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Pierre Guenancia
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Luttant à la fois contre le culte moderne du moi et le communautarisme qui divise les hommes, ce livre révèle la fonction civilisatrice du Je. Notre époque semble être obsédée par la quête de l'identité, celle du moi comme celle des communautés qui fragmentent et démantèlent le monde commun. Qu'il s'agisse du moi de chacun ou du nous qui n'en est que la forme agrandie, nous devrions rechercher et revendiquer la sacro-sainte « différence » entre moi et les autres, entre nous et les autres. L'ambition de L'Homme sans moi est de démontrer le caractère factice de ce moi largement imaginaire en le distinguant nettement du Je de l'homme conçu comme un être portant en lui-même une dimension cosmopolitique, capable par la pensée de changer de place, de se comprendre lui-même comme l'un des référentiels possibles du monde commun. Cet essai sur l'identité qui mobilise les ressources des grandes pensées philosophiques, notamment celles de Descartes, Pascal, Husserl et Levinas, défend l'idée plus actuelle et plus nécessaire que jamais que c'est en tant qu'êtres singuliers et universels que les hommes forment la communauté indéfiniment ouverte des citoyens égaux d'un même monde.
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La voie des idées, de Descartes à Hume
Pierre Guenancia
- Puf
- Une Histoire Personnelle De La Philosophie
- 23 Septembre 2015
- 9782130729693
Lorsque Descartes fait de la connaissance de l'esprit humain la principale tâche de la philosophie, il lui applique l'idée moderne de la science comme connaissance certaine et évidente. Durant les 150 ans qui suivront, aucun penseur ne reniera cette étincelle cartésienne. Dans son sillage mais aussi contre elle, dans le ciel de la philosophie apparaît une constellation de penseurs de premier ordre : Pascal, Hobbes, Spinoza, Malebranche, Leibniz, Locke, Berkeley, Hume. La recherche philosophique accompagnant la « révolution scientifique » commencée avec Galilée s'engage alors dans « la voie des idées ».
C'est donc sur cette voie que Pierre Guenancia nous entraîne, soulignant toujours dans les différences et les oppositions entre les philosophes la perspective épistémologique qui leur est commune : l'analyse de la connaissance doit précéder la connaissance des choses de l'univers, car ce n'est qu'à partir de nos idées que nous pouvons connaître les choses.
Grand format 16.00 €Sur commande
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Une idée voudrait aujourd'hui dominer : que les hommes, c'est-à-dire des individus, sont d'abord les membres d'un tout - État, parti, nation, ethnie, peuple, communauté religieuse. Mais, soutient Descartes, un individu n'appartient à personne. Les déterminations qu'il reçoit de l'extérieur - sa race, sa nation, sa religion -, pour importantes qu'elles soient, ne tracent pas un cadre dans lequel il doit nécessairement s'inscrire. À chacun revient la liberté primordiale de s'inclure dans une communauté ou dans un tout, ou de s'en séparer.Critique des faux dévots, bigots et superstitieux, Descartes, qui voit dans le mélange de la politique et de la religion l'essence de la terreur, réfute d'abord toute division des hommes entre deux catégories (fidèles/infidèles ; amis/ennemis ; citoyens/étrangers). Ensuite, il soutient l'idée qu'un individu peut valoir plus que le reste de sa ville et que c'est à lui de le déterminer : «Et si un homme vaut plus, lui seul, que tout le reste de sa ville, il n'aurait pas raison de se vouloir perdre pour la sauver.» Ces deux points d'appui, inséparables et sur lesquels bâtir une politique cartésienne, nous rappellent que c'est le jugement de chacun et non la règle, la consigne, le commandement, qui remplit l'office de la raison dans le domaine des choses humaines, dans le cours des actions et des événements. Serait-ce l'actualité de Descartes ?
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La voie de la conscience ; Husserl, Sartre, Merleau-Pounty, Ricoeur
Pierre Guenancia
- Puf
- Une Histoire Personnelle De La Philosophie
- 28 Février 2018
- 9782130748717
Pierre Guenancia décrypte les quatre grands auteurs qui ont suivi la « voie de la conscience » au cours du XXe siècle, et dévoile ainsi ce courant souvent obscur et pourtant primordial qu'est la phénoménologie. Depuis Husserl jusqu'à Ricoeur, en passant par Sartre et Merleau-Ponty, le grand mouvement philosophique de l'époque contemporaine met l'intentionnalité, donc la libre conscience de l'homme, au coeur de ses considérations. Après la révolution des sciences sociales (objet d'une « Histoire personnelle » par Johann Michel), la phénoménologie signe la renaissance d'une philosophie conceptuelle qui va marquer en retour toute la culture européenne contemporaine.
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" l'esprit cartésien " n'a pas très bonne image aujourd'hui.
Il est souvent synonyme d'un rationalisme autoritaire et réducteur. or, le cartésiansisme, philosphie de la clarté et de la distinction, est inséparable de la recherche, par la métode du doute, de l'idée qui convient à chaque réalité. philosophie de la liberté, rien n'y a plus de prix que le bon usage par chacun de sa faculté de penser, le fameux cogito dont descartes a montré, pour la première fois avec une telle évidence, qu'il constitue l'essence même de l'homme.
Pierre guenancia explique ici comment descartes, à mi-chemin de montaigne et de pascal, a ouvert la voie de la philosophie moderne.
Poche 16.20 €Sur commande
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Pourquoi lire Descartes ? Parce qu'il n'est pas sûr que les usages scolaires et isolés du Discours de la méthode n'aient pas contribué à une incompréhension de cette philosophie : trop souvent la limpidité de sa langue occulte la complexité de sa pensée.Comment lire Descartes ? En reprenant son mouvement - comme le fait Pierre Guenancia dans la première partie de cet ouvrage -, en réorganisant la lecture de l'oeuvre à partir de ce qui en est la causalité première, l'impulsion et le moteur : l'idée de liberté. D'elle, tout part ; à elle, tout aboutit : la méthode, la physique, le modèle des corps-machines, la métaphysique, la morale.Lire Descartes, d'autres générations de philosophes l'ont entrepris, posant à l'oeuvre des questions qui ont fini entre autres par constituer le cartésianisme - c'est l'objet de la deuxième partie de ce livre : sur les rapports entre le mécanisme et la finalité, le concept d'institution de la nature, le problème de la technique, la critique de l'histoire, l'absence d'une politique cartésienne, la vérité, la représentation des passions. En cela, l'oeuvre de Descartes, pratique méthodique du questionnement et non pas système clos sur lui-même, demeure ouverte aux interprétations qui toujours la relancent.
Poche 14.30 €Indisponible
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L'Intelligence du sensible : Essai sur le dualisme cartésien
Pierre Guenancia
- Gallimard
- 16 Octobre 1998
- 9782070752270
Le dualisme cartésien est aujourd'hui un spectre qui hante la scène philosophique et scientifique : il désigne l'opposition du corps et de l'esprit. Historiquement, c'est pourtant résolument l'inverse : il marque l'appartenance de l'homme en même temps et indissociablement au monde de la pensée et au monde de l'étendue physique. À la différence du corps, composé de parties elles-mêmes décomposables en plus petites parties en sorte que l'on peut le connaître dans ses fonctionnalités et en faire l'objet de sciences certaines, l'esprit humain ne se manifeste tout entier, et n'est connaissable, que par le seul fait de penser. De l'esprit, on ne peut expérimenter que le fait qu'il pense, et nul autre que celui qui pense peut l'expérimenter : l'esprit est partout où il y a conscience d'agir, de voir, de sentir ou de ressentir.
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Liberté cartésienne et découverte de soi
Pierre Guenancia
- Encre Marine
- 11 Octobre 2013
- 9782350880709
Dans les deux textes composant ce volume, on confronte Descartes pour qui la liberté est un fait certain et plus clair qu'aucun autre avec Hobbes qui récuse la validité de ce fait au nom de la nécessité universelle qui gouverne aussi bien les événements naturels que les actions humaines. On cherche à montrer ensuite quue la liberté ne serait pas le pouvoir ou la perfection propre à chacun de nous sans l'épreuve de la résistance que le corps propre oppose à l'effort (Maine de Biran), sans une confrontation de tous les instants avec ce que Ricoeur nomme l'involontaire, engageant ainsi une discussion de fond, féconde et exigeante, avec Descartes auteur d'un Traité des passions. Le croisement entre le point de vue phénoménologique et celui du "physicien" sur l'affectivité montre aussi qu'expliquer et comprendre ne sont pas comme des mondes parallèles.Pierre Guenancia est professeur d'histoire de la philosophie moderne à l'université de Bourgogne. Après plusieurs livres et articles sur Descartes et la pensée classique, il a publié récemment Le Regard de la pensée. Philosophie de la représentation (PUF 2009), Descartes chemin faisant (Encre Marine, 2010), Divertissements pascaliens (Hermann, 2011), ainsi que la réédition de Descartes et l'ordre politique (Tel, Gallimard 2012). À la suite de plusieurs textes sur le cosmopolitisme, il prépare un essai sur les Prolégomènes à une philosophie du cosmopolitisme.
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Divertissements pascaliens
Pierre Guenancia
- Hermann
- Philosophie Hermann
- 12 Octobre 2011
- 9782705681890
Chacun des textes qui forment ces Divertissements pascaliens traite d'une question distincte : la justice, le droit et la politique, la raison, le premier principe, la figure du corps, le moi, le coeur, le divertissement, l'unité et la diversité. Cela forme un faisceau de directions différentes et non un enchaînement de parties qui s'ajoutent les unes aux autres. Cette disposition est conforme à l'esprit pascalien, plus synthétique qu'analytique, plus attentif à saisir les différences entre les choses, les domaines, les êtres, qu'à chercher à relier toutes les choses au sein d'un système qui montrerait l'unité du tout. Le style pascalien, dans la forme comme dans le fond, consiste à passer sans trop s'y attarder d'une question à une autre et à multiplier ainsi les angles d'attaque des problèmes qu'il semble rencontrer sur sa route plus que sortir de son esprit. Ce style est un « art de la digression ». Il consiste à propos de toute chose, de la plus légère à la plus grave, à avoir toujours en tête la question de son sens, à ne jamais perdre de vue son sujet. Pascal nous force à poser les problèmes les plus profonds maintenant, sans différer car ils sont urgents et touchent à la vie de chacun de nous. Ce n'est pas pour l'éternité qu'il faut penser, c'est dans l'urgence du présent qu'il faut se décider à apporter une réponse aux questions qui touchent autant le coeur que l'esprit.
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Le regard de la pensée ; philosophie de la représentation
Pierre Guenancia
- Puf
- Fondements De La Politique
- 7 Novembre 2009
- 9782130577720
Par le terme de représentation on désigne le plus souvent ce qu'il y a dans l'esprit de manière vague et générale, comme lorsque l'on dit que nous n'avons affaire qu'à nos représentations, ou, selon une célèbre expression, que le monde est notre représentation.
Cette conception commune aplatit et méconnaît le caractère dynamique de l'acte ou de l'activité de se représenter, opération par laquelle l'esprit fait venir au-devant de lui quelque chose qui n'est pas réellement présent mais qui le devient grâce à l'effort pour se donner un modèle, une figure, un schéma de ce qui ne peut être directement saisi. Trop de lumière éblouit, dit Pascal qui avait parfaitement compris qu'il fallait un peu d'ombre pour représenter la lumière, et du recul pour voir ce qui est représenté sur un tableau.
Il est aujourd'hui essentiel de souligner l'importance de la médiation dans le rapport que l'homme établit avec la réalité présente, avec les autres hommes comme aussi et surtout avec lui-même.
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Les douze études qui composent ce volume portent toutes sur des questions centrales du cartésianisme. Questions relatives à la connaissance du monde matériel et à la nature de l'âme, cette chose qui pense... Questions relatives à des problèmes plus ponctuels mais tout aussi essentiels, comme le jugement de Descartes sur Le Prince de Machiavel, ou les conseils donnés à la princesse Élisabeth sur la sagesse, la conduite de la vie, la nature du bonheur, la maîtrise des passions.
Ce n'est donc pas un Descartes systématique et purement spéculatif que ce livre cherche à expliquer, un Descartes déjà fait pour ainsi dire, mais plutôt un Descartes se faisant, au fil des rencontres avec les problèmes et les personnes. C'est une pensée qui n'a cessé de s'élaborer et de progresser d'une question à une autre, d'un domaine à un autre, une pensée en chemin, que cette suite d'études s'efforce de suivre au plus près de son développement et de sa progression, afin d'en montrer la puissance intacte et l'actualité toujours présente, comme on peut le voir dans les réflexions de Michel Foucault sur le sujet cartésien ou dans la réappropriation par Paul Valéry de la philosophie cartésienne à laquelle on doit l'avènement en philosophie d'un « Moi mémorable ».
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Grand format 8.08 €
Indisponible
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Philosophie presente descartes
Pierre Guenancia
- Bordas
- Philosophie Presente
- 15 Février 1993
- 9782040190484
Poche 10.00 €Épuisé
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L'imagination
Philippe Choulet, Arnaud Tomès, Marion Bet, Paula Galhardo-Cepil, Vincent Geny, Pierre Guenancia, Collectif
- Lambert-Lucas
- Didac-philo
- 19 Septembre 2023
- 9782359354201
L'imagination ne s'est pas d'emblée donnée à penser : elle s'est d'abord manifestée par ses productions - mythes, fantasmes, oeuvres d'art ... - et avant même de la reconnaître, la philosophie l'a d'abord refoulée et combattue. Force d'illusion pour Platon, « maîtresse d'erreur et de fausseté » pour Pascal, l'imagination n'a pourtant cessé de travailler, de manière souterraine, toute l'histoire de la philosophie. Loin d'être une fonction de l'esprit parmi d'autres, l'imagination est bien plutôt la « reine des facultés » (Baudelaire), celle qui rend possible l'exercice et la fécondité de toutes les autres, et permet à l'homme de donner forme et sens à son monde.
Cet ouvrage explicite la progressive découverte de l'imagination à travers l'étude de quatre moments décisifs de son histoire conceptuelle et des principaux auteurs qui l'ont pensée : (i) l'Antiquité et la Renaissance, où elle vaut comme sensibilité autant que comme illusion ; (ii) l'âge classique, qui la confronte à la raison, dans un jeu complexe d'attraction et de rejet ; (iii) les xviiie et xixe siècles, où la promotion de la sensibilité et de la création artistique lui permettent d'être reconnue dans son originalité ; (iv) le xxe siècle, qui se concentre sur l'imaginaire et sur ses oeuvres.Grand format 32.00 €Indisponible
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Descartes et l'Allemagne ; Descartes und Deutschland
Jean Ferrari, Pierre Guenancia, Margit Ruffing
- Olms
- 16 Décembre 2009
- 9783487142371
Le présent volume réunit les contributions à un colloque international qui s'est tenu à Mayence, Luxembourg et Dijon sur Descartes et l'Allemagne. La relation de Descartes avec l'Allemagne constitue une partie de la vie et de la pensée du jeune philosophe ; elle n'est pas seulement un fait historique, mais également un moment important dans son histoire personnelle.
La première partie des contributions porte sur les antécédents et la première réception de la philosophie cartésienne en Allemagne. La seconde partie traite de la réception de la philosophie cartésienne dans la philosophie classique allemande jusqu'à Reinhold et Hegel et de son contexte. La troisième partie enquête sur la réception de Descartes et du cartésianisme dans la philosophie allemande des 19e et 20e siècles.
Der vorliegende Band enthält die Beiträge einer in Mainz, Luxemburg und Dijon veranstalteten internationalen Tagung über Descartes und Deutschland. Descartes' Beziehung zu Deutschland bildet einen Teil des Lebens und des Denkens des jungen Philosophen; sie ist nicht nur eine historische Tatsache, sondern ebenfalls ein wichtiger Teil seiner persönlichen Geschichte.
Der erste Teil der Beiträge handelt von Descartes' Vorgängern und der ersten Rezeption seiner Philosophie in Deutschland. Der zweite Teil befasst sich mit der Rezeption der cartesischen Philosophie in der klassischen deutschen Philosophie bis hin zu Reinhold und Hegel und ihrem Umfeld. Der dritte Teil schließlich untersucht die Rezeption des cartesischen Denkens in der deutschen Philosophie des 19. und 20. Jahrhunderts.
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Claude Lévi-Strauss et ses contemporains
Pierre Guenancia, Jean-Pierre Sylvestre
- Puf
- Hors Collection Puf
- 8 Septembre 2012
- 9782130607236
Grand format 32.00 €Sur commande
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Le sens commun
Pierre Guenancia, Jean-Pierre Sylvestre
- Pu De Dijon
- Ecritures
- 11 Mars 2004
- 9782905965967
Réunissant des contributions appuyées sur des investigations empiriques et d'autres plus spéculatives, l'ouvrage se propose d'interroger la tension entre les vertus célébrées du sens commun comme sagesse pratique et les défauts manifestés par le caractère souvent simpliste de ses assertions.
Autrement dit, il s'agit d'éclairer la contradiction entre sa capacité à faire sens, et sa difficulté à s'autocritiquer. Ainsi, le terme " commun " pourra d'abord exprimer la généralité. Il pourra aussi désigner la particularité de la vision du monde d'une société ; il montrera donc en même temps que la dimension unificatrice de celle-ci, si relativité géographique et historique. Il pourra enfin renvoyer à la superficialité et à l'étroitesse d'esprit d'un individu ou d'un groupe.
Quant au mot " sens ", on l'appréhendera soit dans son acception sensible, soit dans son acception intellectuelle, soit encore comme le lieu d'articulation entre le sentiment subjectif et la raison objective. On voit finalement que la capacité sensitive ou cognitive du sens commun, comme sa dimension intersubjective, est susceptible d'être valorisée ou dévalorisée, jugée ouverte ou fermée. Mais n'est-ce point là le signe de l'ambivalence ontologique de toute existence sociale ?
Grand format 20.00 €Épuisé
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Au risque de l'existence ; le mythe, la science et l'art
Jean-claude Gens, Pierre Guenancia
- Pu De Dijon
- Ecritures
- 19 Février 2009
- 9782915611120
De la scolastique médiévale au XIXe siècle, la tradition philosophique a cherché à saisir l'unité des directions en lesquelles elle se déploie à travers des métaphores, celle de l'arbre par exemple, ou en élaborant des systèmes dont le XXe siècle semble bien avoir fait le deuil.
Comment donc penser l'hétérogénéité de ces directions, qui font l'ampleur d'une pensée, si ce n'est en les reconduisant à des modalités de l'existence qui en constituent le sol ? Cet ouvrage s'est ainsi proposé de recueillir le déploiement de la philosophie lorsqu'elle pense le mythique, l'esthétique et le logique, en partant de cette réflexion sur l'existence. Publié en l'honneur de Maryvonne Perrot, il se clôt par un triple hommage à sa personne, le premier d'entre eux témoignant du rayonnement international qu'elle a contribué à donner au Centre Gaston Bachelard, et ainsi à l'Université de Bourgogne.
Grand format 20.00 €Épuisé