David ducoin et julie baudin ont voyagé pendant deux ans à la rencontre des amérindiens à travers seize pays.
Au rythme des faits et gestes du quotidien ou à la faveur de cérémonies traditionnelles, ils ont recueilli leur parole et récolté des images qui révèlent l'identité originelle et fragile du continent américain.
David Ducoin et Jacques, son père, ont parcouru le monde et foulé tous les deux le Zanskar, dans le nord-ouest de l'Inde, pour la première fois en 1989. Depuis cette date, David y est retourné à de nombreuses reprises, tissant des liens fraternels avec plusieurs familles. 25 ans après la découverte de ce territoire enclavé, père et fils, accompagnés du dessinateur de presse Nono, décident de retrouver les amis que s'était fait Jacques lors de son premier voyage.
Dans l'âpreté et la rudesse de cette région montagneuse, traversée par le fleuve Zanskar, les trois comparses découvrent que bien des choses ont changé durant ces années.
Retour en terre connue pour le père et le fils, découverte complète pour le dessinateur breton, ce Carnet d'Himalaya évoquent une région saisissante de beauté.
Au pied des 8000 himalayens (Everest, Annapurna, etc.), David Ducoin, grand connaisseur de ce pays, nous invite dans l'intimité du Népal, LE pays du trek.Du royaume du Mustang aux caravanes de yacks du Dolpo en passant par les camps de base de l'Everest et le tour de l'Annapurna, du Kangchenjunga et du Makalu ; ce beau livre magnifiquement photographié nous dévoile un pays d'une diversité spectaculaire. Les ethnie Sherpa, Rai, Limbu, Tamang et Gurung vivent aux pieds des sommets qui flirtent avec les dieux. David Ducoin, photographe, cinéaste et accompagnateur de trekking nous livre son regard sur ce pays qu'il connaît bien. Depuis 25 ans, il arpente les sentiers népalais en accompagnant des groupes de randonneurs, ou à la recherche d'itinéraires plus audacieux. Des milliers de kilomètres sous les semelles, Il a vécu les plus grands moments de l'histoire du pays et en particulier le séisme du 25 avril 2015. Plus que jamais, les Népalais qui vivent pour et par le trekking ont besoin de nous. Que cet ouvrage vous invite à aller ou à retourner au Népal au plus vite!
Chaque année depuis plus de trente ans, la Bretagne devient terre d’élection pour le « Tour de Bretagne des véhicules anciens ». Cette manifestation internationale n’a pas d’équivalent en France et si elle démarra dans l’intimité avec 75 véhicules et 180 participants, elle réunira jusqu’à 1 300 modèles et 2 600 acteurs !
Pour ces fanas de culbuteurs et de soupapes, de carrosseries luisantes et de sièges qui sentent bon le vieux cuir, c’est la passion qui prédomine. Du tricycle monocylindre de 1898 aux 2 CV, des motos aux véhicules utilitaires, des berlines aux décapotables, ce défilé hors du commun emprunte chaque année les petites routes campagnardes ou côtières, réveillant au passage toute la nostalgie et le charme des belles mécaniques.
Ce livre rend hommage à tous ces passionnés qui entretiennent la mémoire collective de notre patrimoine roulant, aux organisateurs et aux bénévoles qui font vivre cette institution et à René Alba, récemment disparu, figure emblématique et charismatique de l’Association Bretonne des Véhicules Anciens, organisatrice de l’événement.
Points forts :
• Un parcours mythique • Public très ciblé et motivé (collectionneurs) • Soutien de l’association organisatrice (A.B.V.A) • Campagne de presse très ciblée.
Entre 1977 et 1983, un garçon, fils et petit-fils de communistes, vit le passage vers l'adolescence tiraillé entre la fascination qu'exerce sa "tata Symphorose", une mystique stigmatisée considérée comme une sainte par une frange de l'Eglise catholique, et l'amour éperdu qu'il éprouve pour sa "mamie Odette", une Gitane possédant des dons de guérisseuse. A Rueil-Malmaison, dans le taudis familial surnommé le "82", il rend souvent visite à sa tante Symphorose, alitée et isolée dans une chambre transformée en sanctuaire à la gloire du Christ et de Marie, où se bousculent des "visiteurs" de tous ordres qui viennent recevoir la bénédiction de la sainte.
A Bagneux, dans une cité HLM, il passe l'essentiel de ses week-ends et de ses vacances afin de recevoir la tendresse de sa mamie Odette, qu'il aime par-dessus tout. Là, il côtoie un monde interlope et fantasque. De ses onze à ses dix-sept ans, il va tenter de percer les mystères de ces deux femmes qui occupent une grande partie de son temps et de ses pensées, et dont les figures atypiques et apparemment antagonistes l'aideront à construire sa personnalité.
Bertrand d'Ogeron de la Boire (1613-1676) est le véritable fondateur de Saint-Domingue qui deviendra au XVIIIe siècle la plus riche des colonies des Antilles et, en 1804, la République d'Haïti, la première république noire de l'Histoire. Il est né le 6 mars 1613 à Rochefort-sur-Loire, en Anjou. Ses attaches angevines et ses relations familiales ont orienté son étonnant destin. Après une carrière militaire au service de Louis XIV, il s'embarque à l'âge de 40 ans pour les Caraïbes.
Nommé en 1665 gouverneur de l'île de ta Tortue et de la partie française de Saint-Domingue, il prend le commandement de la colonie à la grande époque de la flibuste. Afin de contrebalancer la turbulence et la brutalité des aventuriers il s'efforce de peupler l'île de paysans, en grande partie issus de l'ouest de la France. Son gouvernement sera une suite incessante d'événements violents : naufrages, mutineries, révoltes, lutte contre les Espagnols, les Hollandais et les Anglais, organisation d'expéditions de flibuste.
Prisonnier des Espagnols à Porto-Rico, il réussit à s'évader. Victime de la dysenterie à la suite de cette aventure, il rentre en France et meurt à Paris, le 31 janvier 1676.
L'histoire du bateau de Barbe-Noire : tour à tour corsaire, négrier et pirate...Le navire nantais La Concorde eut un étonnant destin : il fut successivement frégate corsaire, navire négrier et vaisseau amiral du pirate anglais Barbe-Noire sous le nom du Queen Anne's Revenge. Ce bateau est confronté, entre les années 1710 et 1718, à trois des principaux aspects de la violence maritime : la guerre de course, la traite négrière et la piraterie. Capturée en novembre 1717 par Barbe-Noire, La Concorde se lance dans une vaste expédition de pillage à travers la Caraïbe et les côtes des colonies américaines.Figure emblématique de la piraterie atlantique dans les premières années du XVIIIe siècle, Edward Teach dit Barbe-Noire est connu au travers d'un ensemble de récits dans lesquels il est parfois difficile de démêler le mythe de la réalité. En racontant l'histoire de son bateau, à partir de sources historiques avérées et de la littérature qui a accompagné le personnage, Jacques Ducoin nous livre des clés de compréhension sur le quotidien et l'activité des forbans durant les premières années du XVIIIe siècle, sur la construction des navires de l'époque, sur la guerre de course durant la guerre de Succession d'Espagne, ou bien encore sur la traite négrière et la vie à bord des bâtiments de commerce.
Aminata Bakayoko est femme de ménage. C'est elle qui va découvrir, lors d'une nuit de travail, le corps d'un suicidé, Jean-Michel Gayet, cadre sup chez Orange. Gayet laisse derrière lui, outre une note incendiaire, sa femme, Emmanuelle, directrice du cabinet du maire de Saint-Denis. Emmanuelle est l'ancienne maîtresse de Paul Kerjean, un journaliste qui n'a pas baissé les bras devant l'injustice et qui est l'ami de Jean Valmy, le flic chargé de l'enquête.
Ce qui les réunit, c'est la ville de Saint-Denis, cette mal-aimée cosmopolite, à la frontière physique et économique de la capitale, avec son Stade gigantesque, ses 40 % de logements sociaux et son taux de chômage de 22 %. Une ville que les médias aiment résumer en quelques formules lapidaires, comme « émeutes », « voitures brûlées » et « islamistes », quand les terroristes mettent Paris à feu et à sang.
Dans ce tendre et palpitant roman choral, c'est bien à cette ville de Saint-Denis que l'auteur rend hommage. S'emparant de tous les sujets d'actualité, il déploie son intrigue pour nous offrir un grand roman populaire qui nous fait passer du plus beau côté du miroir, celui où les hommes et les femmes de toutes les couleurs, de toutes origines, ne veulent pas se laisser réduire à des gros titres racoleurs, mais vivent, saignent, aiment et se mélangent pour former un tableau qu'on pourrait tout simplement intituler « le peuple ».
Des Engrais, ou l'Art d'améliorer les plus mauvaises terres par les amendements et les engrais de toute nature, par M. Ducoin,...
Date de l'édition originale : 1842 Appartient à l'ensemble documentaire : Centre1 Ce livre est la reproduction fidèle d'une oeuvre publiée avant 1920 et fait partie d'une collection de livres réimprimés à la demande éditée par Hachette Livre, dans le cadre d'un partenariat avec la Bibliothèque nationale de France, offrant l'opportunité d'accéder à des ouvrages anciens et souvent rares issus des fonds patrimoniaux de la BnF.
Les oeuvres faisant partie de cette collection ont été numérisées par la BnF et sont présentes sur Gallica, sa bibliothèque numérique.
En entreprenant de redonner vie à ces ouvrages au travers d'une collection de livres réimprimés à la demande, nous leur donnons la possibilité de rencontrer un public élargi et participons à la transmission de connaissances et de savoirs parfois difficilement accessibles.
Nous avons cherché à concilier la reproduction fidèle d'un livre ancien à partir de sa version numérisée avec le souci d'un confort de lecture optimal. Nous espérons que les ouvrages de cette nouvelle collection vous apporteront entière satisfaction.
Pour plus d'informations, rendez-vous sur www.hachettebnf.fr
Ceci n'est pas l'histoire d'un coureur cycliste, mais celle d'une ambition démesurée. D'un petit gars du Texas, abandonné par son père, battu par son beau-père, mais aimé par sa mère jusqu'à la déraison, et qui très vite n'accepta qu'une posture, une identité: celle du vainqueur. Il y est arrivé au-delà de ses espérances. Plus qu'un champion, son triomphe sur le cancer et son soutien à la recherche médicale ont fait de lui un héros. Des hommes d'affaires le courtisaient, des politiciens lui promettaient une spectaculaire reconversion. On n'avait pas fini d'exploiter son parcours digne d'un scénario de Hollywood, de citer en exemple ce winner au pays des winners. Mais qui savait à quel point Lance Armstrong était envoûté par l'image qu'il avait de lui-même, et qu'il était parvenu à imposer au monde entier ? En voulant à tout prix la préserver, il l'a détruite plus sûrement que ne l'aurait fait la plus humiliante des défaites, le plus piteux des abandons. Il a triché. Il a menti. Ceci n'est pas une histoire de sport. C'est celle, que n'eût pas désavouée Tom Wolfe, d'un rêve américain qui était trop beau pour être vrai.
Le 13 mars 2010, Jean Ferrat nous quittait.
Une vague d'émotion avait alors envahi le pays, touchant tous les milieux sociaux sans distinction. Plus d'un an après, ce livre de photos revient sur le parcours peu connu de ce chanteur dont la disparition a ému tant de Français. Enfant des quartiers populaires de la banlieue parisienne, fils d'un père mort à Auschwitz, Jean Ferrat fut un homme non pas secret mais réservé, qui se tenait loin du show-biz.
Des vers inoubliables, "Aimer à perdre la raison, Et ne connaître de saisons, Que par la douleur du partir" ou "Pourtant, que la montagne est belle" aux textes politiques comme "Cuba si" ou "Ma France", ce livre raconte la trajectoire d'un homme amoureux des mots mais surtout profondément engagé quand il s'agissait de prêter sa voix à de grandes causes. Cet ouvrage a été réalisé en collaboration avec le journal l'Humanité.
Camp de base de l'Everest, Diagonale du Zanskar, Tour des Annapurnas, Garhwal. quel randonneur, quel voyageur n'a jamais rêvé de découvrir un jour la "Mecque" du trekking ?
David Ducoin parcourt les chemins des régions himalayennes depuis plus de vingt ans. En famille, seul ou en tant qu'accompagnateur de trekking. Dans ce beau livre Himalaya, les plus beaux treks, il nous livre vingt années d'archives photos et d'expériences. Il a choisi de présenter, non pas tous les treks d'Himalaya, mais une sélection des plus emblématiques, des plus spectaculaires ou des plus confidentiels.
En plus des informations pratiques, des sujets comme les religions, les explorateurs, la faune, la flore ou la géologie font l'objet d'encadrés thématiques.
Rédigés depuis 2003 comme un " journal d'actualité ", les bloc-notes de Jean-Emmanuel Ducoin, chaque samedi dans L'Humanité et dont nous publions une sélection, ont renoué avec un genre un peu disparu dans la presse écrite : le journalisme-littéraire, si cher à François Mauriac.
Entre coups de gueule et coups de coeur, émancipées des présupposés dogmatiques, ces " humanité (s) surprennent, dérangent et conduisent les lecteurs dans d'étonnants allers-retours introspectifs. Leur vivacité, leur liberté, leur manière presque pamphlétaire d'instiller de la contradiction comme un geste imprévisible, les placent du côté de la pensée engagée et ne laissent pas indemne. Philosophie, politique, combats sociaux, littérature, culture, sport : rien n'échappe à cette plume aux inspirations multiples.
Il est mal vu de..., né d'une plume acerbe et engagée, est un ovni littéraire d'où le lecteur ne ressort pas indemne tant il est provoqué. Dans ce recueil d'aphorismes, coups de coeur et coups de semonce assumés malmènent les présupposés du monde des médias. Entre politique, violence sociale, philosophie, culture ou actes de la vie ordinaire, J. E. Ducoin nous embarque dans ce Petit inventaire des interdits quotidiens en revendiquant ses influences comme ses passions.
Aux confins de l'Himalaya, l'Inde étend son immense territoire jusqu'en des vallées sublimes et reculées. Le Zanskar est l'un de ces territoires lointains, réseau de vallées barrées de cols et couronnées de sommets à plus de 7 000 mètres, enchâssé dans un paysage inouï, âpre et rude, infiniment beau. L'hiver, la seule voie de communication avec le reste du monde est la rivière gelée, qui conduit à la ville lorsque la glace est assez forte pour supporter le poids d'un homme. L'été, adultes et enfants travaillent dur pour arracher à la terre de quoi survivre aux longs mois de mauvaise saison. Pays bouddhiste, le Zanskar est surnommé le « Petit Tibet ». Son enclavement a permis de préserver ses traditions. Aujourd'hui encore, nombreux sont les Zanskarpas qui vivent comme il y a trois siècles tels les célèbres amchis, qui pratiquent une médecine traditionnelle à base de plantes dont le secret se transmet de père en fils. Toutefois, avec l'arrivée de la route, ces survivances d'un autre temps se confrontent à la modernité, à l'attrait de la ville et de la consommation, au passage des trekkeurs occidentaux. Le Zanskar est en effet une destination de trekking en vogue, offrant au marcheur, outre des paysages grandioses, d'aller à la rencontre de communautés accueillantes. David Ducoin a vécu au Zanskar, est venu et revenu année après année, d'abord seul puis en compagnie de Julie Baudin, revoir ses amis du bout du monde. Connaissant le Zanskar comme peu d'Occidentaux, ils ont rapporté de leurs séjours des photographies et un témoignage étonnants. Ils nous livrent dans ces pages l'intimité d'un pays en devenir, entre tradition et changement. Une dizaine d'itinéraires illustrés accessibles aux marcheurs plus ou moins expérimentés complètent ce beau livre, qui nous laisse ravis par la beauté de ce pays, aux paysages à couper le souffle.
Avant l'avènement de la vapeur, le transport des passagers à travers l'Atlantique était exclusivement effectué par des voiliers, le plus souvent britanniques. Les paquebots à voiles vont apporter vitesse et ponctualité aux liaisons transatlantiques, permettant le transport des passagers, des informations, du courrier et des marchandises. Ils seront les seuls moyens de relier les deux continents jusqu'à ce que le 1er janvier 1848, un paquebot à vapeur de la Cunard Line arrive à Liverpool, en provenance de New York et qu'en 1858, le premier câble transatlantique soit posé entre l'Europe et l'Amérique. Les paquebots à voiles participeront ainsi aux profonds changements survenus dans l'économie du XIXe siècle.