inconnu disparu en forêt. Peut-être que le fleuve que nous voyons là est une illusion, le reflet de la pensée d'un homme étendu sous les branches et que le chemin qui marche le protège maintenant de son absence."Poche 10.00 €Ventres, entre injonction sociale et désir d'enfant, entre amour et sexualité, Carole Bijou nous parle de la difficulté et la joie d'être une femme. Colère, inquiétude, plaisir, rapports à l'homme, à l'amour et au désir, force et faiblesse, cette poésie s'inscrit dans la tradition de la poésie de l'intime quand l'intime devient politique.
Grand format 14.00 €Là-bas les voleurs Ont pris mon appartement et tout ce que je possédais Et moi je les observe d'ici ÀÂ quatre mille kilomètres de la Terre promise Les voici qui mangent ma nourriture Qui dorment dans mon lit Qui se mirent chaque matin dans mon miroir Qui utilisent ma brosse à dents Et qui portent même mes sous-vêtements.
Ils ont fait des enfants Et chaque jour ils leur disent que cet appartement est un cadeau de Dieu  Mais les voleurs savent que je suis toujours là Entre nostalgie et colère, Tarik Hamdan écrit depuis Paris sur sa vie de réfugié palestinien. Se mêlent douleur du déracinement et de l'exil, colère contre le destin de la Palestine, recherche de liberté.Grand format 15.00 €Sur commande
En 2020, Sandrine Cnudde traverse seule la région Occitanie à pied, notant ses observations et photographiant paysages, gens et animaux. Elle en profite aussi pour faire des lectures publiques de ses textes chez des habitants. Au retour, elle travaille la mise en forme de ses collectes révélant des espaces invisibles, des liens silencieux qui unissent les hommes à leur territoire.
Grand format 16.00 €Sur commande
des errantes tissent des liens physiques, psychiques et temporels entre les personnes et leurs milieux, ou leurs « non-milieux » où elles ont atterri. Par une écriture poétique mêlant géologie et gériatrie, l'autrice donne à voir l'errance des personnes âgées rencontrées pendant dix mois en résidence d'écrivain Île-de-France à l'hôpital en les comparant à ces roches perdues, appelées blocs erratiques ou pierres errantes. Témoins des temps, des changements climatiques, ces blocs de pierre déplacés font écho aux « innom-mé(e)s » pris dans la perte de leurs repères mémoriels et géographiques. Des « dessouvenus » aux échoués, des égarés aux « dérangés », des errantes se veut un territoire d'accueil de tout cela en marge.
Grand format 14.00 €Sur commande
Depuis le temps que tout le monde l'annonce, voilà : c'est (enfin) La Fin du monde. Le livre de Samuel Deshayes et Guillaume Marie est un chant prophétique d'aujourd'hui, jouissif et inventif. Une danse de joie sur un volcan en train d'exploser. Partie de la banlieue sud de Paris, leur apocalypse englobe peu à peu toutes les histoires, toutes les géographies. On y croise des créatures fantastiques et immenses, une comète, une prophétesse, des lamantins. La Fin du monde, composée d'une trentaine de courts chapitres, joue des formes de la narration et l'explose avec les armes de la poésie. Deshayes et Marie reprennent des formes existantes (sonnets, sextines, versets, etc.), les détournent, en inventent de nouvelles.
Grand format 15.00 €Sur commande
Béatrice Machet chemine, en hiver, sur les berges du lac Michigan, l'humain s'efface. Le vent, que les Indiens d'Amérique comprennent comme principe de vie par excellence, circule en tous et en chacun, nous visitant et nous abandonnant tour à tour. Construit à la manière amérindienne, le livre s'ouvre et se termine sur une légende avec les formules rituelles appropriées, sachant que traditionnellement, pour les Indiens, l'hiver est la période de l'année réservée aux contes. L'auteure rend hommage aux Indiens Potawatomi, témoignant de leur présence encore palpable sur les bords du lac, bien que ce peuple ait été dépossédé de ses territoires depuis plus de cent ans.
Ce texte, comme tous les livres de Béatrice Machet, célèbre les cultures amérindiennes d'Amérique du nord dont elle a traduit de nombreux recueils de poésie.Grand format 15.00 €A quoi pourrait ressembler l'Enfer sur terre aujourd'hui ? En dialoguant avec La divine comédie de Dante, Laure Gauthier réinvente l'Enfer à partir du récit poétique d'un vieil homme anonyme qui s'enferme volontairement dans un hospice : il fuit notre monde où l'on est enseveli sous un flot constant d'images et d'objets et espère, depuis son EHPAD, trouver enfin le temps de penser à sa vie avant de mourir. Mais l'Enfer aujourd'hui, c'est bien de ne pas pouvoir nous retrancher ni respirer, ne pas parvenir à trouver le temps, même pas à l'orée de la mort.
Dans un récit sombre, caustique mais où l'humour affleure, Laure Gauthier nous offre un panorama de notre société en clair-obscur pour nous inciter à redresser la tête et à « oser faire le choix de respirer, les pieds nus et les mains vides ».Grand format 8.00 €Sur commande
Ewa Lipska traite des problématiques contemporaines et existentielles à travers la métaphore du numérique et de nos outils informatiques, plus largement à travers le champ conceptuel lexical de la machine, ce qui n'exclut aucunement le lyrisme. Pour nous parler de tout ce qui menace l'amour et notre monde, de la nostalgie de ce qui aurait pu être si " la raison n'avait pas été révoquée ", Ewa Lipska crée une langue profondément novatrice, une poétique ancrée dans une utilisation subversive et ironique du lexique du monde virtuel. Au-delà de son ancrage dans la littérature polonaise, elle nous interroge sur le monde contemporain et pour la première fois, ce nous qui dans ses recueils précédents englobait le genre humain, fait pour la première fois référence uniquement au couple, comme si, face à la folie et à sa vision catastrophiste du devenir du monde, l'intime et plus particulièrement l'amour, était le seul moyen de sauver l'être humain.
Grand format 14.00 €C'est ce que l'on désire
Jean-Philippe Cazier, Franck Smith, Claude Favre
- Editions Lanskine
- 6 Juin 2024
- 9782359631302
Ce livre a été écrit à 3 : Claude Favre, Frank Smith, Jean-Philippe Cazier. Le livre entremêle ces 3 voix juxtaposées, mélangées, tissées ensemble. Ce parti pris a conduit au choix de produire un texte constitué de fragments qui s'agencent, se répondent, se font écho, se reprennent ou divergent. Ce parti pris d'écriture correspond à ce dont il est question dans le livre. Celui-ci parle du monde, d'un monde lui-même fragmenté, mêlant des morceaux divers : fragments de faits, fragments de souvenirs, fragments de discours, fragments deréflexions. Le monde n'a plus d'unité.Le monde dont il est question est celui d'aujourd'hui avec sa violence politique, policière, guerrière. Avec aussi le passé qui hante le présent, et les morts du passé qui hantent le présent. Il est nécessaire de donner une place à ces morts. Comme il est nécessaire de ne pas simplement subir la violence du monde mais de lui opposer un désir - un désir pluriel synonyme d'invention, de création : création d'un point de vue critique, création d'une écriture poétique, création d'un rapport au monde, ces trois points étant nécessairement mêlés dans le livre.
Poche 12.00 €Sur commande
Dans "Une obscurité remplie de lumière" de la poète roumaine Doina Ioanid, la première partie intitulée "poèmes des fenêtres" nous offre des petits tableaux vivants de vues des fenêtres. Amsterdam, Delft, Rotterdam, Londres avec leurs maisons, les arbres, les enfants qui jouent, les reflets dans un seau d'eau, petits moments de vie qui font surgir des scènes du passé ou la figure d'un peintre. La deuxième partie qui a donné son nom au livre "Une obscurité remplie de lumière" nous emmène à Paris ou à New York, le long de la Seine ou au Petit-Palais, dans le métro, lors de la fête de la musique ou à Long Island avec Bessie Cohen, ou avec le grand Georgien ou Russe. Comme le dit Carmen Musat dans sa postface "Doina Ioanid collectionne des histoires et des objets pour son petit bazar de glaneuse, plein de souvenirs de toutes sortes rassemblés depuis des lieux et des livres qu'elle a parcourus."
Grand format 16.00 €Sur commande
D'ailleurs de Catherine Weinzaepflen nous emmène à Hawaï, en
Algérie, Sardaigne, France à travers des poèmes/lcorrespondance entre celle qui
reste et celui qui est parti. Instantanés du quotidien faisant la part belle aux
sens et aux sensations mais sans oublier rencontre avec l'autre. Ce texte
propose de magnifiques portraits de femmes et d'hommes, dont elle nous livre
parfois les noms Vroum, Georgia, Fabio ou bien juste saisis par un geste, un
mot, un regard, dans tout lieu du quotidien, sans oublier les animaux. Pour la
première fois chez elle, s'insère dans le champ poétique la photographie, non
comme illustration du texte mais comme poème à part entière ou plutôt photopoème
comme elle aime à les appeler. Photographies de paysage, d'objet, de détails de
maison, elles deviennent partie du livre à part entière. Paysages, repas, vie
quotidienne, petites histoires, mais aussi actualité, la poésie de Catherine
Weinzaepflen parle du monde comme il va.Grand format 16.00 €Entrer dans la poésie de Sophie Loizeau est comme pénétrer dans une forêt dense et secrète. Ou plutôt un enchevêtrement de bosquets touffus où se cachent animaux sauvages et farouches, déesses, dieux, fées et esprits. Voici Diane qui prend son bain sous la clarté de Séléné, et Pan, qui de la chèvre, ou du bouc, a le côté fantasque, et de l'homme le désir. C'est par une écriture audacieuse et provocatrice, quand elle n'est pas inédite, que Sophie Loizeau magnifie le corps et la nature. C'est ainsi que s'ouvre cette anthologie, faisant une large part à ses trois premiers livres publiés, avec en final de cette "trilogie du corps et de la bête", une véritable fête au bouc, ode au dieu Pan qui donne son nom à cette anthologie. Dans une langue crue s'exalte une féminité triomphante, qui passe par une sexualité assumée et libre de toute contrainte.
Poche 12.00 €Texte traversé par le désir, le corps, le deuil et la mélancolie, qui parle de la fin d'un amour, de l'absence, du départ de l'homme qui retourne chez lui, en Argentine. La femme fuit son appartement, dort à l'hôtel, il l'appelle au téléphone, chaque nuit, puis elle bloque son numéro. Elle revient chez elle, essaie de vivre. Puis un jour.... il est là. Les dessins de Kent accompagnent ce texte, ils dialoguent dans un récit intermittent jour/nuit fait de présence et d'absence à la fois. Un spectacle musical accompagne ce texte.
Grand format 15.00 €L'auteure, à la suite de discussions avec sa mère sur la sexualité et la condition de la femme sous le franquisme, sur ses souvenirs d'enfance. Apparaît très vite à travers le destin de trois femmes, trois manières d'être. Texte qui met en scène trois générations de femmes marquées par le franquisme pour les deux plus âgées, il s'est écrit à partir de discussion avec la mère, souvenirs d'enfance sous le franquisme, destin de la grand-mère. Mais chaque voix s'écrit à la première personne, ce je permettant de mettre en résonance trois destins marqués par l'histoire, par la géographie. importance de l'église catholique dans l'Espagne franquiste qui va déterminer et entraver la vie des deux femmes plus âgées. Poésie de l'intime mais révélateur d'une histoire plus large, d'une époque sous un régime politique précis.
Grand format 15.00 €Sur commande
Le champ de la plinthe c'est trois cent cinquante paragraphes.
C'est une série d'exercices de langue pour débutants. Phrases déclaratives. Propositions indépendantes. Énoncés grammaticaux simples.
C'est un mélange, une machine à tambour. Situations en nombre réduit qui reviennent périodiquement.
C'est une combinatoire. Figures répétitives, différemment agencées. États transitoires sous l'apparent arbitraire des faits, des actions et de leur enchaînement. Fixité d'une forme dont la brièveté permet d'en resserrer l'objet.
Ici, la phrase est ce qui relie un point à un autre.Grand format 15.00 €Ces Poèmes de bureau sont le fruit de hautes pressions, le surgeon de violences managériales extrêmes et même la tentative de comprendre les jeux pervers qui régissent les entreprises aujourd'hui. Écrits en 2015 et 2016, à l'époque où l'auteur s'est fait lanceur d'alerte dans une grande institution publique, ces poèmes donnent un aperçu souriant mais tendu de la complexité des rapports professionnels contemporains. Ses premiers lecteurs l'ont qualifié de "vif" et "caustique", y ont vu "des variations sur le fumeux social", lui ont reconnu "une langue simple comme j'aime", et une "ironie feutrée" qui triture et fait craquer "le discours ordinaire dominant".
Grand format 10.00 €Sur commande
« Elle n'en pouvait plus d'être aimée et c'est à partir de ce constat que, si l'on peut dire, elle décida de nuire, elle décida de se rendre inutile à l'humanité, elle n'en pouvait plus des attentions, des amabilités, des gouzi-gouzi, elle aspirait, comment dire, à rendre au centuple en malheur le bonheur qu'on insistait à lui donner, on allait voir ce qu'on allait voir, on allait bien s'amuser. » Des cadavres à gogo sur le chemin parfumé de la douce Bibichette, puis l'apparition d'un véritable archange, alors l'inévitable choc éternel entre le Bien et le Mal : qui s'en sortira ? Livre loufoque et plein d'humour noir qui joue sur l'image sociale : comment une si jolie fille peut-elle être aussi monstrueuse?
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