Publié aux éditions Guérin, ce « grand » portfolio de la vallée de Chamonix au format « mini » 10 x 10 cm est un concentré de photos exceptionnelles et incontournables prises dans des conditions parfois extrêmes par l'alpiniste photographe et enfant du pays : Pascal Tournaire.
Un regard particulier porté au fil des saisons sur la vallée de Chamonix.
Un regard à la fois sportif, contemplatif, humain et humoristique.
Il est petit, carré, robuste et fait rêver...
Avec plus de 200 photographies en couleur, 320 pages à offrir comme votre récit de voyage.
En montagne, le froid et la dureté des conditions peuvent propulser le yoga dans de nouvelles sphères. En prise directe avec les éléments, la méditation prend un caractère tellurique.
Pascal Tournaire a réalisé ces images spectaculaires autour du Mont-Blanc avec le yogi Hubert de Tourris, photographié dans des postures impressionnantes. Ces séries sont émaillées de textes théoriques sur le yoga et d'une sélection de sutras car, parmi ses innombrables bienfaits, l'ascension intérieure est la première visée.
Les postures clés sont détaillées de façon pratique. Le lecteur pourra ainsi s'initier à la salutation au soleil et découvrir la posture sur la tête, celle du triangle étiré ou encore celle de la méditation tibétaine.
Alpinistes, freeriders ou basejumpers, de plus en plus nombreux à se mettre à cette discipline en complément de leur pratique montagnarde, témoignent de l'équilibre nouveau que leur apporte le yoga.
En gravissant le mont Blanc par un jour de grand vent et de froid intense de septembre 2001, afin d'établir la mesure la plus précise jamais réalisée de l'altitude du sommet, les géomètres-experts de Haute-Savoie se sont inscrits dans une longue histoire, celle des hommes des XVIIIe, XIXe et XXe siècles qui les avaient précédés avec la même soif d'exactitude. Depuis cette mesure de 2001, qui avait permis d'établir la nouvelle altitude du mont Blanc à 4.810 mètres, les géomètres-experts et leurs partenaires renouvellent tous les deux ans leur défi technique et sportif :l'ascension du toit de l'Europe, pour aller mesurer son altitude, mais aussi le volume et la morphologie de sa calotte sommitale. Les données ainsi recueillies avec régularité et avec la même technologie, le géo-positionnement de haute précision par satellite, forment un ensemble précieux. Ce qui était pressenti depuis plus de deux cents ans est enfin établi : le sommet glaciaire du mont Blanc a une altitude et une forme en perpétuelle variation. Ce livre anniversaire, illustré par les superbes clichés du photographe de montagne Pascal Tournaire,raconte cette aventure improbable, où la science se confronte à la magie de la très haute altitude. Le mythe du mont Blanc n'en sort pas amoindri !
Un ouvrage qui raconte la genèse puis le tournage du film Tout là-haut, réalisé par Serge Hazanavicius, et dont la sortie en salle est prévue en décembre 2017. L'acteur Kev Adams y incarne Scott, un jeune surfeur dont le parcours initiatique se déroule entre Chamonix et le redoutable couloir Hornbein, sur le versant nord de l'Everest. Son itinéraire de vie n'est pas sans rappeler celui d'un certain Marco Siffredi... icône du surf, mort à 23 ans. Conduit par un mentor, interprété par Vincent Elbaz, le jeune Scott descendra les pentes les plus vertigineuses...
Le livre dévoile les secrets de tournage du film, co-écrit par Stéphane Dan, célèbre guide et freerideur de la vallée de Chamonix. Pour la première fois, le ski extrême est mis en scène au cinéma pour un large public, grâce à la notoriété de Kev Adams, l'un des jeunes comédiens les plus populaires du moment. Un film aux images magnifiques, entièrement tourné en décors naturels, sans effets spéciaux, afin d'être au plus proche de la réalité. Illustré par des photos de Pascal Tournaire, qui a suivi l'intégralité du tournage pour en capter les temps forts, on lira aussi les témoignages des principaux protagonistes, notamment Kev Adams et Vincent Elbaz que ce tournage a conduit sur les sommets de Chamonix, au Népal et au Ladakh. Une aventure sans précédents.
«Refuge du Goûter - 3835 m», le livre de Pascal Tournaire et d'Eliane Patriarca consacré à la construction du Goûter.
Perché au dessus du vide, un vaisseau futuriste, carrossé d' inox, a surgi au bord de l'Aiguille du Goûter.
Un gigantesque oeuf de bois et de métal posé sur une plateforme, à 3835 mètres d'altitude. La dernière halte avant le sommet du mont Blanc, sur la voie d'ascension la plus fréquentée, incarne la nouvelle génération des refuges de haute montagne.
La construction de ce bâtiment à la point des technologies de haute qualité environnementale, entre 2010 et 2012, a constitué un projet ambitieux et une prouesse technologique
Là où mer et montagne conjugunet leurs forces, des Sourds et des Entendants, se sont embarqués, pour savoir s'ils pouvaient vivre ensemble et se comprendes. Lancés dans les 50èmes hurlants ou sur les grands glaciers de la Georgie du Sud, sur les traces du pionnier Ernest Shackleton, ils ont vécu une étrange aventure, géographique et humaine.
Ils en ont rapporté des images éoustouflantes de la Géorgie du Sud, l'une des dernières régions sauvages de la planète.
L'Aigle est un refuge à part. Une cabane perchée sur un piton rocheux à 3 440 mètres d'altitude, l'une des plus hautes d'Europe. C'est le rêve d'une vie pour les randonneurs, la naissance d'une passion pour les apprentis alpinistes, un phare pour les grimpeurs égarés la nuit dans la traversée de la Meije, une porte ouverte sur le grand Oisans sauvage.
Au tournant du millénaire, la petite cabane en bois construite en 1910 tombait en ruine, on se tassait à cinquante dans ses châlits conçus pour dix-huit, où Rébuffat et tant d'autres avaient couché. Mais lorsqu'un projet a été déposé pour le reconstruire, le nerf du symbole a été touché.
Le nouvel Aigle a vu le jour en 2014, après dix ans de bagarre. C'est un refuge classique et moderne, simple mais convivial, bien isolé mais pas coupé du paysage grandiose.
À l'Aigle, un modèle de refuge d'avenir s'esquisse : l'anti-refuge-hôtel.
Le guide Bruno Gardent le voit de sa fenêtre et y a passé des dizaines, peut-être des centaines de nuits. Pascal Tournaire l'a photographié depuis plus de trente ans et a suivi toute sa reconstruction. Ensemble, les deux amis s'y sont sauvés in extremis d'une tempête hivernale.
Charlie Buffet les a écoutés raconter, ensemble, l'histoire de l'Aigle.