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Le Mono
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Quels sont les rapports entre le pragmatisme et la sociologie ? C'est ce que traite Emile Durkheim dans cette étude.
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L esprit de discipline et l autonomie de la volonte - l education morale a l ecole (tome 1)
Emile Durkheim
- Le Mono
- 1 Février 2023
- 9782381114804
Ce livre issu des travaux de Durkheim sur l'éducation morale à l'École, illustre la contribution qu'apportent à la pédagogie, la sociologie d'une part, et la psychologie de l'autre.
Qu'une éducation morale entièrement rationnelle soit possible, c'est ce qui est impliqué dans le postulat même qui est à la base de la science ; postulat qui peut s'énoncer ainsi : il n'y a rien dans le réel que l'on soit fondé à considérer comme radicalement réfractaire à la raison humaine.
En se faisant sociologique, l'analyse morale peut donner un fondement rationnel, plus riche même que la moralité religieuse traditionnelle, et remonter jusqu'aux sources d'où jaillissent les forces morales les plus énergiques. Durkheim ramène à trois les éléments fondamentaux de notre moralité. Ce sont l'esprit de discipline, l'esprit d'abnégation et l'esprit d'autonomie. L'esprit de discipline est, à la fois, le sens et le goût de la régularité, le sens et le goût de la limitation des désirs, le respect de la règle, qui impose à l'individu l'inhibition des impulsions et l'effort...Grand format 14.50 €Sur commande
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La discipline et la psychologie de l enfant - l education morale a l ecole (tome 2)
Emile Durkheim
- Le Mono
- 1 Février 2023
- 9782381114811
Comment la nature de l'enfant se prête-t-elle à recevoir l'éducation morale, quelles ressources, quels ressorts, mais aussi quels obstacles y rencontre l'éducateur ? Il montre aux instituteurs, comment il est possible de traduire, pour les mettre à la portée des intelligences de l'élève, les résultats de ce qu'il appelait la « Physiologie du droit et des moeurs », ou la vulgarisation de la science des moeurs.
Ce livre publié à partir des travaux de Durkheim sur l'éducation morale, permet de comprendre comment constituer chez l'enfant les éléments de la moralité.Grand format 14.90 €Sur commande
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Une idée par laquelle on a souvent essayé de définir la religion est celle de divinité. La religion, selon A. Réville, est la détermination de la vie humaine par le sentiment d'un lien unissant l'esprit humain à l'esprit mystérieux dont il reconnaît la domination sur le monde et sur lui-même et auquel il aime à se sentir uni. Il est vrai que, si l'on entend le mot de divinité dans un sens précis et étroit, la définition laisse en dehors d'elle une multitude de faits manifestement religieux...
« Le sentiment que l'homme a de sa dépendance, voilà le fondement de la religion. L'objet de ce sentiment, ce dont l'homme dépend et se sent dépendant n'est dans l'origine rien autre chose que la nature. La nature est le premier objet de la religion comme le prouve l'histoire de toutes les religions et de tous les peuples. Cette assertion que la religion est naturelle, innée dans l'homme, est complètement fausse si l'on entend par religion les conceptions du déisme ; elle est vraie au contraire si par religion l'on n'entend rien de plus que le sentiment de la dépendance humaine, que la conscience qu'a l'homme qu'il n'existe et ne peut exister sans un être différent de lui. La religion, dans ce sens, est aussi nécessaire à l'homme que la lumière à l'oeil, l'air aux poumons, la nourriture à l'estomac. La religion est l'ensemble des idées par lesquelles nous reconnaissons et affirmons ce que nous sommes. Mais nous ne pouvons exister sans lumière, sans air, sans eau, sans aliments ; en un mot, nous dépendons de la nature. Cette dépendance n'est point sentie par l'animal ; l'être seul qui peut en faire l'objet de sa conscience, de sa pensée a seul aussi la puissance de s'élever à des idées religieuses. Ainsi toute vie dépend du changement des saisons ; mais l'homme seul fête ce changement par des représentations dramatiques, par des sacrifices solennels, et ces fêtes qui n'expriment et ne représentent que les alternatives des saisons, que les phases de la lune, sont les fêtes les plus anciennes, les premiers aveux religieux de l'humanité. »...Grand format 13.50 €Sur commande
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Crime et fonction du chatiment - l idee de culpabilite
Emile Durkheim
- Le Mono
- 1 Mars 2023
- 9782381115962
S'il est un fait dont le caractère pathologique parait incontestable, c'est le crime. Tous les criminologistes s'entendent sur ce point. S'ils expliquent cette morbidité de manières différentes, ils sont unanimes à la reconnaître. Le problème, cependant, demandait à être traité avec moins de promptitude. Le crime ne s'observe pas seulement dans la plupart des sociétés de telle ou telle espèce, mais dans toutes les sociétés de tous les types. Il n'en est pas où il n'existe une criminalité. Elle change de forme, les actes qui sont ainsi qualifiés ne sont pas partout les mêmes ; mais, partout et toujours, il y a eu des hommes qui se conduisaient de manière à attirer sur eux la répression pénale...
Le lien de solidarité sociale auquel correspond le droit répressif est celui dont la rupture constitue le crime ; nous appelons de ce nom tout acte qui, à un degré quelconque, détermine contre son auteur cette réaction caractéristique qu'on nomme la peine. Chercher quel est ce lien, c'est donc se demander qu'elle est la cause de la peine, ou, plus clairement, en quoi le crime consiste essentiellement.
Il y a sans doute des crimes d'espèces différentes ; entre toutes ces espèces, il y a non moins sûrement quelque chose de commun. Ce qui le prouve, c'est que la réaction qu'ils déterminent de la part de la société, à savoir la peine, est, sauf les différences de degrés, toujours et partout la même. L'unité de l'effet révèle l'unité de la cause. Non seulement entre tous les crimes prévus par la législation d'une seule et même société, mais entre tous ceux qui ont été ou qui sont reconnus et punis dans les différents types sociaux, il existe assurément des ressemblances essentielles. Si différents que paraissent au premier abord les actes ainsi qualifiés, il est impossible qu'ils n'aient pas quelque fond commun. Car ils affectent partout de la même manière la conscience morale des nations et produisent partout la même conséquence. Ce sont tous des crimes, c'est-à-dire des actes réprimés par des châtiments définis.Grand format 12.90 €Sur commande
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S'il est utile de savoir en quoi consiste telle ou telle religion en particulier, il importe davantage encore de rechercher ce que c'est que la religion d'une manière générale. C'est ce problème qui, de tout temps, a tenté la curiosité des philosophes, et non sans raison ; car il intéresse l'humanité tout entière.
L'objet général de ce livre issu des cours de Durkheim, est l'étude du système religieux le plus simple et le plus primitif que nous connaissions. On définira d'abord la religion elle-même ; puis, nous examinerons la question suivante : Quelle est la religion la plus ancienne que nous connaissions ?Grand format 12.90 €Sur commande
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Comment définit-on un fait social ? Quelles sont les règles relatives à l'observation et à l'explication des faits sociaux ? Voilà l'objet de ce livre basé sur les travaux de Durkheim publiés dans Les règles de la méthode sociologique.
Qu'est-ce qu'un fait social ? La question est d'autant plus nécessaire que l'on se sert de cette qualification sans beaucoup de précision. On l'emploie couramment pour désigner à peu près tous les phénomènes qui se passent à l'intérieur de la société, pour peu qu'ils présentent, avec une certaine généralité, quelque intérêt social. Mais, à ce compte, il n'y a, pour ainsi dire, pas d'événements humains qui ne puissent être appelés sociaux. Chaque individu boit, dort, mange, raisonne et la société a tout intérêt à ce que ces fonctions s'exercent régulièrement. Si donc ces faits étaient sociaux, la sociologie n'aurait pas d'objet qui lui fût propre, et son domaine se confondrait avec celui de la biologie et de la psychologie...Grand format 13.50 €Sur commande
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Ce livre basé sur les travaux du sociologue Emile Durkheim, traite de l'étude et de l'analyse des faits moraux. Comment définir et déterminer un fait moral ? Comment les étudier de façon scientifique ? On appelle fait moral, pour une espèce sociale donnée, considérée à une phase déterminée de son développement, toute règle de conduite à laquelle une sanction répressive diffuse est attachée dans la moyenne des sociétés de cette espèce, considérées à la même période de leur évolution.
Les faits moraux sont des phénomènes comme les autres ; ils consistent en des règles d'action qui se reconnaissent à certains caractères distinctifs ; il doit donc être possible de les observer, de les décrire, de les classer et de chercher les lois qui les expliquent.Grand format 13.50 €Sur commande
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Les phénomènes dits religieux consistent en des croyances et des pratiques définies qui se rapportent à des objets donnés dans ces croyances. Quant à la religion, c'est un ensemble, plus ou moins organisé et systématisé, de phénomènes de ce genre.
Dans son Introduction à la science des religions, Max Müller a donné la définition suivante : « La religion est une faculté de l'esprit qui... rend l'homme capable de saisir l'infini sous des noms différents et des déguisements changeants. Sans cette faculté, nulle religion ne serait possible, pas même le culte le plus dégradé d'idoles et de fétiches, et pour peu que nous prêtions l'oreille, nous pouvons entendre dans toute religion un gémissement de l'esprit, le bruit d'un effort pour concevoir l'inconcevable, pour exprimer l'inexprimable, une aspiration vers l'infini. »Grand format 13.90 €Sur commande
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Esquisse d´une sociologie de la famille et son histoire
Friedrich Engels
- Le Mono
- 1 Décembre 2021
- 9782381110424
La famille est l'institution qui permet à l'enfant de recevoir sa première éducation. Il est dans la nature que les parents aiment leurs enfants et les éduquent dès l'âge où ils n'inspireraient aucun sentiment d'affection à un étranger. Ce sentiment instinctif se transforme plus tard pour devenir une affection plus raisonnée. Mais sous quelque forme qu'il se présente, il sera toujours le lien le plus fort entre les hommes. Si on brise ce lien naturel qui réunit l'enfant et les parents, celui-ci sera isolé, privé de la protection que la nature lui avait donnée. Ce livre basé sur le travail de E. Durkheim et de F. Engels, propose une esquisse de la sociologie de la famille et son histoire.
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Montesquieu et Rousseau : Précurseurs de la sociologie
Emile Durkheim
- Le Mono
- 1 Décembre 2021
- 9782381112107
Oublieux de notre histoire, nous avons pris l'habitude de considérer la science sociale comme étrangère à nos moeurs. Ce n'est pas seulement Auguste Comte qui a été le premier à lui donner son fondement propre, à en distinguer les parties essentielles et à lui donner le nom de sociologie ; mais tout cet élan qui nous porte aujourd'hui vers les problèmes sociaux, est venu de nos philosophes du XVIIIe siècle. Emile Durkheim analyse dans ce livre, les contributions de Montesquieu et de Rousseau à la constitution des sciences sociales.
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