Paru le 5 mai 1921, jour du centième anniversaire de la mort de Napoléon, cet essai historique et politique flamboyant restitue au vainqueur d'Arcole, « poète de l'action », toute sa dimension artistique et révolutionnaire. Le libre portrait de ce fils de 1789 et père de l'Europe, génie et Janus, constitue une oeuvre littéraire à part entière qui déborde la religion des faits pour mieux frapper l'imaginaire.
Quatorze chapitres éblouissants dont l'originalité et la beauté ont inspiré le film culte d'Abel Gance ; quatorze joyaux dont l'éclat et la modernité sont soulignés par Michel Bernard dans une préface inspirée.
« Rien ne l'attirait dans le monde hors les combinaisons colorées et formelles que la lumière et l'ombre imposent aux objets pour révéler a l'oeil des lois si rigoureuses qu'un haut esprit peut les appliquer à la vie pour lui demander ses directions métaphysiques ou morales. Il ne voulait être que peintre. S'il apercevait au monde sensuel des correspondances spirituelles, c'est par le monde sensuel seul qu'elles se révélaient à lui, et c'est toujours à lui qu'elles le ramenaient. Il était peintre. »
L'Histoire de l'art est une vaste fresque qui va de la préhistoire jusqu'aux premières années du XX? siècle. Commencée en 1909, terminée en 1927, plusieurs fois remaniée, la totale nouveauté de l'entreprise d'Élie Faure a été d'introduire un genre nouveau devenu populaire et indispensable aujourd'hui : le livre d'art où chaque commentaire peut être comparé aux oeuvres elles-mêmes, la juxtaposition et la confrontation des images justifiant l'audace des rapprochements qui parfois paraissent insolites. Entreprise tout à fait nouvelle à l'époque, elle n'a été, Malraux mis à part, ni égalée, ni dépassée aujourd'hui. Cette édition du cinquantenaire comporte des éléments inédits : - une présentation de l'homme et de l'oeuvre, en tête de L'art antique ;- un dossier constitué de lettres, d'articles, de variantes, de textes divers, à la fin de chaque volume.Ces éléments établis par Martine Chatelain-Courtois, responsable des Cahiers Élie Faure et grande spécialiste de son oeuvre, sont d'un immense intérêt. Ils permettent une lecture entièrement nouvelle, nous aident à saisir l'évolution de l'auteur, le font revivre au fil des ans et des itinéraires de ses voyages.
L'Histoire de l'art est une vaste fresque qui va de la préhistoire jusqu'aux premières années du XX? siècle. Commencée en 1909, terminée en 1927, plusieurs fois remaniée, la totale nouveauté de l'entreprise d'Élie Faure a été d'introduire un genre nouveau devenu populaire et indispensable aujourd'hui : le livre d'art où chaque commentaire peut être comparé aux oeuvres elles-mêmes, la juxtaposition et la confrontation des images justifiant l'audace des rapprochements qui parfois paraissent insolites. Entreprise tout à fait nouvelle à l'époque, elle n'a été, Malraux mis à part, ni égalée, ni dépassée aujourd'hui. Cette édition du cinquantenaire comporte des éléments inédits : - une présentation de l'homme et de l'oeuvre, en tête de L'art antique ;- un dossier constitué de lettres, d'articles, de variantes, de textes divers, à la fin de chaque volume.Ces éléments établis par Martine Chatelain-Courtois, responsable des Cahiers Élie Faure et grande spécialiste de son oeuvre, sont d'un immense intérêt. Ils permettent une lecture entièrement nouvelle, nous aident à saisir l'évolution de l'auteur, le font revivre au fil des ans et des itinéraires de ses voyages.
L'Histoire de l'art est une vaste fresque qui va de la préhistoire jusqu'aux premières années du XX? siècle. Commencée en 1909, terminée en 1927, plusieurs fois remaniée, la totale nouveauté de l'entreprise d'Élie Faure a été d'introduire un genre nouveau devenu populaire et indispensable aujourd'hui : le livre d'art où chaque commentaire peut être comparé aux oeuvres elles-mêmes, la juxtaposition et la confrontation des images justifiant l'audace des rapprochements qui parfois paraissent insolites. Entreprise tout à fait nouvelle à l'époque, elle n'a été, Malraux mis à part, ni égalée, ni dépassée aujourd'hui. Cette édition du cinquantenaire comporte des éléments inédits : - une présentation de l'homme et de l'oeuvre, en tête de L'art antique ;- un dossier constitué de lettres, d'articles, de variantes, de textes divers, à la fin de chaque volume.Ces éléments établis par Martine Chatelain-Courtois, responsable des Cahiers Élie Faure et grande spécialiste de son oeuvre, sont d'un immense intérêt. Ils permettent une lecture entièrement nouvelle, nous aident à saisir l'évolution de l'auteur, le font revivre au fil des ans et des itinéraires de ses voyages.
«L'esprit des formes est un. Il circule au-dedans d'elles comme le feu central qui roule au centre des planètes et détermine la hauteur et le profil de leurs montagnes selon le degré de résistance et la constitution du sol. C'est la permanence de cette force qu'il s'agit de retrouver et de mettre en lumière sous la diversité et la variabilité des symboles qui la dissimulent. Je crains de ne pas être parvenu à maintenir, entre les pages de ce livre, cette circulation grandiose d'énergie qui rend aussi sûrement solidaire la moindre image d'oiseau trouvée dans les sables d'Égypte d'un aéroplane actuel, que la plus effacée des silhouettes de mammouth gravée sur les parois du Fond-de-Gaume, de la pagode de Srirangam ou du Parthénon de Périclès. J'aurais voulu aussi montrer comment la statue arrachée d'un temple quelconque reproduit les profils mêmes de ce temple entre ses plans dont les ondes mouvantes vont saisir dans l'espace, pour les incorporer à elles, les passages et les reflets qui déterminent la peinture et font naître de la peinture, par leurs rythmes enchevêtrés, des harmonies invisibles d'où la musique jaillira. J'aurais voulu, enfin, réduire à quelques rapports évidents l'innombrable complexité des relations révélées par la variété innombrable des images, et la profondeur des abîmes que leur étude creuse en nous.»Élie Faure.
Vaste fresque qui va de la préhistoire au début du XXe siècle, cette célèbre Histoire de l'Art n'avait jamais été publiée à ce jour en un seul volume. Issu des cours à l'Université populaire qu'Élie Faure donnait à Paris, ce projet, commencé en 1909, et repris plusieurs fois à chaque réédition avec des ajouts et des compléments, se présente comme une synthèse majeure de tous les arts des différentes civilisations. Cet ensemble symphonique s'impose par la hauteur de ses vues, l'immensité de son savoir et la profondeur de ses analyses. Élie Faure ne connaît nulle limite ni dans le temps ni dans l'espace. Tout ce qui relève de l'esprit créateur de l'homme le passionne. Le récit se décompose en quatre parties : L'Art antique, L'Art médiéval, L'Art renaissant et L'Art moderne. Si les grandes disciplines telles l'architecture, la sculpture et la peinture sont largement mises à l'honneur, Élie Faure s'intéresse aussi à d'autres formes d'art qui relèvent du quotidien ou de la cérémonie. Dans un style profondément lyrique, il compose de vastes tableaux qui frappent les imaginations et se font écho par un jeu de correspondances.
« Oeuvre majeure d'Élie Faure, écrit Dominique Dupuis-Labbé, l'Histoire de l'Art est un poème lyrique autant qu'un traité d'esthétique, un roman de l'humanité créatrice depuis les origines jusqu'aux années vingt et trente, et une méditation autant qu'une exploration passionnée, et n'a rien à voir avec ce qu'il appelait "un catalogue sec des oeuvres plastiques des hommes" ».
189 illustrations reproduisent les oeuvres les plus représentatives de chaque époque et de chaque civilisation. Des tableaux synoptiques et un index accompagnent le texte.
«L'esprit des formes est un. Il circule au-dedans d'elles comme le feu central qui roule au centre des planètes et détermine la hauteur et le profil de leurs montagnes selon le degré de résistance et la constitution du sol. C'est la permanence de cette force qu'il s'agit de retrouver et de mettre en lumière sous la diversité et la variabilité des symboles qui la dissimulent. Je crains de ne pas être parvenu à maintenir, entre les pages de ce livre, cette circulation grandiose d'énergie qui rend aussi sûrement solidaire la moindre image d'oiseau trouvée dans les sables d'Égypte d'un aéroplane actuel, que la plus effacée des silhouettes de mammouth gravée sur les parois du Fond-de-Gaume, de la pagode de Srirangam ou du Parthénon de Périclès. J'aurais voulu aussi montrer comment la statue arrachée d'un temple quelconque reproduit les profils mêmes de ce temple entre ses plans dont les ondes mouvantes vont saisir dans l'espace, pour les incorporer à elles, les passages et les reflets qui déterminent la peinture et font naître de la peinture, par leurs rythmes enchevêtrés, des harmonies invisibles d'où la musique jaillira. J'aurais voulu, enfin, réduire à quelques rapports évidents l'innombrable complexité des relations révélées par la variété innombrable des images, et la profondeur des abîmes que leur étude creuse en nous.»Élie Faure.
Découverte de l'archipel dont est extrait L'âme juive prolonge la réflexion d'Elie Faure sur l'histoire de l'art à laquelle il associe pensée ethnologique et socio-culturelle. Il y identifie les caractéristiques de l'âme juive en posant la question du nomadisme: je crois qu'après des siècles d'errance, la fixation d'un peuple sur un territoire a pu faire éclore en lui une puissance intellectuelle extraordinaire. Si sa démonstration porte parfois l'empreinte des clichés racialistes souvent admis à cette époque, son propos ne partage jamais les finalités antisémites revendiquées par certains de ses contemporains. Par son formidable sens critique, le peuple juif apparaît à l'auteur comme le peuple créateur, exerçant depuis des siècles une influence décisive dans l'histoire européenne.
"Devant le miracle Corot, toutes les habitudes de l'esprit sont à réviser. "L'objet" et "le sujet" s'éclipsent. C'est une image si justement équilibrée entre le monde du dehors et le monde du dedans qu'on songe toujours, quelle que soit l'époque où fut peinte la toile, dans cette production de près de soixante ans, à une photographie tout à fait exacte, mais que la tendresse du coeur et le choix de l'intelligence animeraient et proportionneraient sans effort apparent. " Dans la monographie qu'il consacre à Corot en 1930, Élie Faure scrute la matière et la manière du peintre dans toute sa vérité ; mais il s'attache aussi à l'homme, dont il retrace la vie et l'oeuvre sensible avec dilection. Camille Corot, célébré pour ses paysages, fut aussi un grand peintre de figures. À l'heure où, à Paris, une exposition riche de portraits d'intimes et de nus étranges, d'effigies réalistes ou de monumentales figures de fantaisie vient démontrer la maestria et la modernité de Corot, l'ouvrage d'Élie Faure, depuis longtemps indisponible, nous aide à mieux saisir le mystère de sa création.
« Personne, depuis les sculpteurs de la Grèce, n'a procuré à ce degré l'illusion de la vie, non pas l'illusion de surface, mais l'illusion réelle, l'illusion de la vie totale dans son frémissement secret et continu. » En 1903, Élie Faure consacre son premier ouvrage à Velazquez (1599-1660) et se distingue d'emblée par la force de sa pensée, son regard nouveau, sa langue fluide.
Élie Faure écrit avec son corps. Son rapport à l'art est sensuel. De là découle une réflexion qui n'oublie jamais l'émotion.
Portrait du « peintre des peintres » selon le mot de Manet, manifeste esthétique, cette « biographie critique » rend hommage au maître de Séville. Sa vie est un roman au galop d'ambassadeur, de ses débuts à la cour du roi Philippe IV à sa rencontre déterminante avec Rubens, en passant par les jardins d'Italie.
Outre, l'analyse éblouissante d'Élie Faure qui nous permet de saisir l'évolution du génie de Diego Velazquez, c'est le caractère même de la peinture espagnole qui est ici révélé dans le clair-obscur.
L'Histoire de l'art est une vaste fresque qui va de la préhistoire jusqu'aux premières années du XX? siècle. Commencée en 1909, terminée en 1927, plusieurs fois remaniée, la totale nouveauté de l'entreprise d'Élie Faure a été d'introduire un genre nouveau devenu populaire et indispensable aujourd'hui : le livre d'art où chaque commentaire peut être comparé aux oeuvres elles-mêmes, la juxtaposition et la confrontation des images justifiant l'audace des rapprochements qui parfois paraissent insolites. Entreprise tout à fait nouvelle à l'époque, elle n'a été, Malraux mis à part, ni égalée, ni dépassée aujourd'hui. Cette édition du cinquantenaire comporte des éléments inédits : - une présentation de l'homme et de l'oeuvre, en tête de L'art antique ;- un dossier constitué de lettres, d'articles, de variantes, de textes divers, à la fin de chaque volume.Ces éléments établis par Martine Chatelain-Courtois, responsable des Cahiers Élie Faure et grande spécialiste de son oeuvre, sont d'un immense intérêt. Ils permettent une lecture entièrement nouvelle, nous aident à saisir l'évolution de l'auteur, le font revivre au fil des ans et des itinéraires de ses voyages.
L'Histoire de l'art est une vaste fresque qui va de la préhistoire jusqu'aux premières années du XX? siècle. Commencée en 1909, terminée en 1927, plusieurs fois remaniée, la totale nouveauté de l'entreprise d'Élie Faure a été d'introduire un genre nouveau devenu populaire et indispensable aujourd'hui : le livre d'art où chaque commentaire peut être comparé aux oeuvres elles-mêmes, la juxtaposition et la confrontation des images justifiant l'audace des rapprochements qui parfois paraissent insolites. Entreprise tout à fait nouvelle à l'époque, elle n'a été, Malraux mis à part, ni égalée, ni dépassée aujourd'hui. Cette édition du cinquantenaire comporte des éléments inédits : - une présentation de l'homme et de l'oeuvre, en tête de L'art antique ;- un dossier constitué de lettres, d'articles, de variantes, de textes divers, à la fin de chaque volume.Ces éléments établis par Martine Chatelain-Courtois, responsable des Cahiers Élie Faure et grande spécialiste de son oeuvre, sont d'un immense intérêt. Ils permettent une lecture entièrement nouvelle, nous aident à saisir l'évolution de l'auteur, le font revivre au fil des ans et des itinéraires de ses voyages.
Cet article en forme de manifeste du célèbre historien d'art Elie Faure (1863-1937), paru dans la « Grande Revue » en 1920, est historiquement le premier grand article théorique sur le septième art. Il s'interroge notamment sur la place à donner à cet art naissant dans le système des beaux-arts.
"Si l'on veut se faire une idée de l'étonnante liberté d'esprit qu'un Français de haute culture est capable de conserver en pleine guerre, il faut lire La Sainte Face" écrivait Paul Seippel en juin 1918 dans le Journal de Genève. Écrites en 1916, sur le champ de bataille, ces pages livrent en effet une brillante et déroutante réflexion sur la guerre, l'esprit des régions et des peuples, l'Histoire de l'Europe.
Elles constituent surtout un témoignage exceptionnel sur l'expérience d'un médecin du front, dont la vision, les ressources expressives sont d'une surprenante modernité. Cet essai est accompagné de la correspondance qu'a entretenue Elie Faure avec le monde de l'Arrière. Ce volume permet de révéler une part ignorée de l'oeuvre d'Elie Faure, surtout connu pour son Histoire de l'art.
Élie Faure [1873-1937] médecin, historien, essayiste, est surtout connu pour sa monumentale Histoire de l'art en sept tomes (1909-1927). Mais il était aussi attentif au devenir prochain de notre civilisation qu'il voyait entrer sous l'emprise définitive de la machine, destin qu'il ne déplorait pas, bien au contraire, il y saisissait l'aurore d'un nouveau cycle civilisationnel - fin de l'individualisme et entrée dans un modèle plus collectif dont la machine fournira le modèle et les moyens - et dont le cinéma pourrait en devenir l'art emblématique de par sa proximité native avec la machine et de par le caractère essentiellement massif de sa diffusion. Il fut l'auteur du premier grand article théorique sur le septième art en 1920: "De la cinéplastique".
Ses écrits sur le cinéma, bien connus des cinéphiles et abondamment cités dans la littérature spécialisée, sont disséminés dans l'ensemble de ses écrits.
Ils furent partiellement réunis, seize ans après sa mort, en 1953, sous le titre Fonction du cinéma, aux éditions Plon, puis réédités (revus et augmentés) par les éditions Gonthiers, "Bibliothèque Médiations", sous le même titre en 1964. Depuis l'épuisement de cette dernière édition, les écrits sur le cinéma d'Élie Faure n'étaient plus disponibles, sauf pour De la cinéplastique, paru aux éditions Séguier en 1993.
Elie Faure, en 1910, dans un essai lyrique et aimant, s'attache à la figure de Paul Cézanne, à l'oeuvre et à l'homme dont il saura bien traduire la puissance et comprendre la modernité.
Dans ce texte essentiel, l'historien sensible s'approche du secret de ce peintre " à la vérité le plus intense et le plus solidaire de la matière même des choses qui fût jamais". Plus d'un siècle après la mort de Cézanne, alors que celui-ci reste un des peintres les plus populaires du monde, la redécouverte de ce texte depuis longtemps indisponible, joint ici à deux autres articles inconnus, permettra de mieux connaître encore ce maître des formes et ses motifs profonds, dans sa Provence ou ailleurs.
L'Histoire de l'art est une vaste fresque qui va de la préhistoire jusqu'aux premières années de notre siècle. Commencée en 1909, terminée en 1927, plusieurs fois remaniée, la totale nouveauté de l'entreprise d'Elie Faure a été d'introduire un genre nouveau devenu populaire et indispensable aujourd'hui: le livre d'art.
Napoléon (5e édition) / Elie Faure Date de l'édition originale : 1921 Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF.
HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande.
Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables.
Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique.
Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.
Pour plus d'informations, rendez-vous sur www.hachettebnf.fr
Histoire de l'Art. L'Esprit des formes. 3e mille Date de l'édition originale : 1927 Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF.
HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande.
Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables.
Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique.
Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.
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