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pierre bertrand
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Monsieur et madame Jolitrille viennent d'avoir un joli petit oisillon. Aussitôt le papa, professeur de chant très réputé, décide que son fils aura "le chant le plus beau, le plus éclatant, le plus merveilleux de tous les oiseaux..." De son côté, Pimpon aimerait bien faire plaisir à son papa et peut-être devenir, comme lui, le meilleur chanteur de la forêt.
Oui mais voilà, quand votre voix fait trembler toute la communauté des oiseaux, les déceptions pointent le bout de leur nez !
Pourtant, le Grand Concours de chant arrive bientôt et Pimpon va devoir s'exprimer devant tout le monde, sous l'oeil très attentif de son papa à qui, évidemment, l'histoire réserve quelques surprises !
Le texte de Pierre BERTRAND évoque avec humour et légèreté le rapport père-fils dans sa complexité et les projections narcissiques des parents qui peuvent être parfois lourdes à porter pour leurs enfants.
Il est accompagné avec douceur par les illustrations colorées de Susanna RUMIZ dont c'est le premier album.
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Trois cochons petits et le méchant grand loup
Pierre Bertrand
- Bayard Jeunesse
- Les Belles Histoires
- 29 Mai 2015
- 9782747055284
Humour, crainte et surprise sont au rendez-vous pour cette histoire de loup pas comme les autres !
Les Trois Cochons Petits ont fait tellement de bêtises que leur maman, très énervée, a décidé de les mettre à la porte. Et, dans la forêt, voilà qu'ils rencontrent... LE MÉCHANT GRAND LOUP !
Que va-t-il leur arriver ?
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Nul ne peut ignorer aujourd'hui le terme de "biocarburants "... Sous ce terme se cachent pourtant des réalités opposées: des faux espoirs d'avenir radieux et propres, des pseudo carburants écologiques mais aussi quelques bonnes solutions qui peuvent compléter notre bouquet énergétique. C'est le cas de l'huile végétale pure. Dans cet ouvrage court et didactique, Pierre Bertrand présente de façon très complète l'huile végétale pure et ses avantages vis-à-vis de ses " concurrents ". À travers une synthèse des connaissances et des recherches actuelles mais aussi grâce à de nombreuses rencontres avec des utilisateurs, des producteurs, des associations, des organismes de recherche... l'auteur passe en revue les aspects écologique, économique, juridique et politique. Il répond aussi à toutes les questions pratiques: puis-je mettre de l'huile végétale dans mon réservoiroe Combien cela va-t-il me coûteroe Est-ce que je prends des risquesoe Ai-je le droitoe Le moteur de ma voiture va-t-il le supporter...
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Ouverts à ce qui nous depasse ; essai sur le présent vivant
Pierre Bertrand
- Liber
- 26 Février 2016
- 9782895785170
La philosophie, la littérature, les arts et les sciences augmentent notre puissance de vivre. Ils élargissent nos horizons, nous dévoilent une partie, une partie seulement, de la grandeur et de la complexité de la réalité, des autres et de nous-mêmes. Plus nous sommes ouverts à la réalité, plus nous sommes vivants - traversés et propulsés par sa puissance ou son énergie. Plus nous sommes ouverts, plus nous éprouvons l'affect d'étonnement, d'admiration et d'émerveillement. Notre défi à l'heure actuelle n'est pas tant d'augmenter notre puissance d'intervention, d'exploitation, de production et de destruction que d'accepter notre finitude. Notre capacité d'accepter de ne pas avoir de réponses à nos grandes questions constitue sans doute la part la plus noble de notre humanité. Cela n'est pas résignation, mais manière d'entrer autrement en relation avec le monde, avec les autres et avec nous-mêmes. La connaissance, telle que nous l'exerçons traditionnellement, est en grande partie liée à une volonté de maîtriser, de posséder, de dominer et d'exploiter. Nous pouvons être dans une autre relation, comme nous le sommes avec des êtres chers. Une part d'eux nous demeure obscure, mystérieuse, comme elle l'est pour eux-mêmes. Nous ne cherchons pas à les connaître ou à les expliquer de manière à pouvoir les utiliser, les manipuler et les exploiter. Nous apprenons plutôt à vivre avec eux dans le respect et l'affection mutuelle.
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"Nous sommes des êtres fragiles et la réalité sociale dans laquelle nous nous trouvons en tient fort peu compte, nous proposant au contraire un idéal de performance ou d'excellence. Une part de ce qu'il y a en nous d'humain est oubliée, comme si nous avions honte de notre humanité et des imperfections qui lui sont inhérentes, et que nous nous rêvions surhumains, dieu ou machine. Il en a d'ailleurs toujours été ainsi sur le plan collectif.
L'idéal de sainteté puis celui de sagesse ont précédé l'idéal d'excellence, l'idéal d'aujourd'hui. Toujours l'humanité de l'humain est déniée, telle une tare. Ces idéaux détruisent l'être humain, loin de l'aider à se développer et à réaliser la puissance de son être vivant. En fait, il s'agit d'abord et avant tout de voir la réalité telle qu'elle est. C'est grâce à la vision qu'une solution allant dans le sens de la puissance de vivre peut concrètement se trouver ou s'inventer au sein de la réalité telle qu'elle est.
L'important est que la vision, même au sein de la répression, que celle-ci soit brutale ou douce, absurde ou argumentée, demeure intacte, que, mieux encore, elle soit rendue plus vive, plus aiguisée par le défi ou l'épreuve. La vision de la réalité est plus puissante que toute injonction émanant de l'idéal." Pierre Bertrand.
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« Quand Mamie est partie, personne n'a plus rien dit. Maman était toute blanche. Papa était tout gris. Le temps était à la pluie. Il pleuvait dehors. Il pleuvait dedans aussi » Ainsi commence l'histoire de cette petite fille dont la grand-mère vient de mourir. Même si la mort est montrée de manière simple, à aucun moment elle n'est nommée directement : on suit le regard de cette petite fille sur cet événement à apprendre, à comprendre : le départ, la disparition, la tristesse des parents, la pluie qui tombe et qui ressemble à l'état de notre coeur. Un récit tout en douceur, relayé par des illustrations dont la simplicité laisse percer toute l'émotion. Un regard unique comme l'est le regard de chaque enfant, sur la mort et sur la vie. Un récit en toute liberté pour laisser à l'enfant le temps et le droit de comprendre à son rythme.
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« Contrairement à ce que laissait entendre Aristote, il s'agit de connaître pour être, non pas de connaître pour connaître. En effet, connaître pour connaître nous a conduits là où nous sommes, à vouloir devenir maîtres et possesseurs de la nature, comme le souhaitait Descartes, c'est-à-dire, nous le constatons aujourd'hui, des destructeurs de la nature et par là de nous-mêmes. Connaître pour connaître nous conduit au non-être en nous faisant oublier que nous sommes d'abord vivants. Connaître pour connaître ne se donne aucune limite. Tout devient possible, et la vie est forcée de s'adapter, y compris à des conditions qui la malmènent, la menacent et la détruisent. » Ainsi commence la réflexion de Pierre Bertrand sur la volonté de l'être humain de s'extraire du chaos par la création artistique, de même par la science et la religion. C'est à partir du malaise ou du mal-être, de tout ce qui se bouscule en lui, de ce qui se télescope et va dans toutes les directions, à partir de ses questions, de ses crises, de ses lacunes, de sa souffrance, de ce qu'il a pour lui de plus terrible qu'il créera. Le mouvement de création s'amorce à partir de l'informe, de l'indéterminé, du non-sens et l'épouse afin qu'il se transforme de lui-même en une forme et un sens qui permettent à la vie d'avancer. Le chaos n'est jamais dépassé une fois pour toutes, ce pourquoi l'être humain ne cesse jamais de créer.
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Ne peut, en aucune façon, s'incarner. Car dût-il s'incarner, il ne serait plus à la hauteur de lui-même, à savoir du pur fantasme. L'être parfait est un fantasme, seul le fantasme est parfait, mais tout ce qui existe est imparfait, mortel, avançant à tâtons, digne d'admiration pour toutes les forces adverses qu'il doit affronter, objet de compassion pour toutes les défaites qu'il doit subir. Pourtant, la réalité n'est dite imparfaite qu'en comparaison avec l'idéal ou le modèle. Considérée en elle-même, elle est, au contraire, infinie richesse, perpétuelle prolifération, source de toutes les valeurs, origine de tous les fantasmes, de tous les idéaux et de tous les modèles. La norme, l'idéal constituent un appauvrissement, une simplification, une standardisation ou une uniformisation de ce qui est. Le fantasme est toujours celui d'un présent passé ou futur, âge d'or ou paradis perdu, apocalypse, utopie, etc. Le réel, quant à lui, est toujours de l'événement vivant, en train de se faire et d'advenir à l'intérieur d'un corps à corps. Autant l'homme se complaît dans le fantasme, autant il se sent perdu. C'est en prenant la réalité à bras-le-corps, quelle que soit la nature de cette étreinte, amour ou haine, qu'il se retrouve. Il peut enfin lutter et agir au lieu de simplement subir. "
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«La question demeure ouverte à toutes les époques: "Qu'est-ce que la réalité?" Aucune réponse ne me semble complète ou définitive. Nous n'avons accès qu'à une infime partie de cette réalité plurielle, changeante, éternellement énigmatique, dont nous faisons nous aussi partie, loin d'avoir sur elle une position de survol. Demeurons donc modestes dans nos prétentions de la connaître. Comment pourrions-nous prétendre connaître une autre personne, qu'elle soit vivante ou décédée, si nous ne nous connaissons même pas nous-mêmes, ou ne nous connaissons que partiellement et superficiellement? Une telle ignorance n'est pas une lacune que nous pourrions éventuellement combler. Nous pouvons modifier notre perception et notre connaissance des autres et de nous-mêmes, mais une part irréductible de la réalité demeure intrinsèquement hors de portée. C'est la part d'ombre.» Si la biographie et l'autobiographie, la connaissance de soi et celle des autres, forment le fil conducteur de cette réflexion sur la réalité qui nous échappe tout en nous constituant, c'est aussi au travers de ses thèmes familiers - le corps, la création, la relation amoureuse, par exemple - que Pierre Bertrand en déploie toutes les résonances philosophiques et existentielles.
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«Je crois fermement que c'est l'art de vivre qui se trouve au soubassement de tout art particulier, que c'est pour apprendre à vivre, apprendre toute sa vie à vivre, que l'artiste crée, que c'est pour inventer la vie qui passe bien plus que des objets qui restent, que l'artiste donne naissance à des oeuvres. L'artiste est conscient de la vie comme nul autre, de cette vie que l'on ne peut figer, qui demeure éternellement indomptée et énigmatique. En explorant l'inconnu par son art, l'artiste cherche à être à la hauteur de la puissance de vie dont il fait partie. Ce faisant, il apprend et nous apprend à vivre.» «Les textes rassemblés ici ont, pour la plupart, d'abord été lus devant divers auditoires. J'ai voulu les réunir d'abord pour répondre au souhait que le public m'a à plusieurs reprises formulé de pouvoir les lire après les avoir entendus. Mais aussi pour garder la trace du cheminement de la pensée et de sa façon de s'adapter aux circonstances. Le thème directeur est celui de la création, mais je m'y exprime aussi, peut-être sur un ton plus direct et plus personnel, sur les autres questions qui me requièrent depuis toujours la philosophie, la vie, l'immanence, etc. Les textes ont été regroupés en trois parties, entre lesquelles j'ai voulu établir un rapport de symétrie harmonique, façon d'évoquer, dans la structure même du livre, la dépendance mutuelle des sujets abordés et la nécessité de sans cesse les reprendre, de le remodeler, de les reformuler, en espérant chaque fois mieux les observer ou les faire apparaître de manière plus vive.» Pierre Bertrand
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Acte pour la licence. Code Napoléon. Des successions. Droit commercial. De l'échéance : Droit administratif. Procédure de demandes en décharge ou réduction de contributions directes
Pierre Bertrand
- Hachette Bnf
- 1 Mars 2018
- 9782019994396
Faculté de droit de Toulouse. Acte public pour la licence... : [Jus romanum : Commodati vel contra. - Code Napoléon : Des successions. - Droit commercial : De l'échéance. - Droit administratif : Procédure à suivre dans les demandes en décharge ou réduction de contributions directes.] / soutenu par M. Bertrand (Pierre), ...
Date de l'édition originale : 1858
Sujet de l'ouvrage : Droit -- Thèses et écrits académiques -- France -- Toulouse (Haute-Garonne) -- 19e siècle
Appartient à l'ensemble documentaire : MidiPyren1
Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF.
HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande.
Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables.
Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique.
Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.
Pour plus d'informations, rendez-vous sur www.hachettebnf.fr -
Examen de conscience pour les jeunes, d'après les Béatitudes.
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